lundi 19 décembre 2011
jeudi 1 décembre 2011
Revue de presse (du 26 novembre au 2 décembre 2011)
Un mariage étudiant pour contester la contribution parentale : l'initiative de la FÉÉCUM fait jaser!
Le 30 novembre dernier, le Café l'Osmose était l'hôte d'un faux mariage entre une étudiante (Émilie Haché) et un étudiant (Rémi Gaudet). Cette cérémonie avait comme but de dénoncer le retour de la contribution parentale dans la formule permettant le calcul des prêts octroyés aux étudiantes et aux étudiants par la province du Nouveau-Brunswick. Selon les modalités actuelles du programme de prêts, les parents, selon le revenu de la famille, sont appelés à contribuer une somme spécifique au financement des études de leurs enfants (cette somme est soustraite du maximum pouvant être emprunté à la province). En plus de dénoncer le retour de la contribution parentale, le mariage avait comme but de dénoncer les incohérences dans les modalités du programme. En fait, deux personnes qui sont aux études peuvent échapper à la contribution parentale en décidant de se marier ou bien en se déclarant en union de fait. L'initiative de la FÉÉCUM a retenu l'attention de plusieurs médias et la nouvelle s'est propagée partout au Canada grâce aux médias sociaux, notamment par l'entremise de Facebook et de Twitter. Les journaux de la région y ont consacré leur page couverture le 1er décembre dernier, soit l'Acadie Nouvelle (qui a également publié un texte préparé par Patrick Lacelle) et le Times & Transcript (qui a publié un texte préparé par Aloma Jardine) et les réseaux de Radio-Canada (qui a traité de l'évènement en profondeur à l'émission Le réveil / Nouveau-Brunswick), de CBC (qui a publié un article sur son site Internet) et de CTV (qui a diffusé un reportage à l'émission CTV News Atlantic) y ont consacré du temps d'antenne. Rappelons que la contribution parentale avait été éliminée de la formule permettant de calculer les prêts du gouvernement du Nouveau-Brunswick en 2007. Cette décision avait été applaudie par l'ensemble des associations étudiantes du Nouveau-Brunswick et même par plusieurs associations étudiantes à la grandeur du Canada. Le gouvernement de la province est toutefois revenu sur sa décision suite au dépôt du premier budget du gouvernement de David Alward en mars 2011. Depuis le retour de la contribution parentale, son élimination fait partie des grandes recommandations faites au gouvernement par la FÉÉCUM.
Les élèves francophones du Nouveau-Brunswick : pauvres en lecture, mais forts en mathématiques
Un rapport publié par le Conseil des ministres de l'éducation du Canada le 28 novembre dernier affirme que les élèves des écoles publiques des provinces de l'Atlantique ont des résultats inférieurs à la moyenne canadienne. En matière de lecture, les résultats sont même inférieurs à ceux publiés dans le rapport du même organisme rendu public en 2007. Quand les résultats sont séparés entre les écoles francophones et les écoles anglophones, il est possible de constater que les élèves francophones du Nouveau-Brunswick s'améliorent, notamment en mathématiques et en sciences. En fait, par rapport aux élèves francophones d'ailleurs au Canada, les élèves du Nouveau-Brunswick se démarquent en mathématiques. Cette année, ils se classent au troisième rang derrière le Québec et l'Ontario en mathématiques. Même si le Ministre de l'éducation, Jody Carr, se réjouit des résultats des élèves francophones de la province, d'autres s'inquiètent des conséquences qu'auront, à l'avenir, les compressions budgétaires sur les résultats des élèves. Le député de Caraquet (et critique du Parti libéral en matière d'éducation), Hédart Albert, affirme, dans les pages de l'Acadie Nouvelle du 30 novembre, que «C'est certain que ces compressions vont nuire à l'éducation à l'avenir et l'on semble vouloir continuer. Si nous n'arrêtons pas cela, si nous n'investissons pas en éducation, j'ai bien peur que les résultats vont empirer». Quant à elle, la présidente de l'Association des enseignantes et des enseignants francophones du Nouveau-Brunswick, Suzanne Bourgeois, affirme, dans les pages du journal L'Étoile du 8 décembre, que «Des compressions, des restructurations, des réformes, c'est bien beau, mais ça rend la situation volatile. Il faut s'assurer que les professionnels ont un environnement optimal pour accomplir leur mission, spécialement dans les écoles francophones qui ont une double mission d'assurer la réussite scolaire et de promouvoir et développer l'identité culturelle». Rappelons que l'étude a été menée auprès de 32 000 élèves de la 8e année (et du 2e secondaire au Québec) des dix provinces du Canada ainsi que du territoire du Yukon.
Le 30 novembre dernier, le Café l'Osmose était l'hôte d'un faux mariage entre une étudiante (Émilie Haché) et un étudiant (Rémi Gaudet). Cette cérémonie avait comme but de dénoncer le retour de la contribution parentale dans la formule permettant le calcul des prêts octroyés aux étudiantes et aux étudiants par la province du Nouveau-Brunswick. Selon les modalités actuelles du programme de prêts, les parents, selon le revenu de la famille, sont appelés à contribuer une somme spécifique au financement des études de leurs enfants (cette somme est soustraite du maximum pouvant être emprunté à la province). En plus de dénoncer le retour de la contribution parentale, le mariage avait comme but de dénoncer les incohérences dans les modalités du programme. En fait, deux personnes qui sont aux études peuvent échapper à la contribution parentale en décidant de se marier ou bien en se déclarant en union de fait. L'initiative de la FÉÉCUM a retenu l'attention de plusieurs médias et la nouvelle s'est propagée partout au Canada grâce aux médias sociaux, notamment par l'entremise de Facebook et de Twitter. Les journaux de la région y ont consacré leur page couverture le 1er décembre dernier, soit l'Acadie Nouvelle (qui a également publié un texte préparé par Patrick Lacelle) et le Times & Transcript (qui a publié un texte préparé par Aloma Jardine) et les réseaux de Radio-Canada (qui a traité de l'évènement en profondeur à l'émission Le réveil / Nouveau-Brunswick), de CBC (qui a publié un article sur son site Internet) et de CTV (qui a diffusé un reportage à l'émission CTV News Atlantic) y ont consacré du temps d'antenne. Rappelons que la contribution parentale avait été éliminée de la formule permettant de calculer les prêts du gouvernement du Nouveau-Brunswick en 2007. Cette décision avait été applaudie par l'ensemble des associations étudiantes du Nouveau-Brunswick et même par plusieurs associations étudiantes à la grandeur du Canada. Le gouvernement de la province est toutefois revenu sur sa décision suite au dépôt du premier budget du gouvernement de David Alward en mars 2011. Depuis le retour de la contribution parentale, son élimination fait partie des grandes recommandations faites au gouvernement par la FÉÉCUM.
Les élèves francophones du Nouveau-Brunswick : pauvres en lecture, mais forts en mathématiques
Un rapport publié par le Conseil des ministres de l'éducation du Canada le 28 novembre dernier affirme que les élèves des écoles publiques des provinces de l'Atlantique ont des résultats inférieurs à la moyenne canadienne. En matière de lecture, les résultats sont même inférieurs à ceux publiés dans le rapport du même organisme rendu public en 2007. Quand les résultats sont séparés entre les écoles francophones et les écoles anglophones, il est possible de constater que les élèves francophones du Nouveau-Brunswick s'améliorent, notamment en mathématiques et en sciences. En fait, par rapport aux élèves francophones d'ailleurs au Canada, les élèves du Nouveau-Brunswick se démarquent en mathématiques. Cette année, ils se classent au troisième rang derrière le Québec et l'Ontario en mathématiques. Même si le Ministre de l'éducation, Jody Carr, se réjouit des résultats des élèves francophones de la province, d'autres s'inquiètent des conséquences qu'auront, à l'avenir, les compressions budgétaires sur les résultats des élèves. Le député de Caraquet (et critique du Parti libéral en matière d'éducation), Hédart Albert, affirme, dans les pages de l'Acadie Nouvelle du 30 novembre, que «C'est certain que ces compressions vont nuire à l'éducation à l'avenir et l'on semble vouloir continuer. Si nous n'arrêtons pas cela, si nous n'investissons pas en éducation, j'ai bien peur que les résultats vont empirer». Quant à elle, la présidente de l'Association des enseignantes et des enseignants francophones du Nouveau-Brunswick, Suzanne Bourgeois, affirme, dans les pages du journal L'Étoile du 8 décembre, que «Des compressions, des restructurations, des réformes, c'est bien beau, mais ça rend la situation volatile. Il faut s'assurer que les professionnels ont un environnement optimal pour accomplir leur mission, spécialement dans les écoles francophones qui ont une double mission d'assurer la réussite scolaire et de promouvoir et développer l'identité culturelle». Rappelons que l'étude a été menée auprès de 32 000 élèves de la 8e année (et du 2e secondaire au Québec) des dix provinces du Canada ainsi que du territoire du Yukon.
mardi 29 novembre 2011
Revue de presse (du 19 au 25 novembre 2011)
L'Université de Moncton se classe 15e selon le magazine Maclean's
Chaque année, le magazine Maclean's publie son University Rankings Edition dans lequel il procède au classement de toute les universités canadiennes. Cette année, sur 19 universités dans la même catégorie (c'est-à-dire la catégorie des universités canadiennes qui offrent principalement des programmes de premier cycle), l'Université de Moncton se classe 15e. Il s'agit d'une amélioration par rapport à l'année précédente. En fait, en 2010, l'Université de Moncton se classait 20e sur 22 universités. Le président de la FÉÉCUM, Ghislain LeBlanc, a affirme, dans les pages du journal L'Étoile, voire d'un bon oeil le classement actuel de l'Université de Moncton, mais affirme avoir certaines réserves : «Même si on peut questionner la méthodologie de cette évaluation [du magazine Maclean's], on peut aussi tirer des conclusions. On peut voir comment [l'Université de Moncton] se classe par rapport aux autres. [Notre université] a tout de même des aspects positifs, comme le nombre d'étudiants par professeur. Avec ces informations, on peut maintenant identifier nos points faibles et voir s'il y a place à l'amélioration». En fait, pour ce qui a trait au ratio professeur(e)/étudiant(e), l'Université de Moncton se classe en premier rang, tandis qu'elle se classe au quatrième rang pour ce qui a trait aux acquisitions de la bibliothèque. Il demeure qu'au niveau de la réputation, l'Université de Moncton se classe 43e sur 49 universités. Selon Marie-Linda Lord, la vice-rectrice aux affaires étudiantes et internationales, ce résultat s'explique principalement par le fait que les intervenantes et les intervenants consulté(e)s par le magazine n'étaient pas au courant de la participation de l'Université de Moncton cette année : «[...] Ça n'avait pas été annoncé que l'Université de Moncton participait cette année. Il y a des gens qui n'ont pas répondu. C'est sûr qu'on a perdu des points là, parce que le taux de réponse n'a pas été assez élevé».
Le 23 novembre dernier, le gouvernement du Nouveau-Brunswick procédait à la lecture du discours du trône, entamant ainsi une nouvelle session à l'Assemblée législative. En éducation postsecondaire, le gouvernement de David Alward a réitéré son désir de conclure une entente, étalée sur plusieurs années, sur le financement des universités de la province (comme le souhaite d'ailleurs la FÉÉCUM et comme le Parti conservateur l'avait promis lors des dernières élections). Sur les autres fronts, le gouvernement affirme vouloir procéder à une série de consultations, notamment en matière de santé (pour la mise en place d'un plan pour les prochaines années), en matière de langues officielles (pour ce qui est de la révision de la Loi sur les langues officielles) ainsi qu'au niveau de la petite enfance (pour ce qui est de la révision d'une loi qui n'a pas encore été proclamée, soit la Loi sur les garderies éducatives). Même si le gouvernement n'a pas exprimé son intention de procéder à des consultations dans ce domaine, il a quand même exprimé son désire de procéder non seulement à une révision de la carte électorale (qui doit être fait, selon la loi, à chaque dix ans), mais aussi à la réduction du nombre de députées et de députés sans préciser, cependant, combien de circonscriptions cesseront d'exister et pour lesquelles il n'aura pas de candidates et de candidats au cours des prochaines élections. Les communautés du Nord de la province s'inquiètent déjà de la perte de représentation, tandis que la Société de l'Acadie du Nouveau-Brunswick (la SANB) s'inquiète de la perte possible de la représentation de la population acadienne.
