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jeudi 19 septembre 2013

Les stages non-rémunérés : Les étudiant.e.s en ont assez!

par Samuel LeBlanc, vice-président académique de la FÉÉCUM (publié dans Le Front du 18 septembre 2013)
Les étudiants travaillent dans les milieux de stage. Ils se lèvent tôt, font des quarts de travail, ramènent du travail à la maison. La grande majorité des stagiaires ne reçoivent aucun salaire pour ce travail. Pire encore, ils doivent payer des frais de scolarité pour accéder à ce stage. Cette pratique courante est inacceptable. Pourquoi? Parce qu’on demande aux étudiants de payer pour travailler. Tout au mieux, on leur demande de payer pour une formation habituellement offerte – avec un salaire – par les employeurs. Comment palier à cette situation plus que problématique? Les étudiants doivent exiger la rémunération des stages. Au strict minimum, ils doivent exiger un allègement des droits de scolarité pour la période de stage.

La classe étudiante – si on peut la nommer ainsi – se transforme malheureusement en une simple main-d’œuvre bon marché pour les employeurs. C’est ce qu’on appelle en bon français du cheap labour, tout simplement. Certains étudiants doivent d’ailleurs se priver d’un revenu pour effectuer leur stage. Par exemple, les étudiants en sciences de l’éducation effectuent certains stages durant une partie de l’été, ce qui les empêche de gagner un salaire par l’entremise d’un emploi d’été.

Selon les normes d’emploi du Nouveau-Brunswick, les heures de formation sont considérées comme des heures de travail normales et elles doivent être payées lorsque la formation est nécessaire pour le poste et que les heures de formation sont contrôlées par l’employeur. Par conséquent, lorsqu’un employeur embauche un nouvel employé, il est responsable de la formation de ce dernier, et doit payer cet employé lors de cette formation. Pourquoi ce serait différent pour les étudiants qui effectuent un stage en milieu professionnel? On sait pertinemment bien que plusieurs étudiants seront embauchés par les employeurs de ces milieux de stage. On pense bien évidemment au Ministère de l’Éducation et au Ministère de la Santé, entre autres. Puisque ces ministères offrent une formation aux futurs travailleurs, il me semble logique d’exiger de ces mêmes ministères qu’ils paient la note de cette formation, ce que le gouvernement exige déjà des entreprises privées. Par conséquent, le gouvernement provincial devrait – au minimum – offrir une bourse aux étudiants qui effectuent des stages. N’oublions pas que les étudiants sont les futurs travailleurs et qu’ils contribueront financièrement aux coffres de la province et du fédéral. Les frais de scolarité devraient également être allégés pour les stagiaires, considérant les pertes de revenus engendrées et les dépenses supplémentaires qui viennent avec le milieu professionnel, telles que le transport et l’achat d’équipement pour le stage. À défaut d’avoir une ruée vers l’or comme d’autres provinces et territoires, stimulons la création d’emplois étudiants, question d’avoir enfin une solution partielle au grand problème de l’exode vers l’Ouest. Présentement, dans le cadre de leur formation en éducation, tous les étudiants sont obligés de travailler durant 4 mois à temps plein sans rémunération, et en plus, on a le culot de leur imposer le plein paiement des frais de scolarité. C’est complètement aberrant. Les étudiants en sciences infirmières, eux, travaillent un nombre d’heures très élevé durant leur stage, qui est souvent effectué parallèlement avec d’autres cours. Tout cela sans rémunération. Il n’y a aucune aide financière pour diminuer le fardeau des étudiants qui paient leurs repas, leur transport et leur uniforme. Il est plus que temps de mettre fin à ces pratiques abusives.

lundi 27 mai 2013

Nominations étudiantes - Comité linguistique, Sénat académique, Conseil de la FESR...

La FÉÉCUM est fière de présenter les nominations étudiantes suivantes à diverses instances. Nous leur souhaitons un bon succès dans l'exercice de leurs fonctions.

