
De gauche à droite: Rachel Chiasson (Vice-présidente activités sociales), Amélie Friolet-O'neil (Vice-présidente interne), Justin Robichaud (Vice-président académique), André Cormier (Vice-président externe) et Tina Robichaud (Présidente).

J'ai finalement pu mettre la main sur une photo prise lors de la rencontre entre l'Alliance étudiante du Nouveau-Brunswick (AÉNB) et le ministre de l'éducation postsecondaire M. Ed Doherty et cinq autres de ses employés le 19 juin dernier.
Dans le cadre de la Rentrée 2008, la Fédération des étudiants et des étudiantes du Centre universitaire de Moncton (FÉÉCUM) en collaboration avec les Loisirs socioculturels et les conseils étudiants de Travail social, Psychologie, Arts et Sciences sociales, accueillent le groupe légendaire acadien 1755 le vendredi 5 septembre prochain.Convention collective signée, retraite obligatoire éliminée, coûts en montée
La Fédération des étudiants et étudiantes du Centre universitaire de Moncton (FÉÉCUM) se réjouit de la part de ses étudiants que l’administration de l’Université de Moncton et l’Association des Bibliothécaires et Professeur.e.s de l’U de M (ABBPUM) ont pu signer une nouvelle convention collective la semaine dernière. Ceci met fin aux peurs des étudiant.e.s qu’une grève professorale pourrait venir interrompre leur année académique d’ici la fin de l’année.
Une semaine plus tard, le Conseil des Gouverneurs de l’UdeM entérine une résolution qui abolie la retraite obligatoire à 65 ans, un autre cheval de bataille des professeurs de l’université. « Les étudiants seront heureux d’entendre que nous ne perdrons pas nos meilleurs professeurs à cause de leur âge, » remarque Tina Robichaud, présidente de la FÉÉCUM, « mais il restera important pour l’Université de bien évaluer ses professeurs, car les garder coûtera nécessairement cher. »
En effet, entre la hausse salariale importante de la nouvelle convention collective et l’idée que les professeurs pourront maintenant continuer à travailler plus longtemps, l’Université peut s’attendre à ajouter à son budget d’opération des coûts de plusieurs millions à travers les prochaines années. « Tant que le gouvernement n’injecte pas plus d’argent dans le système, » explique Mme Robichaud, « la hausse se verra reflétée dans les droits de scolarité. Les étudiants ont déjà de la difficulté à se payer des études postsecondaires. Comment survivront-ils à une hausse aussi considérable? »
La FÉÉCUM voit comme de plus en plus pertinent le besoin pour des mesures concrètes afin d’améliorer l’accessibilité aux études postsecondaires, comme le plafond d’endettement disponibles aux étudiant.e.s à faibles et moyens revenus qu’elle prône depuis maintenant longtemps.
(Ce communiqué est reproduit pour vous donner la chance d'y réagir.)