Pauvreté infantile : toujours un problème au Canada
Même si le Nouveau-Brunswick fait bonne figure en matière de pauvreté infantile, le phénomène est encore bel et bien présent au Canada. Nous apprenions cette semaine 14% des enfants canadiens vivent dans la pauvreté. Après l'Île-du-Prince-Édouard, le Nouveau-Brunswick est la province avec le plus bas taux de pauvreté infantile. En fait, le taux est passé de 12% à 9,9% (tandis que le taux est de 9% à l'Île-du-Prince-Édouard). Selon le Directeur général du Human Development Council (qui a publié le rapport sur le Nouveau-Brunswick), Randy Hatfield, le taux du Nouveau-Brunswick «[...] correspond à environ 14 000 enfants [...]. C'est certain que c'est mieux que les 34 000 de 1989, mais [...] ça demeure tout de même un chiffre terrible et inacceptable». Rappelons que le gouvernement du Canada avait promis, en 1989, de mettre fin à la pauvreté chez les enfants avant l'année 2000. Le rapport du Human Development Council et le rapport de Campagne 2000 (qui traite de la pauvreté infantile pour l'ensemble du Canada), confirment que l'objectif que s'était fixé le gouvernement de l'époque n'a pas été atteint. Remarquons que l'augmentation du salaire minimum au Nouveau-Brunswick fait partie des recommandations faites au gouvernement provincial pour diminuer le taux de pauvreté infantile. Pourtant, le gouvernement actuel n'a pas procédé à l'augmentation du salaire minimum qui était prévue (qui devait faire passer le salaire minimum de 9,50$ l'heure à 10$ l'heure le 1er septembre dernier) et il étudie présentement la possibilité d'introduire un salaire minimum à deux paliers qui imposerait un salaire minimum moindre aux travailleuses et aux travailleurs qui cumulent, en raison de la nature de leur emploi, des pourboires. Nous rappelons qu'il est encore possible d'exprimer son opinion sur le sujet (dans le cadre de la consultation gouvernementale qui a lieu présentement) en remplissant le questionnaire qui se trouve à l'adresse suivante (et ce, jusqu'au 14 décembre prochain) : www.snb.ca/salaire.
Même si le Nouveau-Brunswick fait bonne figure en matière de pauvreté infantile, le phénomène est encore bel et bien présent au Canada. Nous apprenions cette semaine 14% des enfants canadiens vivent dans la pauvreté. Après l'Île-du-Prince-Édouard, le Nouveau-Brunswick est la province avec le plus bas taux de pauvreté infantile. En fait, le taux est passé de 12% à 9,9% (tandis que le taux est de 9% à l'Île-du-Prince-Édouard). Selon le Directeur général du Human Development Council (qui a publié le rapport sur le Nouveau-Brunswick), Randy Hatfield, le taux du Nouveau-Brunswick «[...] correspond à environ 14 000 enfants [...]. C'est certain que c'est mieux que les 34 000 de 1989, mais [...] ça demeure tout de même un chiffre terrible et inacceptable». Rappelons que le gouvernement du Canada avait promis, en 1989, de mettre fin à la pauvreté chez les enfants avant l'année 2000. Le rapport du Human Development Council et le rapport de Campagne 2000 (qui traite de la pauvreté infantile pour l'ensemble du Canada), confirment que l'objectif que s'était fixé le gouvernement de l'époque n'a pas été atteint. Remarquons que l'augmentation du salaire minimum au Nouveau-Brunswick fait partie des recommandations faites au gouvernement provincial pour diminuer le taux de pauvreté infantile. Pourtant, le gouvernement actuel n'a pas procédé à l'augmentation du salaire minimum qui était prévue (qui devait faire passer le salaire minimum de 9,50$ l'heure à 10$ l'heure le 1er septembre dernier) et il étudie présentement la possibilité d'introduire un salaire minimum à deux paliers qui imposerait un salaire minimum moindre aux travailleuses et aux travailleurs qui cumulent, en raison de la nature de leur emploi, des pourboires. Nous rappelons qu'il est encore possible d'exprimer son opinion sur le sujet (dans le cadre de la consultation gouvernementale qui a lieu présentement) en remplissant le questionnaire qui se trouve à l'adresse suivante (et ce, jusqu'au 14 décembre prochain) : www.snb.ca/salaire.
lundi 28 novembre 2011
Pour contester la contribution parentale, deux étudiants de l'Université de Moncton se marient
La FÉÉCUM proclame l’indépendance des étudiants de leurs parents
La Fédération des étudiants et des étudiantes de l’Université de Moncton (FÉÉCUM) organise et vous convoque à un (faux) mariage entre deux étudiants le mercredi 30 novembre prochain à 14h, événement contestataire de la récente décision du gouvernement du Nouveau-Brunswick de rétablir l’inclusion de la contribution parentale dans le calcul du prêt étudiant.
Dans son récent document des 7 recommandations faites au Nouveau-Brunswick, la FÉÉCUM demandait entre autres que la contribution parentale soit à nouveau éliminée du calcul du prêt, son retour suite aux dernières élections n’ayant pas fait des heureux chez les étudiants de la province. « L’élimination de la contribution parentale avait été applaudie par les groupes étudiants et les universités des autres provinces, » explique Ghislain LeBlanc, président de la FÉÉCUM. « C’est donc pour nous un pas vers l’arrière. »
Pour contester la situation, la FÉÉCUM organise un mariage entre deux étudiants – Rémi Gaudet et Émilie Haché – ce mercredi 30 novembre à 14h au Café Osmose (Centre étudiant). À travers la cérémonie et la réception qui suivra, les étudiants de l’Université de Moncton manifesteront contre la discrimination faite aux jeunes par le système d’aide financière du Nouveau-Brunswick, tout en illuminant ses failles les plus ridicules.
« On peut le présumer tant qu’on veut, rien ne garantit que les parents puissent contribuer financièrement aux études de leurs enfants et plusieurs étudiants se retrouveront avec des manques à combler, » souligne M. LeBlanc. « De plus, la FÉÉCUM considère que le gouvernement fait de la discrimination envers les jeunes qui vont à l’université. Par exemple, un jeune qui décide d’aller travailler après l’obtention d’un diplôme du secondaire ne sera dépendant de ses parents que pour deux ans, tandis qu’un jeune qui décide d’aller directement à l’université ne sera pas considéré autonome avant la fin d’un baccalauréat, soit quatre ans. » La restauration de la contribution parentale dans le calcul du prêt étudiant affecte présentement quelques 4500 étudiants néo-brunswickois. Le gouvernement du Nouveau-Brunswick prétend économiser 1,6 millions $ grâce à cette politique, mais cela correspond à 8 millions $ qui ne seront pas prêtés aux étudiants par année. (Le système coûte au N.-B. 20% du prêt global.)
L’invitation de mariage est disponible sur le site Internet de la FÉÉCUM au www.feecum.ca et a été envoyée à tous les députés provinciaux et fédéraux du Nouveau-Brunswick.
La Fédération des étudiants et des étudiantes de l’Université de Moncton (FÉÉCUM) organise et vous convoque à un (faux) mariage entre deux étudiants le mercredi 30 novembre prochain à 14h, événement contestataire de la récente décision du gouvernement du Nouveau-Brunswick de rétablir l’inclusion de la contribution parentale dans le calcul du prêt étudiant.
Dans son récent document des 7 recommandations faites au Nouveau-Brunswick, la FÉÉCUM demandait entre autres que la contribution parentale soit à nouveau éliminée du calcul du prêt, son retour suite aux dernières élections n’ayant pas fait des heureux chez les étudiants de la province. « L’élimination de la contribution parentale avait été applaudie par les groupes étudiants et les universités des autres provinces, » explique Ghislain LeBlanc, président de la FÉÉCUM. « C’est donc pour nous un pas vers l’arrière. »
Pour contester la situation, la FÉÉCUM organise un mariage entre deux étudiants – Rémi Gaudet et Émilie Haché – ce mercredi 30 novembre à 14h au Café Osmose (Centre étudiant). À travers la cérémonie et la réception qui suivra, les étudiants de l’Université de Moncton manifesteront contre la discrimination faite aux jeunes par le système d’aide financière du Nouveau-Brunswick, tout en illuminant ses failles les plus ridicules.
« On peut le présumer tant qu’on veut, rien ne garantit que les parents puissent contribuer financièrement aux études de leurs enfants et plusieurs étudiants se retrouveront avec des manques à combler, » souligne M. LeBlanc. « De plus, la FÉÉCUM considère que le gouvernement fait de la discrimination envers les jeunes qui vont à l’université. Par exemple, un jeune qui décide d’aller travailler après l’obtention d’un diplôme du secondaire ne sera dépendant de ses parents que pour deux ans, tandis qu’un jeune qui décide d’aller directement à l’université ne sera pas considéré autonome avant la fin d’un baccalauréat, soit quatre ans. » La restauration de la contribution parentale dans le calcul du prêt étudiant affecte présentement quelques 4500 étudiants néo-brunswickois. Le gouvernement du Nouveau-Brunswick prétend économiser 1,6 millions $ grâce à cette politique, mais cela correspond à 8 millions $ qui ne seront pas prêtés aux étudiants par année. (Le système coûte au N.-B. 20% du prêt global.)
L’invitation de mariage est disponible sur le site Internet de la FÉÉCUM au www.feecum.ca et a été envoyée à tous les députés provinciaux et fédéraux du Nouveau-Brunswick.
vendredi 25 novembre 2011
jeudi 24 novembre 2011
Revue de presse (du 12 au 18 novembre 2011)
Étudiantes et étudiants à faible revenu : création d'un nouveau fonds de bourses
Le Ministère de l'éducation postsecondaire annonçait, le 16 novembre dernier, la création d'un nouveau fonds de bourses d'un million de dollars destiné aux étudiantes et aux étudiants à faible revenu. Les étudiantes et les étudiantes qui possèdent un prêt du gouvernement du Nouveau-Brunswick et qui sont considéré(e)s comme ayant un faible revenu, selon les critères établis par le programme de prêts, bénéficieront automatiquement de ces bourses qui seront d'une valeur annuelle maximale de 3000$. Selon les prévisions du ministère, environ 450 étudiantes et étudiants du Nouveau-Brunswick auront accès au nouveau fonds. La Ministre de l'éducation postsecondaire, Martine Coulombe, affirme, dans un communiqué envoyé par le gouvernement, que : «La création de ce nouveau fonds de bourses constitue une première étape vers la réalisation de l'engagement du gouvernement de fournir un financement accru aux étudiants qui ont le plus besoin [...]. Ce fonds de bourses rejoint également la Stratégie de réduction de la pauvreté et favorise l'accès aux études postsecondaires».
Début des travaux d'agrandissement du Centre de formation médicale du Nouveau-Brunswick
La Ministre de l'éducation postsecondaire, Martine Coulombe, était de passage au Campus de Moncton le 17 novembre dernier pour assister à la pelletée de terre soulignant le début des travaux d'agrandissement du Centre de formation médicale du Nouveau-Brunswick. L'ajout de 18 000 pieds carrés était devenu nécessaire en raison du manque d'espace causé par la croissance du nombre d'étudiantes et d'étudiants, mais aussi par l'ajout de personnel (notamment de professeures et de professeurs). Le projet d'agrandissement de 6,9 millions de dollars permettra d'ajouter des locaux d'enseignement (notamment un amphithéâtre qui pourra accueillir 150 personnes), des locaux d'étude ainsi que des laboratoires. Pour la Ministre, le financement du gouvernement provincial ne va pas seulement être bénéfique pour la population étudiante et pour le corps professoral, mais aussi pour l'ensemble de la province en raison des retombées prévues : «Cet agrandissement va donner la possibilité de répondre aux besoins du centre de formation et aussi apporter une chance au développement de la recherche qui peut être très bénéfique pour l'amélioration de la santé au Nouveau-Brunswick».
Salaire minimum au Nouveau-Brunswick : toujours dans la mire du gouvernement
Depuis mars 2010, le gouvernement du Nouveau-Brunswick étudie la possibilité de mettre en place un salaire minimum à deux paliers. Ainsi, les travailleuses et les travailleurs qui reçoivent, dans le cadre de leur travail, des pourboires, toucheraient un salaire minimum inférieur à celui des travailleuses et des travailleurs des autres secteurs. Dans un texte publié dans l'Acadie Nouvelle du 17 novembre dernier, Jody Dallaire fait remarquer que près de 4200 personnes travaillent en tant que serveuse ou serveur au Nouveau-Brunswick et que le salaire moyen (sans les pourboires) d'une telle personne se trouve entre 10 000$ et 13 000$ par année. De plus, une large part de la population qui sera touchée par une telle initiative sera les femmes, notamment les plus jeunes. Dans un texte publié dans le Times & Transcript du 8 novembre, un restaurateur de la région de Fredericton, Phil O'Reilly, explique que l'obtention d'un pourboire n'est pas garantie. Il est possible, selon lui, de faire 200$ de pourboire au cours d'une journée et de faire que 20$ de pourboire le lendemain. Dans le même texte, on apprend que le Front commun pour la justice sociale dénonce la consultation publique que fait présentement le gouvernement. Selon l'organisme, le gouvernement ne fait qu'une fausse consultation puisque le questionnaire sur Internet ne permet pas d'alimenter le débat tout comme il semble être orienté en faveur de l'instauration d'un salaire minimum à deux paliers. Nous rappelons qu'il est encore possible d'exprimer son opinion sur le sujet, dans le cadre de la consultation gouvernementale, en remplissant le questionnaire qui se trouve à l'adresse suivante (et ce, jusqu'au 14 décembre prochain) : www.snb.ca/salaire.
Le Ministère de l'éducation postsecondaire annonçait, le 16 novembre dernier, la création d'un nouveau fonds de bourses d'un million de dollars destiné aux étudiantes et aux étudiants à faible revenu. Les étudiantes et les étudiantes qui possèdent un prêt du gouvernement du Nouveau-Brunswick et qui sont considéré(e)s comme ayant un faible revenu, selon les critères établis par le programme de prêts, bénéficieront automatiquement de ces bourses qui seront d'une valeur annuelle maximale de 3000$. Selon les prévisions du ministère, environ 450 étudiantes et étudiants du Nouveau-Brunswick auront accès au nouveau fonds. La Ministre de l'éducation postsecondaire, Martine Coulombe, affirme, dans un communiqué envoyé par le gouvernement, que : «La création de ce nouveau fonds de bourses constitue une première étape vers la réalisation de l'engagement du gouvernement de fournir un financement accru aux étudiants qui ont le plus besoin [...]. Ce fonds de bourses rejoint également la Stratégie de réduction de la pauvreté et favorise l'accès aux études postsecondaires».