Étudiant.e.s. au Sénat académique
Samuel  LeBlanc (vice-président académique de la FÉÉCUM)
Pierre-Luc DesRoches (1er cycle, Campus de Moncton)
Nyenda Robichaud (1er cycle, Campus de Shippagan)
Sarah Daigle (1er cycle, Campus d'Edmundston)
Émilie Urbain (2e cycle)

Conseil de la Faculté des études supérieures et de la recherche (FESR)
Winnie Gangoua Babou, étudiante au 2e cycle en Maîtrise en Administation (MBA-Juris Doctor)
Jefferson Robidoux, étudiant au 2e cycle à la faculté d'éducation

Comité d'élaboration de la politique linguistique de la FÉÉCUM
Martin Leblanc-Rioux (président)
Awa Diakhaté (étudiante)
Jean Freddy Bobo Mukinayi (étudiant)
Franceska Turgeon (étudiante)
Annie Godin (membre du C.A.)
Valérie Mallard (membre du C.A.)
Chloé Forbes (membre du C.A.)
Emilie Haché (observatrice - vice-présidente de la FÉÉCUM)
Raymond Blanchard (observateur/employé assigné au comité - agent de recherche et projets de la FÉÉCUM)

Merci de votre service aux collectivités universitaire et étudiante

vendredi 8 mars 2013

Les droits des étudiants sous la loupe du Sénat académique

Préfaçons cette annonce en rajustant tout d’abord le tir sur les accusations portées dans un reportage au Téléjournal Acadie d’hier selon lesquelles la FÉÉCUM aurait eu des intentions diffamatoires envers une professeure, et aurait agi de manière «calomnieuse» et aurait fait une «tentative d’intimidation» (Radio-Canada).

La vérité pure et simple, qu’on se le tienne pour dit, est que la FÉÉCUM n’a pas mentionné le nom de quiconque, ni porté d’accusation dirigées vers une personne quelle qu’elle soit, dans la lettre envoyée au Sénat académique par le Vice-président académique de la FÉÉCUM, avec l'appui unanime de son Comité exécutif. La voici, dans l’intérêt de la transparence :

M. Raymond Théberge, président du Sénat académique,

La FÉÉCUM désire porter à l’attention du Sénat académique de l’Université de Moncton un événement troublant.

Le mardi 5 février 2013, à l’émission d’actualité le Téléjournal Atlantique, l’animateur Martin Robert a lu en ondes un extrait du travail d’un(e) étudiant(e), à titre d’exemple de la mauvaise qualité du français à l’U de M.


Il ne relève aucunement de la nature des travaux complétés dans le cadre d’activités académiques de se retrouver dans l’espace public. Ces travaux ont une vocation formative, qui ne se prête pas à la diffusion. Le processus formatif universitaire repose notamment sur la confidentialité des travaux, lorsque leur but est lié à l’apprentissage.

En outre, la FÉÉCUM considère que l’Université de Moncton ne peut accepter que ses étudiants sentent la crainte constante de voir divulgués a tout venant leurs travaux académiques. C’est un stress inutile qui leur est imposé, et qui peut nuire à la qualité de l’apprentissage ; c’est pour ces raisons que le Sénat académique se doit d’intervenir.

L’Énoncé des droits et responsabilités des étudiantes et des étudiants de l’université de Moncton, enchâssé dans les Statuts de l’U de M, établit que « seuls les documents qu’elle (l’Université) établit officiellement sont communiqués à l’extérieur, avec le consentement écrit de la personne concernée » et plus loin que « les étudiantes et les étudiants sont les justes détenteurs des droits de propriété intellectuelle sur les travaux qu’ils réalisent dans le cadre de toutes activités académiques à l’Université ».


Or, durant l’émission du 5 février dernier, l’animateur reconnaît avoir reçu un document qu’il décrit comme «une copie […] d’un étudiant ou d’une étudiante, [qui est] vraiment bourrée de fautes» (à 29 :20), et plus loin (34 :08) il lit en ondes une «phrase d’un étudiant universitaire», en tenant ce qui semble être un travail d’étudiant(e) à la main.