Début des travaux d'agrandissement du Centre de formation médicale du Nouveau-Brunswick
La Ministre de l'éducation postsecondaire, Martine Coulombe, était de passage au Campus de Moncton le 17 novembre dernier pour assister à la pelletée de terre soulignant le début des travaux d'agrandissement du Centre de formation médicale du Nouveau-Brunswick. L'ajout de 18 000 pieds carrés était devenu nécessaire en raison du manque d'espace causé par la croissance du nombre d'étudiantes et d'étudiants, mais aussi par l'ajout de personnel (notamment de professeures et de professeurs). Le projet d'agrandissement de 6,9 millions de dollars permettra d'ajouter des locaux d'enseignement (notamment un amphithéâtre qui pourra accueillir 150 personnes), des locaux d'étude ainsi que des laboratoires. Pour la Ministre, le financement du gouvernement provincial ne va pas seulement être bénéfique pour la population étudiante et pour le corps professoral, mais aussi pour l'ensemble de la province en raison des retombées prévues : «Cet agrandissement va donner la possibilité de répondre aux besoins du centre de formation et aussi apporter une chance au développement de la recherche qui peut être très bénéfique pour l'amélioration de la santé au Nouveau-Brunswick».
Salaire minimum au Nouveau-Brunswick : toujours dans la mire du gouvernement
Depuis mars 2010, le gouvernement du Nouveau-Brunswick étudie la possibilité de mettre en place un salaire minimum à deux paliers. Ainsi, les travailleuses et les travailleurs qui reçoivent, dans le cadre de leur travail, des pourboires, toucheraient un salaire minimum inférieur à celui des travailleuses et des travailleurs des autres secteurs. Dans un texte publié dans l'Acadie Nouvelle du 17 novembre dernier, Jody Dallaire fait remarquer que près de 4200 personnes travaillent en tant que serveuse ou serveur au Nouveau-Brunswick et que le salaire moyen (sans les pourboires) d'une telle personne se trouve entre 10 000$ et 13 000$ par année. De plus, une large part de la population qui sera touchée par une telle initiative sera les femmes, notamment les plus jeunes. Dans un texte publié dans le Times & Transcript du 8 novembre, un restaurateur de la région de Fredericton, Phil O'Reilly, explique que l'obtention d'un pourboire n'est pas garantie. Il est possible, selon lui, de faire 200$ de pourboire au cours d'une journée et de faire que 20$ de pourboire le lendemain. Dans le même texte, on apprend que le Front commun pour la justice sociale dénonce la consultation publique que fait présentement le gouvernement. Selon l'organisme, le gouvernement ne fait qu'une fausse consultation puisque le questionnaire sur Internet ne permet pas d'alimenter le débat tout comme il semble être orienté en faveur de l'instauration d'un salaire minimum à deux paliers. Nous rappelons qu'il est encore possible d'exprimer son opinion sur le sujet, dans le cadre de la consultation gouvernementale, en remplissant le questionnaire qui se trouve à l'adresse suivante (et ce, jusqu'au 14 décembre prochain) : www.snb.ca/salaire.
jeudi 17 novembre 2011
Coupe FÉÉCUM : Enfin une victoire pour les Arts!
C'est hier soir que se déroulait la troisième épreuve de la 7e Coupe FÉÉCUM, un « game show » à thème musical qui mettait aux prises 13 équipes représentant divers groupes étudiants. Animé par la star de Rogers/BoFM/la Licum/le Sénat académique, Justin Guitard (qui devait aussi chanter quelques indices musicaux), et aggrémenté musicalement par vp social DJ Oli, la soirée c'est très bien passée.
La première ronde, un trivia d'équipe, élimine d'abord 3 équipes - Logements, Ingénierie et Kiné-Récréo. La deuxième, dans le même style, réduit le pool à 4 équipes seulement : Admin, Arts, Médias universitaires (MAUI) et Traduction (les champions de cette compétition l'an dernier). À partir de la demi-finale, on jouait des jeux de type "La Fureur", et il fallait entendre l'interprétation « fredonnée » de Toxic par le président d'Admin, Rémi Gaudet, pour la croire. C'est peut-être à cause de ça que les MAUI avancent en finale. L'autre demi est chaudement contestée, alors que Traduction et Arts répondent une question pour briser l'égalité. En finale... les Arts!
Une belle finale! Les Arts et les MAUI s'affrontent dans un jeu de « chanson arrêtée » qui est décidée par à peine 2 secondes de déphasage. Ce sont les Arts qui remportent une victoire longuement attentue.
Il faut dire que bien que l'équipe des Arts s'est historiquement tenue dans les top 3 presque chaque année, elle n'avait pas remporté une épreuve depuis janvier 2009, quelque 18 épreuves passées! Félicitations, et enjoyez votre sélection de CDs et de billets de spectacles offerts par CKUM et les Loisirs socioculturels.
Le classement de l'épreuve :
1-Arts
2-MAUI
3-Administration
3-Traduction
5-Sciences sociales
6-Sciences
7-Éducation
8-Médecine
9-Nutrition
10-Athlétisme
11-Ingénierie
11-Kiné-Récréo
13-Logement
Le classement à jour après la moitié des épreuves sur notre site Internet. Rendez-vous aux équipes en janvier pour l'Olympiade de jeux de société, un nouvel événement pour la Coupe FÉÉCUM.
La première ronde, un trivia d'équipe, élimine d'abord 3 équipes - Logements, Ingénierie et Kiné-Récréo. La deuxième, dans le même style, réduit le pool à 4 équipes seulement : Admin, Arts, Médias universitaires (MAUI) et Traduction (les champions de cette compétition l'an dernier). À partir de la demi-finale, on jouait des jeux de type "La Fureur", et il fallait entendre l'interprétation « fredonnée » de Toxic par le président d'Admin, Rémi Gaudet, pour la croire. C'est peut-être à cause de ça que les MAUI avancent en finale. L'autre demi est chaudement contestée, alors que Traduction et Arts répondent une question pour briser l'égalité. En finale... les Arts!
Une belle finale! Les Arts et les MAUI s'affrontent dans un jeu de « chanson arrêtée » qui est décidée par à peine 2 secondes de déphasage. Ce sont les Arts qui remportent une victoire longuement attentue.
Il faut dire que bien que l'équipe des Arts s'est historiquement tenue dans les top 3 presque chaque année, elle n'avait pas remporté une épreuve depuis janvier 2009, quelque 18 épreuves passées! Félicitations, et enjoyez votre sélection de CDs et de billets de spectacles offerts par CKUM et les Loisirs socioculturels.
Le classement de l'épreuve :
1-Arts
2-MAUI
3-Administration
3-Traduction
5-Sciences sociales
6-Sciences
7-Éducation
8-Médecine
9-Nutrition
10-Athlétisme
11-Ingénierie
11-Kiné-Récréo
13-Logement
Le classement à jour après la moitié des épreuves sur notre site Internet. Rendez-vous aux équipes en janvier pour l'Olympiade de jeux de société, un nouvel événement pour la Coupe FÉÉCUM.
mardi 15 novembre 2011
Revue de presse (du 22 octobre au 11 novembre 2011)
Les 7 recommandations : la FÉÉCUM retient l'attention de Radio-Canada Acadie et de l'Acadie Nouvelle
Au cours des dernières semaines, les journalistes de Radio-Canada Acadie et de l'Acadie Nouvelle se sont intéressés aux 7 recommandations formulées par la FÉÉCUM dans le but de rectifier les problèmes qui existent présentement dans le système d'éducation postsecondaire du Nouveau-Brunswick. Le président de la FÉÉCUM, Ghislain LeBlanc, était l'invité de Martin Robert au Téléjournal Acadie du 30 octobre dernier, tandis que le contenu du document préparé par la FÉÉCUM était l'objet de l'éditorial de Jean Saint-Cyr dans l'Acadie Nouvelle du 10 novembre. Dans son éditorial, Jean Saint-Cyr affirme appuyer les revendications des étudiantes et des étudiants de l'Université de Moncton (notamment pour ce qui a trait à l'idée de réviser le programme de prêts du gouvernement du Nouveau-Brunswick) et rappelle que la Commission sur l'éducation postsecondaire au Nouveau-Brunswick trouvait aussi le niveau d'endettement problématique. Il y a un peu plus de quatre ans, les commissaires affirmaient, dans leur rapport final, que «Les niveaux d’endettement élevés représentent un facteur qui contribue aux défauts de remboursement des prêts, surtout chez les diplômés qui connaissent des périodes de faible revenu après l’obtention du diplôme. Les niveaux d’endettement élevés contribuent également à des taux de décrochage plus élevés. En revanche, nous savons également que les étudiants qui reçoivent des bourses d’études, ce qui permet la réduction de leur endettement, demeurent à l’école plus longtemps et sont plus susceptibles de terminer leur programme d’études. De même, les étudiants du premier cycle dont les niveaux d’endettement sont plus élevés sont moins portés à entreprendre des études de deuxième cycle».
Éducation publique : un prix pour l'ancien Premier ministre du Nouveau-Brunswick, Bernard Lord
Les initiatives entreprises par Bernard Lord quand il était Premier ministre du Nouveau-Brunswick (entre 1999 et 2006) dans le domaine de l'éducation ont été reconnues par l'organisme Partenariat en éducation le 9 novembre dernier lors d'une activité qui s'est déroulée à Dieppe. Au cours de son mandat, le gouvernement de Bernard Lord a procédé à la décentralisation du système d'éducation (primaire et secondaire), à des investissements en matière de technologies en salle de classe, ainsi qu'à la mise en place du Plan d'apprentissage de qualité qui prévoyait l'ajout de 125 nouveaux postes d'enseignantes et d'enseignant dans le système d'éducation publique de la province chaque année pour une période de quatre ans. Bernard Lord en a profité pour rappeler jusqu'à quel point l'éducation est un investissement pour tout gouvernement : «Si on veut surmonter ces défis [économiques], nous devons investir dans le savoir, nous devons investir en éducation et nous devons investir dans la jeunesse». Rappelons que le Ministre de l'éducation actuel, Jody Carr, avait créé tout un tollé quand il avait décidé d'exiger des compressions dans les budgets des districts scolaires de la province. Il n'a pas encore fait savoir s'il va exiger de telles compressions au cours de l'année financière prochaine. Nous devrons probablement attendre au dépôt du prochain budget du gouvernement pour le savoir. Malgré les récentes compressions dans le milieu de l'éducation, Bernard Lord continu de croire que le gouvernement de David Alward reconnait l'importance de l'éducation pour l'avenir de la province. Il est d'avis que le gouvernement doit exiger des compressions dans tous les secteurs, sans identifier des secteurs clés parce qu'il fait face à une situation financière particulièrement difficile.
Augmentation des droits de scolarité : la population étudiante manifeste au Québec
Le 10 novembre fut journée de manifestation au Québec. C'est dans les rues de Montréal que des étudiantes et des étudiants de partout au Québec ont manifesté leur mécontentement à l'égard de la décision du gouvernement du Québec d'augmenter les droits de scolarité. En gros, l'augmentation des droits de scolarité est de l'ordre de 325$ par année, et ce, pour les prochains cinq ans (ce qui représente une augmentation totale de 1625$). Le gouvernement du Québec maintient sa position malgré la vive opposition de la Fédération étudiante universitaire du Québec (la FEUQ) et la Fédération étudiante collégiale du Québec (la FECQ), mais aussi malgré la mise en garde exprimée par le Comité consultatif sur l'accessibilité financière aux études qui affirmait, il y a quelques mois seulement, que la population étudiante du Québec risquait de diminuer de 2,5% en raison de l'augmentation annoncée. La présidente de la FEUQ, Martine Desjardins, fait remarquer que le gouvernement de Jean Charest n'a pas étudié les besoins financiers réels des universités avant d'annoncer l'augmentation des droits de scolarité : «On est en train de demander à des étudiants, les plus pauvres, d'aller payer pour, finalement, dépenser de l'argent, mais on ne sait même pas où on va la mettre». Le Ministre des finances du Québec, Raymond Bachand, quant à lui, fait remarquer que les étudiantes et les étudiants doivent assumer une plus grande partie du coût de l'éducation qui leur est livrée puisqu'ils feront entre 600 000$ et 700 000$ de plus que la population qui n'a pas d'éducation postsecondaire, et ce, au cours de leur vie. Malgré l'augmentation annoncée, il est important de noter que les droits de scolarités du Québec sont quand même parmi les plus avantageux du Canada.
Au cours des dernières semaines, les journalistes de Radio-Canada Acadie et de l'Acadie Nouvelle se sont intéressés aux 7 recommandations formulées par la FÉÉCUM dans le but de rectifier les problèmes qui existent présentement dans le système d'éducation postsecondaire du Nouveau-Brunswick. Le président de la FÉÉCUM, Ghislain LeBlanc, était l'invité de Martin Robert au Téléjournal Acadie du 30 octobre dernier, tandis que le contenu du document préparé par la FÉÉCUM était l'objet de l'éditorial de Jean Saint-Cyr dans l'Acadie Nouvelle du 10 novembre. Dans son éditorial, Jean Saint-Cyr affirme appuyer les revendications des étudiantes et des étudiants de l'Université de Moncton (notamment pour ce qui a trait à l'idée de réviser le programme de prêts du gouvernement du Nouveau-Brunswick) et rappelle que la Commission sur l'éducation postsecondaire au Nouveau-Brunswick trouvait aussi le niveau d'endettement problématique. Il y a un peu plus de quatre ans, les commissaires affirmaient, dans leur rapport final, que «Les niveaux d’endettement élevés représentent un facteur qui contribue aux défauts de remboursement des prêts, surtout chez les diplômés qui connaissent des périodes de faible revenu après l’obtention du diplôme. Les niveaux d’endettement élevés contribuent également à des taux de décrochage plus élevés. En revanche, nous savons également que les étudiants qui reçoivent des bourses d’études, ce qui permet la réduction de leur endettement, demeurent à l’école plus longtemps et sont plus susceptibles de terminer leur programme d’études. De même, les étudiants du premier cycle dont les niveaux d’endettement sont plus élevés sont moins portés à entreprendre des études de deuxième cycle».
Éducation publique : un prix pour l'ancien Premier ministre du Nouveau-Brunswick, Bernard Lord
Les initiatives entreprises par Bernard Lord quand il était Premier ministre du Nouveau-Brunswick (entre 1999 et 2006) dans le domaine de l'éducation ont été reconnues par l'organisme Partenariat en éducation le 9 novembre dernier lors d'une activité qui s'est déroulée à Dieppe. Au cours de son mandat, le gouvernement de Bernard Lord a procédé à la décentralisation du système d'éducation (primaire et secondaire), à des investissements en matière de technologies en salle de classe, ainsi qu'à la mise en place du Plan d'apprentissage de qualité qui prévoyait l'ajout de 125 nouveaux postes d'enseignantes et d'enseignant dans le système d'éducation publique de la province chaque année pour une période de quatre ans. Bernard Lord en a profité pour rappeler jusqu'à quel point l'éducation est un investissement pour tout gouvernement : «Si on veut surmonter ces défis [économiques], nous devons investir dans le savoir, nous devons investir en éducation et nous devons investir dans la jeunesse». Rappelons que le Ministre de l'éducation actuel, Jody Carr, avait créé tout un tollé quand il avait décidé d'exiger des compressions dans les budgets des districts scolaires de la province. Il n'a pas encore fait savoir s'il va exiger de telles compressions au cours de l'année financière prochaine. Nous devrons probablement attendre au dépôt du prochain budget du gouvernement pour le savoir. Malgré les récentes compressions dans le milieu de l'éducation, Bernard Lord continu de croire que le gouvernement de David Alward reconnait l'importance de l'éducation pour l'avenir de la province. Il est d'avis que le gouvernement doit exiger des compressions dans tous les secteurs, sans identifier des secteurs clés parce qu'il fait face à une situation financière particulièrement difficile.
Augmentation des droits de scolarité : la population étudiante manifeste au Québec
Le 10 novembre fut journée de manifestation au Québec. C'est dans les rues de Montréal que des étudiantes et des étudiants de partout au Québec ont manifesté leur mécontentement à l'égard de la décision du gouvernement du Québec d'augmenter les droits de scolarité. En gros, l'augmentation des droits de scolarité est de l'ordre de 325$ par année, et ce, pour les prochains cinq ans (ce qui représente une augmentation totale de 1625$). Le gouvernement du Québec maintient sa position malgré la vive opposition de la Fédération étudiante universitaire du Québec (la FEUQ) et la Fédération étudiante collégiale du Québec (la FECQ), mais aussi malgré la mise en garde exprimée par le Comité consultatif sur l'accessibilité financière aux études qui affirmait, il y a quelques mois seulement, que la population étudiante du Québec risquait de diminuer de 2,5% en raison de l'augmentation annoncée. La présidente de la FEUQ, Martine Desjardins, fait remarquer que le gouvernement de Jean Charest n'a pas étudié les besoins financiers réels des universités avant d'annoncer l'augmentation des droits de scolarité : «On est en train de demander à des étudiants, les plus pauvres, d'aller payer pour, finalement, dépenser de l'argent, mais on ne sait même pas où on va la mettre». Le Ministre des finances du Québec, Raymond Bachand, quant à lui, fait remarquer que les étudiantes et les étudiants doivent assumer une plus grande partie du coût de l'éducation qui leur est livrée puisqu'ils feront entre 600 000$ et 700 000$ de plus que la population qui n'a pas d'éducation postsecondaire, et ce, au cours de leur vie. Malgré l'augmentation annoncée, il est important de noter que les droits de scolarités du Québec sont quand même parmi les plus avantageux du Canada.
jeudi 10 novembre 2011
mercredi 9 novembre 2011
Salaire minimum : le gouvernement du Nouveau-Brunswick consulte la population
Depuis un certain moment déjà, nous savons que le gouvernement du Nouveau-Brunswick étudie la possibilité de mettre en place un salaire minimum à deux paliers. En juin dernier, le gouvernement affirmait étudier trois options soit (1) la mise en place d'un salaire minimum inférieur pour les travailleuses et les travailleurs de moins de 18 ans, (2) la mise en place d'un salaire minimum inférieur pour les travailleuses et les travailleurs en formation et (3) la mise en place d'un salaire minimum inférieur pour les travailleuses et les travailleurs qui reçoivent des pourboires dans le cadre de leur travail.
Dans une lettre envoyée à la Ministre de l'éducation postsecondaire, de la formation et du travail, Martine Coulombe, la FÉÉCUM a clairement exprimé son désaccord à l'égard de ces trois options. Selon la FÉÉCUM, la mise en place d'un salaire minimum à deux paliers «[ne va] pas dans le sens des
intérêts de notre province d’un point de vue économique, mais aussi d’un point
de vue sociétal». En fait, «il ne s’agit pas d’un moyen efficace de réduire les dépenses,
et la mise en place d’un salaire minimum à deux paliers aura des conséquences
importantes sur les jeunes qui seront [...] les plus touchés si le
gouvernement allait de l’avant avec l’idée».
La semaine dernière, le gouvernement a lancé une consultation publique afin de connaître l'opinion de la population néo-brunswickoise à l'égard de la mise en place d'un salaire minimum à deux paliers (et notamment afin de savoir ce que la population pense de la mise en place d'un salaire minimum inférieur pour la population qui reçoit des pourboires dans le cadre de leur travail). Nous vous invitons à faire connaître votre opinion en répondant au court sondage qui se trouve au : www.gnb.ca/consultations. Faites rapidement puisque la consultation publique prend fin le 14 décembre prochain!
jeudi 27 octobre 2011
La FÉÉCUM fait sept recommandations au gouvernement du N.-B.
Le système d’éducation postsecondaire a besoin de révisions majeures
La Fédération des étudiants et des étudiantes de l’Université de Moncton (FÉÉCUM) lance aujourd’hui ses sept grandes recommandations au gouvernement du Nouveau-Brunswick afin de réparer le système d’éducation postsecondaire de la province, un système qui, deux mois après le début de l’année universitaire, montre bien des failles.
Un des aspects que la Fédération étudiante veut voir révisé urgemment est le système de prêt étudiant. « Nous recommandons entre autres que la contribution parentale soit à nouveau éliminée du calcul du prêt, » explique Ghislain LeBlanc, président de la FÉÉCUM. « De plus, les étudiants sont pénalisés s’ils travaillent l’été et pendant l’année universitaire. Nous recommandons que la contribution de l’étudiant soit fixée à 700$, ce qui simplifierait de beaucoup le système à la fois pour l’étudiant et pour le gouvernement, sans pénaliser les étudiants qui doivent travailler pour combler le manque à gagner. » La FÉÉCUM demande aussi à ce que le prêt étudiant reflète davantage le coût de la vie, ce qui n’est pas présentement le cas.
L’endettement continue d’être un cheval de bataille important pour les étudiants, et la Fédération recommande donc que le Programme de prestation du Nouveau-Brunswick pour l’achèvement des études dans le délai prévu soit beaucoup plus accessible aux étudiants qui en ont besoin. « Les étudiants qui ont le plus grand besoin financier sont souvent ceux qui doivent prendre plus de temps à compléter leurs études. Ils travaillent, manquent d’argent pour payer leurs droits de scolarité, etc. » souligne M. LeBlanc. « Le programme devrait offrir aux étudiants la chance d’alléger leur dette de toute somme excédant 26 000$ pendant les quatre premières années d’études. Ils assumeraient eux-mêmes toutes les années supplémentaires. »
La FÉÉCUM tient toujours aussi à une entente pluriannuelle qui permettra aux universités de fonctionner adéquatement et d’offrir une éducation de qualité, tout en assurant l’accès à l’éducation postsecondaire à travers des droits de scolarité avantageux et abordables, ainsi que l’abolition du Rabais sur les droits de scolarité du N.-B. (argent mal utilisée, selon la FÉÉCUM) et un mécanisme d’évaluation régulière des programmes qui touchent les étudiants et diplômés. La Fédération compte rencontrer le gouvernement à ce sujet dans les semaines à venir.
Les recommandations sont disponibles sur le site Internet de la FÉÉCUM au www.feecum.ca et ont été envoyées à tous les députés provinciaux et fédéraux du Nouveau-Brunswick.
Le document des 7 grandes recommandations disponible sur notre site Internet.
La Fédération des étudiants et des étudiantes de l’Université de Moncton (FÉÉCUM) lance aujourd’hui ses sept grandes recommandations au gouvernement du Nouveau-Brunswick afin de réparer le système d’éducation postsecondaire de la province, un système qui, deux mois après le début de l’année universitaire, montre bien des failles.
Un des aspects que la Fédération étudiante veut voir révisé urgemment est le système de prêt étudiant. « Nous recommandons entre autres que la contribution parentale soit à nouveau éliminée du calcul du prêt, » explique Ghislain LeBlanc, président de la FÉÉCUM. « De plus, les étudiants sont pénalisés s’ils travaillent l’été et pendant l’année universitaire. Nous recommandons que la contribution de l’étudiant soit fixée à 700$, ce qui simplifierait de beaucoup le système à la fois pour l’étudiant et pour le gouvernement, sans pénaliser les étudiants qui doivent travailler pour combler le manque à gagner. » La FÉÉCUM demande aussi à ce que le prêt étudiant reflète davantage le coût de la vie, ce qui n’est pas présentement le cas.
L’endettement continue d’être un cheval de bataille important pour les étudiants, et la Fédération recommande donc que le Programme de prestation du Nouveau-Brunswick pour l’achèvement des études dans le délai prévu soit beaucoup plus accessible aux étudiants qui en ont besoin. « Les étudiants qui ont le plus grand besoin financier sont souvent ceux qui doivent prendre plus de temps à compléter leurs études. Ils travaillent, manquent d’argent pour payer leurs droits de scolarité, etc. » souligne M. LeBlanc. « Le programme devrait offrir aux étudiants la chance d’alléger leur dette de toute somme excédant 26 000$ pendant les quatre premières années d’études. Ils assumeraient eux-mêmes toutes les années supplémentaires. »
La FÉÉCUM tient toujours aussi à une entente pluriannuelle qui permettra aux universités de fonctionner adéquatement et d’offrir une éducation de qualité, tout en assurant l’accès à l’éducation postsecondaire à travers des droits de scolarité avantageux et abordables, ainsi que l’abolition du Rabais sur les droits de scolarité du N.-B. (argent mal utilisée, selon la FÉÉCUM) et un mécanisme d’évaluation régulière des programmes qui touchent les étudiants et diplômés. La Fédération compte rencontrer le gouvernement à ce sujet dans les semaines à venir.
Les recommandations sont disponibles sur le site Internet de la FÉÉCUM au www.feecum.ca et ont été envoyées à tous les députés provinciaux et fédéraux du Nouveau-Brunswick.
Le document des 7 grandes recommandations disponible sur notre site Internet.
mardi 25 octobre 2011
Revue de presse (du 15 au 21 octobre 2011)
Langues officielles : des compressions et des annonces préoccupantes
Cette semaine, des sujets ayant rapport aux langues officielles du Canada ont retenu l'attention des médias francophones. Tout d'abord, le Commissaire aux langues officielles du Canada a publié son rapport annuel le 18 octobre dernier. Dans son rapport, le Commissaire dit se préoccuper de plusieurs situations qu'il juge problématiques, notamment des conséquences que pourrait avoir, sur les populations minoritaires (notamment les francophones qui habitent à l'extérieur du Québec), la révision d'une série de programmes gouvernementaux. Selon les indications du gouvernement, certains programmes subiront des compressions de l'ordre de 5% et d'autres de l'ordre de 10%. L'inquiétude du Commissaire est que : «chaque institution, par coïncidence, trouve [...] qu'ils vont [devoir] couper [...] dans des formations linguistiques ou des programmes qui touchent les communautés de langues officielles». De plus, le Commissaire fait remarquer que le gouvernement actuel manque de leadership pour ce qui a trait à l'application de la Loi sur les langues officielles, notamment «par rapport à la promotion de l'usage des deux langues et dans l'appui du développement des communautés de langue officielle en situation minoritaire». Des compressions pourraient alors aggraver une situation qui est déjà jugée problématique. Finalement, le Premier ministre du Canada, Stephen Harper a procédé à la nomination de deux juges à la Cour suprême du Canada, dont un unilingue anglophone. Depuis l'annonce, les critiques fusent de partout, notamment d'organismes acadiens comme l'Association des juristes d'expression française du Nouveau-Brunswick. Rappelons-nous que le député de la circonscription d'Acadie-Bathurst, Yvon Godin, avait déposé, à la Chambre des communes, un projet de loi qui rendait obligatoire la connaissance du français et de l'anglais pour les juges de la Cour suprême du Canada. Ce projet de loi, après avoir été voté par la majorité des députés de la Chambre des communes, n'a pas eu l'occasion d'être présenté au Sénat avant le déclenchement des dernières élections fédérales. Avec cette nomination (et le projet de loi d'Yvon Godin mort au feuilleton), les francophones qui devront se présenter devant les juges de la Cour suprême pourront toujours communiquer en français, mais, comme avant, ils ne réussiront pas à se faire comprendre sans l'aide d'interprètes.