Il y a ainsi eu dérogation aux Statuts de l’U de M, en ce qu’un travail réalisé par un(e) étudiant(e) s’est retrouvé non seulement diffusé dans la communauté à l’insu de la personne concernée, mais pis encore exposé dans les médias à des fins diffamatoires.


Aucune preuve n’a été fournie par Radio-Canada du «consentement écrit de la personne concernée» en ce qui concerne le document en question, sur lequel elle est «juste détenteur des droits de propriété intellectuelle». Lorsque contactée, la société a refusé de dévoiler ses sources.

Constatant l’ambiguïté des recours disponibles à l’étudiant(e) dont les droits ont été lésés, j’invite le Sénat à traiter l’affaire avec l’attention et la diligence qu’elle mérite.

Éric Allain, membre du Sénat académique                   

Quel était l’objectif de la FÉÉCUM quand elle a choisi d’intervenir auprès du Sénat ? Le but visé – et atteint – était la formation d’un comité chargé d’étudier les règlements universitaires (dans le sens large du terme), et la place qu’y occupent les droits des étudiant(e)s. À l’origine du questionnement de la FÉÉCUM, se trouve l’applicabilité de l’Énoncé sur les droits et responsabilités des étudiantes et étudiants de l’Université de Moncton, ainsi que les recours disponibles dans l’éventualité où ces droits seraient brimés, car ni l’un ni l’autre n’étaient clairs dans les circonstances. Il s’avère en effet que l’Énoncé a un statut juridique ambigu, pour ne pas dire pratiquement nul, ce qui est inacceptable.

Or, tout au long de cette histoire, la FÉÉCUM a maintenu le silence médiatique, par respect des procédures officielles, et par considération pour le processus dûment suivi du côté de l’institution. Que l’on accuse la FÉÉCUM d’intimidation et de diffamation, alors que les interventions de la Fédération ont été conduites à l’interne, hors de l’espace public, tient de la mauvaise foi et frise la désinformation.

La raison pour laquelle la FÉÉCUM s’est refusé à tout commentaire, contrairement à ce dont on l’a accusée hier, est pour ne PAS traîner la réputation de qui que ce soit dans la boue. Les étudiants ont le droit d’avoir recours aux procédures officielles garanties par les Statuts de l’Université de Moncton, droit que la FÉÉCUM a exercé avec le respect des responsabilités que cela engendre.

C’est en vérité la réputation des étudiants de l’Université de Moncton qui a quelque peu été traînée dans la boue. À partir d’un exemple isolé, le TJA a prétendu, dans son reportage du 5 février, donner une vue d’ensemble sur la qualité de la langue écrite des étudiant(e)s de notre institution.

En allant directement voir le Sénat académique, la FÉÉCUM a suivi les procédures officielles et utilisé leur seul recours étant donné l’ambiguïté de la situation. Nous aurions pu porter notre version «calomnieuse» de l’histoire aux médias, qui l’auraient écoutée sans doute avec délice, si l’intention de la Fédération eût été de faire de la diffamation ; mais nous ne l’avons pas fait. Nous avons plutôt déploré le fait qu’un travail réalisé par un(e) étudiant(e) ait été diffusé par les médias à des fins diffamatoires envers la population étudiante de l’UdeM. Ce n’est pas une personne qui est visée par la lettre de la FÉÉCUM, mais bien le fait qu’un tel événement puisse prendre place à l’UdeM.

Dans les circonstances, la FÉÉCUM a jugé inacceptable que rien ne soit fait dans cette affaire, et pour le bien des intérêts des étudiantes et étudiants de l’Université de Moncton, elle devait porter l’affaire à l’intention du Sénat académique. Sans chercher un résultat punitif ou des réparations, nous voulions que la situation ne puisse pas se reproduire, au nom des droits reconnus par l’UdeM à ses étudiants. Le Sénat a étudié les questions et inquiétudes soulevées par la lettre et, ayant convenu de l’ambiguïté des règlements, formé un comité chargé d’étudier la question.

La FÉÉCUM a agi dans les règles, en ce qui concerne l’Université de Moncton, qui est elle-même dans les règles avec ses professeurs en vertu de l’entente collective signée par les deux parties. La Fédération trouve dommage qu’un malentendu soit survenu sur la place publique, utilisant un document interne hors de son contexte, et avant même que tous les faits et intentions en jeu soient connus. En espérant que ce bref texte aura su vous éclairer…

lundi 19 novembre 2012

Tricher à l'Université

Nous remercions Sylvie Blain, directrice du SASE, pour nous avoir pointé vers l'émission documentaire de la CBC suivante, « Faking the Grade », au sujet du trichage (ou en bon Acadien, le « cochinage ») chez les étudiants universitaires.

Il semblerait que 75% des étudiants universitaires canadiens avouent avoir triché pendant leur séjour à l'école secondaire. 50% l'ont fait à l'université. Selon les experts, une culture malhonnete s'installe de plus en plus dans nos institutions postsecondaires, et que même les parents - et les professeurs! - sont plus souvent qu'on ne le pense, impliqués. Les domaines où il y a le plus de triche semblent être l'Administration, l'Ingénierie et les Communications/le Journalisme, mais aucune discipline n'est vraiment exclue.

Faking the Grade explore la question sous plusieurs angles et cherche à savoir pourquoi le trichage est devenu aussi normalisé dans la culture étudiante d'aujourd'hui. Ça fait peur! Qu'en pensez-vous?

mardi 23 octobre 2012

Les Élus de la FÉÉCUM : Des dossiers individuels ou inter-reliés?

par Eric Allain, vice-président académique

On sait bien que les élus de l’exécutif de la FÉÉCUM ont des mandats bien définis dans la constitution de la FÉÉCUM, mais souvent on pense que les tâches ou les dossiers qu'entreprennent un des élus n’impliquent pas les autres. Des dossiers tels que l’accessibilité à l’éducation postsecondaire, l’implication para-académique, la participation aux sports universitaires, ou la reconfiguration des programmes peuvent être vus comme des éléments bien distincts, mais en réalité, c'est très difficile de les traiter de façon individuelle. Les dossiers plus complexes dans lesquels la FÉÉCUM s’engage nécessite une participation à plusieurs niveaux. Souvent, c’est difficile de regarder une situation qui touche l’académique sans considérer les effets au niveau de l’interne ou de l’externe.

Si on prend l’exemple de l’exercice de la viabilité des programmes : un processus qui a comme but d’examiner certains programmes selon des critères qualitatifs et quantitatifs pour ensuite déterminer s’ils doivent être modifiés ou non. Ce dossier tombe naturellement dans le domaine de l’académique, mais la viabilité des programmes est aussi étroitement liée à l’accessibilité aux études postsecondaires. On doit se poser la question suivante : Est-ce qu’on questionnerait la viabilité de certains programmes si les études universitaires étaient plus accessibles? En améliorant l’accessibilité, on ouvre la porte à une plus grande proportion de la population. Éventuellement, cela pourrait engendrer une diminution des préjugés face à certains programmes et un élargissement des intérêts académiques de la société. On verrait peut-être une augmentation du volume d’étudiants dans des domaines fondamentaux versus les domaines professionnels. Si on finit par classer un programme comme étant non viable, il faut aussi se demander si celui-ci l’aurait été dans un contexte d’éducation postsecondaire très accessible, non?

C’est un exemple parmi plusieurs, mais c’est important de retenir que les élus, même s’ils travaillent sur leurs propres champs de bataille, se battent souvent pour les mêmes choses.

vendredi 24 août 2012

Access Copyright

Vous avez peut-être entendu parler de la nouvelle entente que les universités canadiennes se préparent à signer (ou en certains cas refusent de signer) avec un organisme appelé Access Copyright?