Commissions scolaires au Québec : des compressions et des réformes à venir?
Comme c'est le cas au Nouveau-Brunswick, les compressions dans le monde de l'éducation sont envisagées dans la province voisine. La Coalition pour l'avenir du Québec de François Legault parlait récemment de réduire le nombre de commissions scolaires dans le but ultime de réduire les dépenses gouvernementales. Au début de la semaine, nous avons appris que le gouvernement de Jean Charest envisageait réaliser des économies dans le monde de l'éducation en procédant à une réforme du système d'éducation. La ministre de l'éducation, Line Beauchamp, a annoncé qu'elle voulait procéder à une refonte du rôle des commissions scolaires dans le but de réduire leurs besoins en ressources humaines et, ainsi, réduire leurs budgets. En gros, le projet envisagé devrait, d'ici trois ans, réduire les budgets des 69 commissions scolaires du Québec de moitié (ce qui représente près de 300 millions de dollars d'économies). Ainsi, le rôle des commissions scolaires changerait. Elles deviendraient des entités servant à assurer la mise en commun de certains services pour un nombre spécifique d'écoles au lieu de servir à faire la gestion de ces écoles. Les écoles auraient ainsi une autonomie plus grande et deviendraient responsables de réclamer, année après année, un budget (déterminé en fonction d'indicateurs spécifiques) aux commissions scolaires. Depuis l'annonce, le gouvernement du Québec s'est vu dans l'obligation de faire marche arrière. Plusieurs groupes d'intérêts s'étaient ouvertement opposés au projet et, lors d'un congrès tenu en fin de semaine, la majorité des membres du Parti libéral du Québec présents ont refusé de donner suite au projet qui leur avait été présenté.
Cette semaine, des sujets ayant rapport aux langues officielles du Canada ont retenu l'attention des médias francophones. Tout d'abord, le Commissaire aux langues officielles du Canada a publié son rapport annuel le 18 octobre dernier. Dans son rapport, le Commissaire dit se préoccuper de plusieurs situations qu'il juge problématiques, notamment des conséquences que pourrait avoir, sur les populations minoritaires (notamment les francophones qui habitent à l'extérieur du Québec), la révision d'une série de programmes gouvernementaux. Selon les indications du gouvernement, certains programmes subiront des compressions de l'ordre de 5% et d'autres de l'ordre de 10%. L'inquiétude du Commissaire est que : «chaque institution, par coïncidence, trouve [...] qu'ils vont [devoir] couper [...] dans des formations linguistiques ou des programmes qui touchent les communautés de langues officielles». De plus, le Commissaire fait remarquer que le gouvernement actuel manque de leadership pour ce qui a trait à l'application de la Loi sur les langues officielles, notamment «par rapport à la promotion de l'usage des deux langues et dans l'appui du développement des communautés de langue officielle en situation minoritaire». Des compressions pourraient alors aggraver une situation qui est déjà jugée problématique. Finalement, le Premier ministre du Canada, Stephen Harper a procédé à la nomination de deux juges à la Cour suprême du Canada, dont un unilingue anglophone. Depuis l'annonce, les critiques fusent de partout, notamment d'organismes acadiens comme l'Association des juristes d'expression française du Nouveau-Brunswick. Rappelons-nous que le député de la circonscription d'Acadie-Bathurst, Yvon Godin, avait déposé, à la Chambre des communes, un projet de loi qui rendait obligatoire la connaissance du français et de l'anglais pour les juges de la Cour suprême du Canada. Ce projet de loi, après avoir été voté par la majorité des députés de la Chambre des communes, n'a pas eu l'occasion d'être présenté au Sénat avant le déclenchement des dernières élections fédérales. Avec cette nomination (et le projet de loi d'Yvon Godin mort au feuilleton), les francophones qui devront se présenter devant les juges de la Cour suprême pourront toujours communiquer en français, mais, comme avant, ils ne réussiront pas à se faire comprendre sans l'aide d'interprètes.
Commissions scolaires au Québec : des compressions et des réformes à venir?
Comme c'est le cas au Nouveau-Brunswick, les compressions dans le monde de l'éducation sont envisagées dans la province voisine. La Coalition pour l'avenir du Québec de François Legault parlait récemment de réduire le nombre de commissions scolaires dans le but ultime de réduire les dépenses gouvernementales. Au début de la semaine, nous avons appris que le gouvernement de Jean Charest envisageait réaliser des économies dans le monde de l'éducation en procédant à une réforme du système d'éducation. La ministre de l'éducation, Line Beauchamp, a annoncé qu'elle voulait procéder à une refonte du rôle des commissions scolaires dans le but de réduire leurs besoins en ressources humaines et, ainsi, réduire leurs budgets. En gros, le projet envisagé devrait, d'ici trois ans, réduire les budgets des 69 commissions scolaires du Québec de moitié (ce qui représente près de 300 millions de dollars d'économies). Ainsi, le rôle des commissions scolaires changerait. Elles deviendraient des entités servant à assurer la mise en commun de certains services pour un nombre spécifique d'écoles au lieu de servir à faire la gestion de ces écoles. Les écoles auraient ainsi une autonomie plus grande et deviendraient responsables de réclamer, année après année, un budget (déterminé en fonction d'indicateurs spécifiques) aux commissions scolaires. Depuis l'annonce, le gouvernement du Québec s'est vu dans l'obligation de faire marche arrière. Plusieurs groupes d'intérêts s'étaient ouvertement opposés au projet et, lors d'un congrès tenu en fin de semaine, la majorité des membres du Parti libéral du Québec présents ont refusé de donner suite au projet qui leur avait été présenté.
lundi 24 octobre 2011
Coupe FÉÉCUM - « Amazing Race » fait une équipe se rendre jusqu'à New York!
C'est vendredi dernier que se déroulait la 2e étape de la Coupe FÉÉCUM, notre « Amazing Race » annuelle, une course à travers le campus avec des défis à chaque arrêt du parcours. En jeu, des points cumulés au score de chaque équipe de la Coupe FÉÉCUM, un bonne mesure d'honneur, et un voyage pour quatre à New York, gracieuseté de CD Tours et du Bureau-voyage de la FÉÉCUM, Le Mondial.
Onze équipes sont parties du Centre étudiant. Sur leur parcours, des épreuves tirées des cultures de divers pays. Entre autres :
-Construire une boussole, invention chinoise
-Faire la portée de l'épouse, une tradition de la Finlande
-Ramassez de l'argent pour Mondiale-Solidarité qui va cette année au Kenya
-Déchrifrer des hiéroglyphes et se faire momifier (Égypte)-Manger les « canapés de la mort » (France)
-Une épreuve de cricket, un sport mal connu ici, mais pas ailleurs dans le Commonwealth
Du départ, l'équipe d'Athlétisme prennent les devant, et si son seul avantage était sa vitesse de course entre les défis, elle n'aurait pas fait aussi bien. Mais l'équipe a véritablement flambé toutes les étapes, s'en sortant rapidement de chaque défi. Même quand une erreur a dérouté les coureurs, rien ne pouvait manger leur avance. L'équipe d'Athlétisme gagne la course haut la main et sans controverse. Les quatre co-équipiers ont été surpris d'entendre qu'ils avaient gagné un voyage, croyant d'abord qu'on les niaisait. Ils ne courraient que pour les points. Bon voyage, les gars!
C'est la nouvelle équipe de Logement qui rentre en deuxième, suivant de très près par Génie et ensuite Nutrition, une équipe qui cherche la rédemption depuis l'Amazing Race de l'an dernier à laquelle elle était en avance jusqu'à la dernière épreuve et s'est vue bloquée pour arriver dernière.
Le classement de la course va comme suit :
1. Athlétisme
2. Logement
3. Génie
4. Nutrition
5. Admin
6. Arts
7. Kiné
8. MAUI
9. Sciences
10. Traduction
11. Éducation
Avec cette victoire, Athlétisme passe en première place de la Coupe FÉÉCUM et Sciences glisse en deuxième. Le classement total. Mais il reste entre 4 épreuves à la Coupe FÉÉCUM, et la prochaine est le « Game Show » musical le 16 novembre prochain à 19h au Café Osmose. Inscriptions jusqu'au 15 novembre. Équipes illimitées (minimum 2), réservez déjà votre table. C'était le fun l'an dernier!
mardi 18 octobre 2011
Revue de presse (du 8 au 14 octobre 2011)
Changement au programme de prêts : les parents appelés à contribuer davantage
Lors du dépôt du premier budget du gouvernement conservateur de David Alward, la population étudiante du Nouveau-Brunswick avait été surprise de sa décision de rétablir la contribution parentale dans la formule permettant de calculer le prêt octroyé aux étudiantes et aux étudiants par le programme provincial. Pourtant, le gouvernement précédent avait été applaudi par les organismes étudiants de partout Canada quand il avait décidé d'éliminer la contribution parentale. En fait, plusieurs voyaient, dans le geste du gouvernement néo-brunswickois, une reconnaissance de l'autonomie des étudiantes et des étudiants. Près de 4500 étudiantes et étudiants vivent présentement, d'une manière ou d'une autre, les conséquences de la réintroduction de la contribution parentale dans la formule de calcul du prêt octroyé. Malgré les conséquences néfastes qu'elle peut avoir sur la population étudiante, le gouvernement tient à sa décision et l'explique en affirmant qu'elle permettra d'économiser près de 1,6 million de dollars par année et qu'elle permettra aux familles de reprendre leur responsabilité en les obligeant à contribuer au financement de l'éducation de leurs enfants. Dans une entrevue accordée au journal L'Étoile, le président de la FÉÉCUM, Ghislain LeBlanc, explique que certaines étudiantes et certains étudiants se retrouvent, présentement, dans des situations difficiles : «Le gouvernement dit que ce sont les familles qui doivent contribuer, mais lorsque les parents, pour une raison ou une autre, décident de ne pas payer, c'est l'étudiant qui doit le faire. Le gouvernement se délaisse de sa responsabilité et la met sur les familles, mais dans la famille [...]». Malheureusement, plusieurs étudiantes et plusieurs étudiants vont devoir trouver des fonds supplémentaires pour combler un manque laissé par la réintroduction de la contribution parentale.
Réduction du budget du Ministère de l'éducation : toujours une priorité
Le District scolaire 01 avait créé tout un tollé quand il avait décidé d'affronter seul le Ministère de l'éducation lors du dépôt du premier budget du gouvernement de David Alward. Le district qui s'occupe de la gestion des écoles francophones du sud-est de la province avait refusé de procéder à des compressions budgétaires en affirmant qu'il n'était pas possible de réduire son budget sans que cela ait des conséquences néfastes sur l'enseignement (notons que le District scolaire 01 est le seul a voir une augmentation de sa population étudiante année après année, tandis que son budget est toujours fixé en fonction de la population étudiante de l'année précédente). Le 27 septembre dernier, les acteurs francophones du monde de l'éducation étaient invités à des consultations organisées par Jody Carr, le Ministre de l'éducation du Nouveau-Brunswick. Lors de ces consultations, les discussions ont gravité autour de la réduction des dépenses du Ministère de l'éducation. Trois pistes ont été explorées, soit au niveau des «fonctions essentielles et [des] services partagés», de la «reddition de compte, [de la] gouvernance et [de l'] organisation» et de «l'utilisation des écoles et [de la] planification de l'infrastructure». À la sortie de la consultation, ce qui a préoccupé davantage les acteurs francophones était la possible fusion des districts scolaires ainsi que la possibilité de voir le Ministère de l'éducation s'attaquer à la dualité qui existe au sein du ministère en question. Selon Ernest Thibodeau, le président du District scolaire 01, la fusion de districts scolaires aurait des conséquences néfastes puisque «les besoins sont tellement différents d'un district à l'autre. [En procédant à un regroupement], ça serait mettre les Acadiens dans une position de se chicaner entre eux et ce serait désastreux». Pour Anne-Marie Gammon, présidente de la Fédération des conseils d'éducation du Nouveau-Brunswick, la fusion des districts scolaire aurait comme conséquence d'augmenter le nombre de déplacements tout comme il aurait comme conséquence «d'éloigner les décideurs [des citoyennes et] des citoyens auxquels ils sont redevables». Pour le moment, le gouvernement se fait rassurant pour la dualité au sein du ministère, mais la fusion de certains districts scolaires demeure sur la table.