Access Copyright, en somme, est un organisme non-gouvernemental qui offre des services de gestion de l’acquisition des droits d’auteurs à des fins de reproduction. En ayant recours à ses services, une université n’a donc plus besoin de se soucier des droits d’auteurs devant être versés aux créateurs des ouvrages/œuvres qui sont reproduites à des fins éducatives sur son/ses campus.

Toutefois, la nouvelle entente proposée par Access Copyright s’accompagne d’une forte hausse des tarifs (26$ par étudiant équivalent à temps plein, versus un peu plus de 3$ sous l’ancienne entente, plus les frais de copie), ce qui a incité quelques universités à ne pas signer. Ces universités ont fait le choix d’utiliser les ressources à leur disposition pour s’acquitter des droits d’auteurs nécessaires au fonctionnement de leur campus. Un autre argument contre la nouvelle entente d’AC est le manque de mesures liées à la prise en charge de copies numériques, et l’adoption d’un modèle somme toute dépassé (axé sur la reprographie) dans l’ère digitale où nous vivons actuellement.

L’Université de Moncton a signé l’entente. Premièrement, il faut préciser que la plupart des objections à la première proposition d’entente faite par AC ont été entendues et que ces problèmes ont été corrigés. L’entente prévoyait à l’origine un montant de 45$ par ÉTP, et ne comprenait que très peu de mesures facilitant l’accès et la copie des documents numériques. Ce coût a été revu à la baisse, et les documents numériques ont été couverts par le remaniement de l’entente ; de plus, dans certaines provinces (dont le N.-B.) la loi interdit de refiler cette facture aux étudiants par le biais d’une hausse des droits de scolarité… C'est donc dire que la décision ne devrait vous affecter que très peu.

(Image : Captain Copyright, © Access Copyright)

mardi 23 novembre 2010

Donnez vos commentaires sur la nouvelle évaluation !

Un sondage est disponible jusqu’au 3 décembre sur Maniweb afin que les étudiants puissent donner leur opinion sur la nouvelle évaluation des professeurs et chargés de cours (remise dans vos cours cette semaine). Bien que cette évaluation ne soit pas celle de la FÉÉCUM, l’opinion des étudiants est importante, car elle permettra d’effectuer des changements sur l’évaluation afin d’arriver à une version finale en décembre.

Pour répondre au sondage :

1) socrate.umoncton.ca

2) Dans votre compte, section « renseignements personnels »

3) Choisissez « Répondre à un sondage »

4) Répondez le sondage

Si vous avez des questions, prière de me contacter à l’adresse courriel suivante : vpacfee@umoncton.ca

Idées de commentaires ou suggestions à faire :

- l'Ajout d'une section "commentaires"

- Que l'évaluation soit faite "en ligne"

- Que la FÉÉCUM ait accès aux résultats de l'évaluation

mercredi 17 mars 2010

La FÉÉCUM et le Forum de concertation veulent que l'UdeM consulte la communauté

Ce communiqué de presse est présenté ici pour vous donner une place à commenter dessus.

La Féécum et le Forum de concertation des organismes acadiens veulent pousser l'Université de Moncton à consulter la communauté acadienne avant de couper des programmes
Selon la FÉÉCUM, l’UdeM appartient d’abord et avant tout à la communauté francophone du N.-B.

En fin de semaine, la Fédération des étudiants et étudiantes du Centre universitaire de Moncton (FÉÉCUM) amenait deux propositions au Forum de concertation des organismes acadiens, toutes deux adoptées avec enthousiasme, soit d’exiger de l’Université de Moncton qu’elle inclut les membres du Forum dans ses consultations vis-à-vis l’avenir de l’institution et qu’elle s’engage aussi à des consultations publiques pour sonder l’ensemble de la communauté francophone du Nouveau-Brunswick.

« Bien qu’il y ait un processus de consultation à l’intérieur de la communauté universitaire, il nous semble important que le débat ait lieu à l’extérieur des campus aussi, » explique Tina Robichaud, présidente de la FÉÉCUM. Depuis un certain temps, l’Université se penche sur la viabilité de certains programmes, et cherche des solutions aux défis financiers que représente son importante mission au sein de la communauté acadienne. Des inquiétudes règnent depuis par rapport aux programmes dits fondamentaux. « L’Université avoue elle-même qu’elle joue ‘un rôle primordial dans le développement et l’épanouissement de la communauté en formant des professionnels et des intervenants dans tous les secteurs de la société’(Recommandations de l’Université de Moncton sur la restructuration des services de santé au Nouveau-Brunswick, 17 février 2010._, » rajoute Mme Robichaud. « Nous prions donc l’Université d’être attentive aux demandes du Forum de concertation. »

Pour la FÉÉCUM, il est également important de consulter la communauté acadienne et francophone de la province. « Si des programmes sont importants pour les gens du Nouveau-Brunswick, ils doivent le laisser savoir à l’Université, » continue la présidente de la FÉÉCUM. « Et il faut aussi que les citoyens réalisent la situation financière de l’UdeM et combien précaire celle-ci rend sa mission généraliste et donc sa raison d’être. »

La FÉÉCUM interpellera donc la communauté dans son sens large à s’intéresser au débat, et à communiquer avec l’Université de Moncton avec leurs inquiétudes, désirs, questions et solutions. Les documents pertinents sont disponibles au grand public sur le site Internet institutionnel de l’Université.

samedi 6 juin 2009

Précisions du service de santé et de psychologie aux demandes d'attestation médicale à des fins académique

Voici un document qui a été déposé à titre d'information lors de la dernière réunion des vice-doyen.e.s.

Nous tenons à vous préciser qu'une attestation médicale est un certificat qui constate et confirme un problème d'ordre médical soit physique ou psychologique suite à une évaluation clinique. Il est donc évident que l'évaluation ne peut se faire si le problème est résolu. Une attestation ne sera donc pas remise dans ces circonstances.

Précisions du Service de santé et de psychologie aux demandes d’attestation médicale à des fins académiques

Si vous pensez être trop malade ou indisposé pour écrire un examen ou remettre un travail, vous devez tout d’abord aviser votre professeure ou professeur et, si nécessaire, consulter un professionnel de la santé AVANT l’épreuve académique.

Une évaluation sera faite et SI VOTRE ÉTAT LE JUSTIFIE, une attestation médicale vous sera remise.

Exemples qui méritent une attestation :
• Une forte fièvre
• Une hospitalisation
• Un épisode dépressif majeur

Exemples qui méritent des conseils d’un professionnel de la santé, mais pas nécessairement une attestation :
• Un rhume
• Un mal de tête
• Des crampes menstruelles
• Fatigue
• Procrastination

Bien entendu, ce ne sont que des exemples, CHAQUE CAS SERA ÉVALUÉ SELON SES PARTICULARITÉS.

NOUS VISONS TOUJOURS L’ÉQUITÉ POUR TOUS!

EN TOUT TEMPS, LA DÉCISION FINALE REVIENT AU SECTEUR ACADÉMIQUE!

Service de santé et de psychologie
Campus de MonctonUniversité de Moncton

lundi 15 octobre 2007

Changements et nouveautés à la bibliothèque Champlain

Du bureau du VP académique :

Changements et nouveautés à a bibliothèque Champlain

- Photocopieuse de 8¢ la copie est passée à 10¢ la copie (avec la carte);
- Plus d'éclairage au deuxième étage;
- Migration de la photocopieuse au deuxième étage;
- Ouverture d'un centre d'aide à la rédaction des travaux universitaires;
- 3 à 4 nouvelles bases de données, de recherches et de dictionnaires;
- Ouverture de la bibliothèque à 8h30;
- Prévision de l'ouverture de la bibliothèque jusqu'à minuit les semaines d'examen, sauf les fins de semaine ou journées fériées;
- La bibliothèque offre une copie des livres proposés par les professeurs qui sont disponibles à la Librairie acadienne;
- Avec l'appui de la DGT, il existe maintenant une imprimante recto-verso à la bibliothèque.

Si vous avez des questions, les adresser à votre VP académique, M. Claude Miningou.