Dernier rapport du Conseil canadien sur l'apprentissage : le Canada invité à changer sa façon de faire
Le Conseil canadien sur l'apprentissage (le CCA) a publié son dernier rapport avant de fermer son bureau pour de bon, faute de financement du gouvernement fédéral. Le rapport intitulé Quel est l'avenir de l'apprentissage au Canada?, publié le 11 octobre dernier, brosse un portrait qui est peu flatteur de l'éducation au Canada. Les tendances présentées sont inquiétantes, et ce, à tous les niveaux (soit de la petite enfance en passant par le primaire et par le secondaire pour aller jusqu'au postsecondaire). À l'heure actuelle, près de 55% de la population canadienne qui a entre 16 et 65 ans a de la difficulté à lire (à un point tel que certaines personnes ne réussissent pas à lire des directives de sécurité), les résultats des étudiantes et des étudiants du Canada régressent (quand on les compare à ceux des étudiantes et des étudiants d'ailleurs au monde), les résultats des étudiantes et des étudiants francophones sont en dessous de la moyenne de ceux des étudiantes et des étudiants anglophones, tandis que les résultats des garçons sont en dessous de la moyenne de ceux des filles (les garçons ont aussi tendance à décrocher). En gros, le CCA affirme que le Canada, comme État, manque une vision en matière d'éducation. Même si l'éducation est, selon la Constitution du Canada, de compétence provinciale et que l'implication du gouvernement fédéral se limite souvent au financement de la recherche, le CCA invite les gouvernements provinciaux à s'organiser un conseil des ministres afin de fixer des objectifs nationaux en matière d'éducation tout en veillant à la progression des choses.
Lors du dépôt du premier budget du gouvernement conservateur de David Alward, la population étudiante du Nouveau-Brunswick avait été surprise de sa décision de rétablir la contribution parentale dans la formule permettant de calculer le prêt octroyé aux étudiantes et aux étudiants par le programme provincial. Pourtant, le gouvernement précédent avait été applaudi par les organismes étudiants de partout Canada quand il avait décidé d'éliminer la contribution parentale. En fait, plusieurs voyaient, dans le geste du gouvernement néo-brunswickois, une reconnaissance de l'autonomie des étudiantes et des étudiants. Près de 4500 étudiantes et étudiants vivent présentement, d'une manière ou d'une autre, les conséquences de la réintroduction de la contribution parentale dans la formule de calcul du prêt octroyé. Malgré les conséquences néfastes qu'elle peut avoir sur la population étudiante, le gouvernement tient à sa décision et l'explique en affirmant qu'elle permettra d'économiser près de 1,6 million de dollars par année et qu'elle permettra aux familles de reprendre leur responsabilité en les obligeant à contribuer au financement de l'éducation de leurs enfants. Dans une entrevue accordée au journal L'Étoile, le président de la FÉÉCUM, Ghislain LeBlanc, explique que certaines étudiantes et certains étudiants se retrouvent, présentement, dans des situations difficiles : «Le gouvernement dit que ce sont les familles qui doivent contribuer, mais lorsque les parents, pour une raison ou une autre, décident de ne pas payer, c'est l'étudiant qui doit le faire. Le gouvernement se délaisse de sa responsabilité et la met sur les familles, mais dans la famille [...]». Malheureusement, plusieurs étudiantes et plusieurs étudiants vont devoir trouver des fonds supplémentaires pour combler un manque laissé par la réintroduction de la contribution parentale.
Réduction du budget du Ministère de l'éducation : toujours une priorité
Le District scolaire 01 avait créé tout un tollé quand il avait décidé d'affronter seul le Ministère de l'éducation lors du dépôt du premier budget du gouvernement de David Alward. Le district qui s'occupe de la gestion des écoles francophones du sud-est de la province avait refusé de procéder à des compressions budgétaires en affirmant qu'il n'était pas possible de réduire son budget sans que cela ait des conséquences néfastes sur l'enseignement (notons que le District scolaire 01 est le seul a voir une augmentation de sa population étudiante année après année, tandis que son budget est toujours fixé en fonction de la population étudiante de l'année précédente). Le 27 septembre dernier, les acteurs francophones du monde de l'éducation étaient invités à des consultations organisées par Jody Carr, le Ministre de l'éducation du Nouveau-Brunswick. Lors de ces consultations, les discussions ont gravité autour de la réduction des dépenses du Ministère de l'éducation. Trois pistes ont été explorées, soit au niveau des «fonctions essentielles et [des] services partagés», de la «reddition de compte, [de la] gouvernance et [de l'] organisation» et de «l'utilisation des écoles et [de la] planification de l'infrastructure». À la sortie de la consultation, ce qui a préoccupé davantage les acteurs francophones était la possible fusion des districts scolaires ainsi que la possibilité de voir le Ministère de l'éducation s'attaquer à la dualité qui existe au sein du ministère en question. Selon Ernest Thibodeau, le président du District scolaire 01, la fusion de districts scolaires aurait des conséquences néfastes puisque «les besoins sont tellement différents d'un district à l'autre. [En procédant à un regroupement], ça serait mettre les Acadiens dans une position de se chicaner entre eux et ce serait désastreux». Pour Anne-Marie Gammon, présidente de la Fédération des conseils d'éducation du Nouveau-Brunswick, la fusion des districts scolaire aurait comme conséquence d'augmenter le nombre de déplacements tout comme il aurait comme conséquence «d'éloigner les décideurs [des citoyennes et] des citoyens auxquels ils sont redevables». Pour le moment, le gouvernement se fait rassurant pour la dualité au sein du ministère, mais la fusion de certains districts scolaires demeure sur la table.
Dernier rapport du Conseil canadien sur l'apprentissage : le Canada invité à changer sa façon de faire
Le Conseil canadien sur l'apprentissage (le CCA) a publié son dernier rapport avant de fermer son bureau pour de bon, faute de financement du gouvernement fédéral. Le rapport intitulé Quel est l'avenir de l'apprentissage au Canada?, publié le 11 octobre dernier, brosse un portrait qui est peu flatteur de l'éducation au Canada. Les tendances présentées sont inquiétantes, et ce, à tous les niveaux (soit de la petite enfance en passant par le primaire et par le secondaire pour aller jusqu'au postsecondaire). À l'heure actuelle, près de 55% de la population canadienne qui a entre 16 et 65 ans a de la difficulté à lire (à un point tel que certaines personnes ne réussissent pas à lire des directives de sécurité), les résultats des étudiantes et des étudiants du Canada régressent (quand on les compare à ceux des étudiantes et des étudiants d'ailleurs au monde), les résultats des étudiantes et des étudiants francophones sont en dessous de la moyenne de ceux des étudiantes et des étudiants anglophones, tandis que les résultats des garçons sont en dessous de la moyenne de ceux des filles (les garçons ont aussi tendance à décrocher). En gros, le CCA affirme que le Canada, comme État, manque une vision en matière d'éducation. Même si l'éducation est, selon la Constitution du Canada, de compétence provinciale et que l'implication du gouvernement fédéral se limite souvent au financement de la recherche, le CCA invite les gouvernements provinciaux à s'organiser un conseil des ministres afin de fixer des objectifs nationaux en matière d'éducation tout en veillant à la progression des choses.
vendredi 7 octobre 2011
Revue de presse (du 1er au 7 octobre 2011)
Les droits de scolarité augmentent dans les universités des provinces maritimes
Selon des données publiées hier par la Commission de l'enseignement supérieur des Provinces maritimes (la CESPM), les droits de scolarité sont en hausse dans toutes les universités publiques des provinces maritimes. Au Nouveau-Brunswick, cette augmentation est de l'ordre de 3% à 4,4% pour le premier cycle, tandis qu'il est de l'ordre de 3,6% à 4,2% pour les cycles supérieurs. À l'Université de Moncton, les droits de scolarité sont présentement de 5117$ par année universitaire, soit 197$ de plus que l'année dernière. Après trois années de gel, le gouvernement du Nouveau-Brunswick a permis aux universités publiques de la province d'augmenter leurs droits de scolarité, selon leurs besoins, mais pas plus de 200$. Même si l'augmentation des droits de scolarité de l'Université de Moncton sont 4% de plus que l'année dernière, il reste qu'ils sont, après la St. Thomas University (c'est-à-dire de 4770$ par année universitaire) et la University of Prince Edward Island (c'est-à-dire 4950$ par année universitaire), les plus abordables des provinces maritimes. Dans un texte publié dans l'Acadie Nouvelle de ce matin, le président de la FÉÉCUM, Ghislain LeBlanc, explique jusqu'à quel point il est de plus en plus difficile pour les étudiantes et les étudiants de financer leurs études : «Les revenus des étudiants n'augmentent pas et les programmes de prêts et bourses n'augmentent pas. Ça finit par augmenter le stress financier sur les étudiants». Le gouvernement du Nouveau-Brunswick négocie présentement une entente de financement pluriannuelle des universités publiques de la province. Malheureusement, les étudiantes et les étudiants peuvent s'attendre à d'autres augmentations au cours des prochaines années.
Le gaz de schiste : le gouvernement du Nouveau-Brunswick consultera la population
La semaine dernière, nous apprenions que le gouvernement du Nouveau-Brunswick s'intéresse de plus en plus au gaz de schiste comme moyen d'augmenter les revenus de la province et, ainsi financer de nouveaux programmes, notamment des programmes qui vont s'attaquer à la pauvreté. Même si une large partie de la population continue de s'opposer à l'exploration et au développement de l'industrie du gaz de schiste, Donald J. Savoie de la Chaire de recherche du Canada en administration publique et gouvernance de l'Université de Moncton, invite, dans un texte publié dans l'Acadie Nouvelle du1er octobre, la population et le gouvernement du Nouveau-Brunswick à tenir un débat serein sur le sujet. Souvenons-nous que 40% des revenus de la province proviennent du transfert fédéral de la péréquation. Dans cet esprit, il devient de plus en plus urgent de diversifier les sources de revenus du gouvernement, notamment si le gouvernement a l'intention de créer de nouveaux programmes. Pour David Coon, le directeur général du Conseil de conservation du Nouveau-Brunswick, le temps d'avoir un débat sur la question est résolue, et ce, puisque la population a déjà fait entendre sa vive opposition à l'exploitation de l'industrie du gaz de schiste dans la province. En fait, près de 30 associations ont été créées (à la grandeur de la province) pour militer contre l'exploration et l'exploitation du gaz de schiste. Malgré tout, le premier ministre David Alward invite la population du Nouveau-Brunswick à des consultations publiques, notamment en participant à des séances d'information et d'échange, mais aussi en consultant un site Internet traitant spécifiquement du sujet. Déjà, la controverse se fait présente. David Coon prétend que le gouvernement ne cherche pas à consulter la population de la province, mais plutôt à persuader la population des bienfaits de l'exploitation du gaz de schiste.
Selon des données publiées hier par la Commission de l'enseignement supérieur des Provinces maritimes (la CESPM), les droits de scolarité sont en hausse dans toutes les universités publiques des provinces maritimes. Au Nouveau-Brunswick, cette augmentation est de l'ordre de 3% à 4,4% pour le premier cycle, tandis qu'il est de l'ordre de 3,6% à 4,2% pour les cycles supérieurs. À l'Université de Moncton, les droits de scolarité sont présentement de 5117$ par année universitaire, soit 197$ de plus que l'année dernière. Après trois années de gel, le gouvernement du Nouveau-Brunswick a permis aux universités publiques de la province d'augmenter leurs droits de scolarité, selon leurs besoins, mais pas plus de 200$. Même si l'augmentation des droits de scolarité de l'Université de Moncton sont 4% de plus que l'année dernière, il reste qu'ils sont, après la St. Thomas University (c'est-à-dire de 4770$ par année universitaire) et la University of Prince Edward Island (c'est-à-dire 4950$ par année universitaire), les plus abordables des provinces maritimes. Dans un texte publié dans l'Acadie Nouvelle de ce matin, le président de la FÉÉCUM, Ghislain LeBlanc, explique jusqu'à quel point il est de plus en plus difficile pour les étudiantes et les étudiants de financer leurs études : «Les revenus des étudiants n'augmentent pas et les programmes de prêts et bourses n'augmentent pas. Ça finit par augmenter le stress financier sur les étudiants». Le gouvernement du Nouveau-Brunswick négocie présentement une entente de financement pluriannuelle des universités publiques de la province. Malheureusement, les étudiantes et les étudiants peuvent s'attendre à d'autres augmentations au cours des prochaines années.
Le gaz de schiste : le gouvernement du Nouveau-Brunswick consultera la population
La semaine dernière, nous apprenions que le gouvernement du Nouveau-Brunswick s'intéresse de plus en plus au gaz de schiste comme moyen d'augmenter les revenus de la province et, ainsi financer de nouveaux programmes, notamment des programmes qui vont s'attaquer à la pauvreté. Même si une large partie de la population continue de s'opposer à l'exploration et au développement de l'industrie du gaz de schiste, Donald J. Savoie de la Chaire de recherche du Canada en administration publique et gouvernance de l'Université de Moncton, invite, dans un texte publié dans l'Acadie Nouvelle du1er octobre, la population et le gouvernement du Nouveau-Brunswick à tenir un débat serein sur le sujet. Souvenons-nous que 40% des revenus de la province proviennent du transfert fédéral de la péréquation. Dans cet esprit, il devient de plus en plus urgent de diversifier les sources de revenus du gouvernement, notamment si le gouvernement a l'intention de créer de nouveaux programmes. Pour David Coon, le directeur général du Conseil de conservation du Nouveau-Brunswick, le temps d'avoir un débat sur la question est résolue, et ce, puisque la population a déjà fait entendre sa vive opposition à l'exploitation de l'industrie du gaz de schiste dans la province. En fait, près de 30 associations ont été créées (à la grandeur de la province) pour militer contre l'exploration et l'exploitation du gaz de schiste. Malgré tout, le premier ministre David Alward invite la population du Nouveau-Brunswick à des consultations publiques, notamment en participant à des séances d'information et d'échange, mais aussi en consultant un site Internet traitant spécifiquement du sujet. Déjà, la controverse se fait présente. David Coon prétend que le gouvernement ne cherche pas à consulter la population de la province, mais plutôt à persuader la population des bienfaits de l'exploitation du gaz de schiste.
lundi 3 octobre 2011
Revue de presse (du 24 au 30 septembre 2011)
Des changements démographiques qui risquent d'avoir des conséquences sur la politique au Nouveau-Brunswick
La Loi sur la délimitation des circonscriptions électorales et la représentation, adoptée en 2005, précise qu'une commission chargée d'étudier la carte électorale doit être constituée «pour le recensement de 2001 et pour chaque recensement décennal effectué après 2001». Même si les données du recensement canadien de 2011 ne sont pas encore publiées, nous pouvons nous attendre à des changements démographiques importants qui auront des conséquences sur la politique du Nouveau-Brunswick. Par exemple, nous savons que la population du nord de la province se déplace en grand nombre vers le sud, notamment vers la région de Moncton. Dans cet ordre d'idée, le sud de la province risque de faire un gain au profit du nord. En fait, des prévisions récentes faites par des politologues d'un peu partout au Nouveau-Brunswick (Roger Ouellette de Moncton, Denis Duval d'Edmundston et Tom Bateman de Fredericton) font état d'un ajout possible de quatre circonscriptions dans les centres urbains du sud de la province. Si le nombre de circonscriptions reste le même (il est de 55 présentement), les régions rurales risquent de perdre quatre circonscriptions au profit du sud. En gros, cela signifie qu'il y aura une perte de représentation à l'Assemblée législative du Nouveau-Brunswick non seulement des communautés rurales, mais aussi des communautés francophones. Remarquons que chaque circonscription électorale doit contenir à peu près le même nombre de personnes (plus ou moins 10% de la moyenne établit), mais qu'en plus des données portant sur la population, la création, l'élimination ou le réaménagement d'une circonscription dépend d'autres facteurs, notamment de la représentation des communautés linguistiques, des limites des municipalités et de la représentation des régions rurales. La commission qui sera chargée d'étudier la question en 2012 aura tout un travail à faire pour contenter l'ensemble de la population du Nouveau-Brunswick!
Des personnalités publiques du Nouveau-Brunswick font l'expérience de la faim
Michel Boudreau (président de la Fédération des travailleurs et des travailleuses du Nouveau-Brunswick), Anne-Marie Gammon (présidente de la Fédération des conseils d'éducation du Nouveau-Brunswick), Estelle Lanteigne (présidente du Regroupement féministe du Nouveau-Brunswick), George LeBlanc (maire de la Ville de Moncton) et Denis Losier (président-directeur général d'Assomption vie) ne sont que quelques noms qui figurent sur la liste des 20 participantes et participants d'Expérimenter la faim ; une initiative du Front commun pour la justice sociale. L'expérience des 20 personnalités publiques a pour but de conscientiser la population, mais aussi le gouvernement aux défis auxquels doivent faire face les gens qui vivent dans une situation de pauvreté au quotidien. C'est dans cet esprit que les participantes et les participants ont accepté de passer trois jours en se contentant de manger de la nourriture offerte par une banque alimentaire ou une soupe populaire de leur région respective. Anne-Marie Gammon explique son expérience comme suit : «Je ne fais cela que pendant trois jours, mais c'est une leçon d'humilité que de devoir demander de la nourriture au comptoir. Là, je vais pouvoir faire de la sensibilisation en toute connaissance de cause. Souvent, il y a des gens qui sont dans la rue et qui ont besoin d'aide, mais qui sont trop gênés pour venir ici». Le Front commun pour la justice sociale tente de convaincre le gouvernement de l'urgence de mettre en place un programme de solidarité à l'alimentation pour les ménages qui reçoivent de l'aide sociale, mais aussi d'augmenter les prestations d'aide sociale afin qu'elles ressemblent davantage à celles des autres provinces de l'Atlantique.
Le décrochage scolaire : la population du Québec se dit préoccupée
Selon les résultats d'un sondage portant sur les représentations de la population québécoise à l'égard de l'importance qu'il faut accorder à divers problèmes de société au Québec, le décrochage scolaire arrive en deuxième position (précédé par les problèmes du système de santé et suivi par les faiblesses du système d'éducation). En fait, 79% de la population du Québec se dit préoccupée par le décrochage scolaire (comparativement à 75% en 2009), tandis que 91% de la population du Québec affirme qu'il est important de compléter ses études secondaires et d'acquérir une formation postsecondaire par la suite (comparativement à 88% en 2009). De plus, nous apprenons qu'il existe un écart entre les représentations et la réalité. Alors que le taux de diplomation est d'environ 70%, la population estime que seulement 61% des élèves réussissent à décrocher un diplôme d'études secondaires. Finalement, 83% de la population québécoise affirme qu'il est mieux de prévenir le décrochage scolaire que de favoriser le retour aux études. Pour y arriver, la population privilégie l'augmentation de l'offre de soutien aux élèves à l'école, la réduction du nombre d'élèves par classe, l'offre d'un meilleur encadrement à l'école et l'augmentation de l'implication des parents (ces options recueillent respectivement 23%, 18%, 12% et 10% d'appui dans la population sondée).
La Loi sur la délimitation des circonscriptions électorales et la représentation, adoptée en 2005, précise qu'une commission chargée d'étudier la carte électorale doit être constituée «pour le recensement de 2001 et pour chaque recensement décennal effectué après 2001». Même si les données du recensement canadien de 2011 ne sont pas encore publiées, nous pouvons nous attendre à des changements démographiques importants qui auront des conséquences sur la politique du Nouveau-Brunswick. Par exemple, nous savons que la population du nord de la province se déplace en grand nombre vers le sud, notamment vers la région de Moncton. Dans cet ordre d'idée, le sud de la province risque de faire un gain au profit du nord. En fait, des prévisions récentes faites par des politologues d'un peu partout au Nouveau-Brunswick (Roger Ouellette de Moncton, Denis Duval d'Edmundston et Tom Bateman de Fredericton) font état d'un ajout possible de quatre circonscriptions dans les centres urbains du sud de la province. Si le nombre de circonscriptions reste le même (il est de 55 présentement), les régions rurales risquent de perdre quatre circonscriptions au profit du sud. En gros, cela signifie qu'il y aura une perte de représentation à l'Assemblée législative du Nouveau-Brunswick non seulement des communautés rurales, mais aussi des communautés francophones. Remarquons que chaque circonscription électorale doit contenir à peu près le même nombre de personnes (plus ou moins 10% de la moyenne établit), mais qu'en plus des données portant sur la population, la création, l'élimination ou le réaménagement d'une circonscription dépend d'autres facteurs, notamment de la représentation des communautés linguistiques, des limites des municipalités et de la représentation des régions rurales. La commission qui sera chargée d'étudier la question en 2012 aura tout un travail à faire pour contenter l'ensemble de la population du Nouveau-Brunswick!
Des personnalités publiques du Nouveau-Brunswick font l'expérience de la faim
Michel Boudreau (président de la Fédération des travailleurs et des travailleuses du Nouveau-Brunswick), Anne-Marie Gammon (présidente de la Fédération des conseils d'éducation du Nouveau-Brunswick), Estelle Lanteigne (présidente du Regroupement féministe du Nouveau-Brunswick), George LeBlanc (maire de la Ville de Moncton) et Denis Losier (président-directeur général d'Assomption vie) ne sont que quelques noms qui figurent sur la liste des 20 participantes et participants d'Expérimenter la faim ; une initiative du Front commun pour la justice sociale. L'expérience des 20 personnalités publiques a pour but de conscientiser la population, mais aussi le gouvernement aux défis auxquels doivent faire face les gens qui vivent dans une situation de pauvreté au quotidien. C'est dans cet esprit que les participantes et les participants ont accepté de passer trois jours en se contentant de manger de la nourriture offerte par une banque alimentaire ou une soupe populaire de leur région respective. Anne-Marie Gammon explique son expérience comme suit : «Je ne fais cela que pendant trois jours, mais c'est une leçon d'humilité que de devoir demander de la nourriture au comptoir. Là, je vais pouvoir faire de la sensibilisation en toute connaissance de cause. Souvent, il y a des gens qui sont dans la rue et qui ont besoin d'aide, mais qui sont trop gênés pour venir ici». Le Front commun pour la justice sociale tente de convaincre le gouvernement de l'urgence de mettre en place un programme de solidarité à l'alimentation pour les ménages qui reçoivent de l'aide sociale, mais aussi d'augmenter les prestations d'aide sociale afin qu'elles ressemblent davantage à celles des autres provinces de l'Atlantique.
Le décrochage scolaire : la population du Québec se dit préoccupée
Selon les résultats d'un sondage portant sur les représentations de la population québécoise à l'égard de l'importance qu'il faut accorder à divers problèmes de société au Québec, le décrochage scolaire arrive en deuxième position (précédé par les problèmes du système de santé et suivi par les faiblesses du système d'éducation). En fait, 79% de la population du Québec se dit préoccupée par le décrochage scolaire (comparativement à 75% en 2009), tandis que 91% de la population du Québec affirme qu'il est important de compléter ses études secondaires et d'acquérir une formation postsecondaire par la suite (comparativement à 88% en 2009). De plus, nous apprenons qu'il existe un écart entre les représentations et la réalité. Alors que le taux de diplomation est d'environ 70%, la population estime que seulement 61% des élèves réussissent à décrocher un diplôme d'études secondaires. Finalement, 83% de la population québécoise affirme qu'il est mieux de prévenir le décrochage scolaire que de favoriser le retour aux études. Pour y arriver, la population privilégie l'augmentation de l'offre de soutien aux élèves à l'école, la réduction du nombre d'élèves par classe, l'offre d'un meilleur encadrement à l'école et l'augmentation de l'implication des parents (ces options recueillent respectivement 23%, 18%, 12% et 10% d'appui dans la population sondée).
Coupe FÉÉCUM : Mini-Décathlon - Les Sciences surprennent!
C'est vendredi dernier que se tenait la première épreuve de la Coupe FÉÉCUM 2011-2012, la première partie d'une compétition entre les divers groupes étudiants du campus qui durera toute l'année. Le Mini-Décathlon (« for dummies ») comprenait 10 épreuves semi-athlétiques inspirées de celles du véritable décathlon olympique. Au lieu du 100 mètres, une course de sac à patate. Au lieu du saut à la perche, un slip'n'slide. Au lieu du lancer du poids, le lancer du pamplemousse. Et ainsi de suite.
10 équipes se disputaient les points, dont la Faculté d'Administration, gagnante de la Coupe de l'an dernier, parfois trop agressive pour le reste des équipes. L'équipe d'athlétisme était aussi de la partie. Est-ce que leur expérience allait les avantager? En plus des équipes qui participent depuis belle lurette à la Coupe FÉÉCUM (Nutrition, Génie, Arts, Kiné), une nouvelle équipe des Médias universitaires fait son arrivée. Sciences, Éducation et Traduction, des équipes avec un peu moins de tradition sont de retour avec un engagement plus ferme cette année pour compléter la dizaine. Il faut dire que c'est l'équipe des Sciences qui a le plus surpris, avec 2 premières places, 3 deuxièmes et 3 troisièmes. Elle aurait été médaillée souvent. C'est tout le contraire pour les Arts, habituellement une équipe dans le top 3, qui finie avant-dernière, sympathique mais pour le moins « palotte ». Et Nutrition, la petite équipe qui veut ben gros? Voyez plutôt:
En bout de ligne, c'est Sciences qui remporte le Mini-Décathlon avec Athlétisme à ses trousses en deuxième. La troisième position au podium? Génie, une équipe avec 4 victoires de Coupe FÉÉCUM dans son histoire et qui a faim pour une autre.
Les Sciences remportent un jeu de pétanque à utiliser à leur guise. Vous les verrez peut-être sur les parterres autour de Rémi-Rossignol en profiter.
Le Classement après cette première ronde sur notre site Internet.
Le 21 octobre... C'est notre « Amazing Race » annuelle! Faites vos équipes - inscriptions jusqu'au lundi 17 (info sur le site web). À noter que vous n'avez PAS BESOIN d'avoir participé à la première épreuve de la Coupe FÉÉCUM pour participer à la seconde! À gagner : Voyage pour 4 à New York, gracieuseté du Bureau-Voyage Le Mondial et CD Tours.
10 équipes se disputaient les points, dont la Faculté d'Administration, gagnante de la Coupe de l'an dernier, parfois trop agressive pour le reste des équipes. L'équipe d'athlétisme était aussi de la partie. Est-ce que leur expérience allait les avantager? En plus des équipes qui participent depuis belle lurette à la Coupe FÉÉCUM (Nutrition, Génie, Arts, Kiné), une nouvelle équipe des Médias universitaires fait son arrivée. Sciences, Éducation et Traduction, des équipes avec un peu moins de tradition sont de retour avec un engagement plus ferme cette année pour compléter la dizaine. Il faut dire que c'est l'équipe des Sciences qui a le plus surpris, avec 2 premières places, 3 deuxièmes et 3 troisièmes. Elle aurait été médaillée souvent. C'est tout le contraire pour les Arts, habituellement une équipe dans le top 3, qui finie avant-dernière, sympathique mais pour le moins « palotte ». Et Nutrition, la petite équipe qui veut ben gros? Voyez plutôt:
En bout de ligne, c'est Sciences qui remporte le Mini-Décathlon avec Athlétisme à ses trousses en deuxième. La troisième position au podium? Génie, une équipe avec 4 victoires de Coupe FÉÉCUM dans son histoire et qui a faim pour une autre.
Les Sciences remportent un jeu de pétanque à utiliser à leur guise. Vous les verrez peut-être sur les parterres autour de Rémi-Rossignol en profiter.
Le Classement après cette première ronde sur notre site Internet.
Le 21 octobre... C'est notre « Amazing Race » annuelle! Faites vos équipes - inscriptions jusqu'au lundi 17 (info sur le site web). À noter que vous n'avez PAS BESOIN d'avoir participé à la première épreuve de la Coupe FÉÉCUM pour participer à la seconde! À gagner : Voyage pour 4 à New York, gracieuseté du Bureau-Voyage Le Mondial et CD Tours.
mardi 27 septembre 2011
Les étudiant.e.s de l'UdeM invités à participer au Red Bull Racing Can
C'est quoi? Une compétition interuniversitaire. Red Bull vous fourni une voiture téléguidée (envoyé par la poste à votre équipe de 2), mais vous devez bâtir l'extérieur avec des cannes de Red Bull. La course aura ensuite lieu à 14h le mercredi 5 octorbre au Centre étudiant. Les gagnants iront au National, et les gagnants du National iront au Mondial (l'an dernier c'était au Grand Prix au Brésil).
Voici plus d'info et comment s'enregistrer et participer, mais soyez avisés que Red Bull n'a pas encore traduit son site en français...
Liens utiles :
Le site
La fiche d'inscription
Les règements
Voici plus d'info et comment s'enregistrer et participer, mais soyez avisés que Red Bull n'a pas encore traduit son site en français...
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Les règements
lundi 26 septembre 2011
Serge Rousselle et Yvon Dandurand laissent tomber la poursuite envers l'Université de Moncton
La FÉÉCUM condamne le Conseil des Gouverneurs pour son engagement envers cacher la vérité
Suite à l’annonce que Serge Rousselle et Yvon Dandurand laissent tomber leur poursuite envers l’Université de Moncton par rapport aux procédures mal suivies dans l’embauche de la vice-rectrice aux affaires étudiantes et internationales, la Fédération des étudiantes et étudiants du Centre universitaire de Moncton (FÉÉCUM) les remercie de leurs efforts, se démontre compréhensive de la situation, mais se dit aussi déçue.
Selon le président de la FÉÉCUM, Ghislain LeBlanc, l’Université a manqué à son devoir envers la communauté acadienne : « Ce qui est décourageant, c’est que nous ne saurons maintenant jamais si l’Université a bel et bien suivi ses procédures d’embauche, et pour encore longtemps, le doute régnera sur le processus de nomination. » Bien que la Fédération étudiante reste convaincue que les processus en question n’a pas été respecté, elle tient à souligner tout de même qu’elle ne s’est jamais pour autant opposée à la vice-rectrice, et qu’un travail se fait déjà avec elle sur des projets communs.
Pour la FÉÉCUM, la lutte n’est pas terminée. « Un autre poste important doit être nommé cette année – celui de Recteur ou Rectrice – et nous espérons que l’Université fera preuve de plus de transparence et de cohérence dans ce processus de nomination-là, » soutient M. LeBlanc. « Sinon, on pourrait se retrouver au même point l’été prochain. »
Suite à l’annonce que Serge Rousselle et Yvon Dandurand laissent tomber leur poursuite envers l’Université de Moncton par rapport aux procédures mal suivies dans l’embauche de la vice-rectrice aux affaires étudiantes et internationales, la Fédération des étudiantes et étudiants du Centre universitaire de Moncton (FÉÉCUM) les remercie de leurs efforts, se démontre compréhensive de la situation, mais se dit aussi déçue.
Selon le président de la FÉÉCUM, Ghislain LeBlanc, l’Université a manqué à son devoir envers la communauté acadienne : « Ce qui est décourageant, c’est que nous ne saurons maintenant jamais si l’Université a bel et bien suivi ses procédures d’embauche, et pour encore longtemps, le doute régnera sur le processus de nomination. » Bien que la Fédération étudiante reste convaincue que les processus en question n’a pas été respecté, elle tient à souligner tout de même qu’elle ne s’est jamais pour autant opposée à la vice-rectrice, et qu’un travail se fait déjà avec elle sur des projets communs.
Pour la FÉÉCUM, la lutte n’est pas terminée. « Un autre poste important doit être nommé cette année – celui de Recteur ou Rectrice – et nous espérons que l’Université fera preuve de plus de transparence et de cohérence dans ce processus de nomination-là, » soutient M. LeBlanc. « Sinon, on pourrait se retrouver au même point l’été prochain. »
Ciné-Osmose d'octobre : Halloween à l'affiche
Le prochain Ciné-Osmose - initiative qui vous offre un film gratuit à l'Osmose une fois par mois - aura lieu le mercredi 26 octobre prochain sous le thème de l'Halloween. Encore une fois, bien que nos cinéphiles suggèrent une variété de films, c'est VOUS, cher public, qui votez pour celui que vous voulez voir. Le vote se fera sur Facebook comme la dernière fois, mais seulement jusqu'au 16 octobre pour déterminer deux finalistes. Ensuite, une boîte de scruitin sera placée au Café Osmose où les étudiant.e.s pourront voter physiquement pour un ou l'autre de ces finalistes. Le film choisi sera annoncé le vendredi 21.
Nos cinéphiles (qui sont-ils?) proposent...
Joëlle : Mean Girls (Mark Waters, 2004) Pour le mois d'octobre, thématique Halloween! Joëlle nous propose le « chick flick » par excellence, Mean Girls, où la politique féminine de polyvalente est exposée. Une des séquences ce passe à l'Halloween, mais plus pertinent encore, c'est au sujet de monstres réelles. Langue anglaise, 97 minutes. Bande annonce
Mélanie : Rocky Horror Picture Show (Jim Sharman, 1975) Dans cette comédie musicale culte, un couple se retrouve chez le scientifique fou travesti Dr Frank-N-Furter. Une expérience cinématographique et musicale sans équivalent! Langue anglaise, 98 minutes. Bande annonce
Oli : Death Proof (Quentin Tarantino, 2007) Kurt Russell est un cascadeur qui tue avec son char modifié. C'est l'hommage de Tarantino aux films d'exploitation du passé et d'aujourd'hui et aux films de chars et de cascades en général. Langue anglaise, 121 minutes. Bande annonce
Michel : Carrie (Brian De Palma, 1976) Un véritable classique de l'horreur! Sissy Spacek est CARRIE, une adolescente troublée avec des pouvoirs télékinétique. Basé sur le roman de Stephen King. C'est le prom de l'ENFER!!! Pure terreur garantie. Langue anglaise, 98 minutes. Bande annonce
Nos cinéphiles (qui sont-ils?) proposent...
Joëlle : Mean Girls (Mark Waters, 2004) Pour le mois d'octobre, thématique Halloween! Joëlle nous propose le « chick flick » par excellence, Mean Girls, où la politique féminine de polyvalente est exposée. Une des séquences ce passe à l'Halloween, mais plus pertinent encore, c'est au sujet de monstres réelles. Langue anglaise, 97 minutes. Bande annonce
Mélanie : Rocky Horror Picture Show (Jim Sharman, 1975) Dans cette comédie musicale culte, un couple se retrouve chez le scientifique fou travesti Dr Frank-N-Furter. Une expérience cinématographique et musicale sans équivalent! Langue anglaise, 98 minutes. Bande annonce
Oli : Death Proof (Quentin Tarantino, 2007) Kurt Russell est un cascadeur qui tue avec son char modifié. C'est l'hommage de Tarantino aux films d'exploitation du passé et d'aujourd'hui et aux films de chars et de cascades en général. Langue anglaise, 121 minutes. Bande annonce
Michel : Carrie (Brian De Palma, 1976) Un véritable classique de l'horreur! Sissy Spacek est CARRIE, une adolescente troublée avec des pouvoirs télékinétique. Basé sur le roman de Stephen King. C'est le prom de l'ENFER!!! Pure terreur garantie. Langue anglaise, 98 minutes. Bande annonce
vendredi 23 septembre 2011
Revue de presse (du 18 au 23 septembre 2011)
Les inscriptions sont à la baisse à l'Université de Moncton
Selon des données dévoilées cette semaine, il y a 2% moins d'étudiantes et d'étudiants qui fréquentent l'Université de Moncton. Dans les faits, cela représente une baisse de 0,3% de la population étudiante au Campus de Moncton (la population étudiante est ainsi passée de 4146 personnes en septembre 2010 à 4103 personnes en septembre 2011), de 7% de la population étudiante au Campus de Shippagan (la population étudiante est ainsi passée de 451 personnes en septembre 2010 à 424 personnes en septembre 2011) et de 12% de la population étudiante au Campus d'Edmundston (la population étudiante est ainsi passée de 450 personnes en septembre 2010 à 407 personnes en septembre 2011). Selon la haute administration de l'Université de Moncton (reprise dans un certain nombre de textes publiés dans les pages de l'Acadie Nouvelle au cours de la semaine), cette baisse d'inscriptions est attribuable à un certain nombre de facteurs démographiques, notamment à la dénatalité, mais aussi à la migration des populations du nord-ouest et du nord-est de la province vers les grands centres du sud (Moncton, Fredericton et Saint John). L'éditorialiste de l'Acadie Nouvelle, Gaétan Chiasson, résume ce phénomène en affirmant qu'il s'agit de «la loi des chiffres [...] plus le bassin d'élèves francophones rapetisse dans une région donnée, plus il est difficile d'y recruter de nouveaux étudiants». L'Université de Moncton doit donc miser sur les étudiantes et les étudiants provenant d'ailleurs. En fait, malgré la baisse des inscriptions, le nombre d'étudiantes et d'étudiants provenant d'un autre pays que le Canada a légèrement augmenté en passant de 11,2% de la population étudiante totale en 2010 à 11,6% en 2011.
Le gouvernement conservateur de David Alward : un an au pouvoir le 27 septembre
Il y a deux semaines, l'Acadie Nouvelle nous apprenait que le taux de satisfaction de la population du Nouveau-Brunswick a l'égard du gouvernement conservateur de David Alward a chuté de 15%. En fait, le pourcentage de la population qui se dit complètement satisfaite ou plutôt satisfaite de la performance du gouvernement est passé de 68% en mai à 53% aujourd'hui. Mardi prochain, le gouvernement va célébrer sa première année au pouvoir et, selon le chroniqueur Luc Desjardins, cette première année aura été marquée par des compressions budgétaires. Rappelons-nous que les compressions budgétaires ont fait couler beaucoup d'encre dans le secteur de l'éducation. Le District scolaire 01 (qui administre les écoles francophones du sud-est et du sud de la province) avait créé tout un tollé quand il avait refusé de réduire ses dépenses, et ce, en prétendant que des compressions auraient des effets néfastes sur l'éducation des enfants. Dans un texte publié dans l'Acadie Nouvelle d'aujourd'hui, David Alward affirme qu'il veut concentrer ses énergies sur le développement économique, notamment sur le développement du nord de la province. Pour le chroniqueur Luc Desjardins, toutefois, la baisse de popularité du gouvernement est attribuable au fait qu'il s'attarde trop aux compressions budgétaires : «Soit on coupe davantage, soit on augmente les revenus. Ah oui, peut-être y-a-t'il une autre voie. Celle de la croissance économique qui, par effet d'entraînement, génère plus de revenus dans les coffres publics. Mais, ça, c'était le mirage promis par l'ancien gouvernement [libéral]. À l'approche du premier anniversaire du gouvernement Alward, on n'a pas encore senti qu'il avait une stratégie gagnante à cet égard. Seulement des compressions sont à l'agenda. Pas étonnant que le taux de satisfaction recule».
Augmentation des droits de scolarité au Québec : un comité consultatif affirme que l'éducation postsecondaire sera moins accessible
Le système d'éducation postsecondaire du Québec pourrait se voir privé de 2,5% de son effectif actuel (soit près de 7000 étudiantes et étudiants) à la fin des cinq prochaines années. Selon le Comité consultatif sur l'accessibilité financière aux études (le CCAFE), l'augmentation des droits de scolarité de 325$ par année pour les cinq prochaines années (soit 1625$ globalement) pourrait réduire l'accès à l'éducation postsecondaire. Les droits de scolarité du Québec sont présentement les moins élevés du Canada et sont, en moyenne, de 2519$ par année universitaire. Depuis l'annonce du gouvernement libéral de Jean Charest, les étudiantes et les étudiants en profitent pour manifester leur mécontentement. Fait intéressant : jeudi, des étudiantes et des étudiants qui brandissaient une banderole affichant le message : «L'éducation est un droit» ont réussi à interrompre, au moment où l'on traitait de l'augmentation des droits de scolarité au Québec, la diffusion de l'émission du Réseau de l'information (RDI), le Club des ex, qui était de passage à l'UQÀM. Le message était clair : «Ce n'est pas en chargeant de plus en plus les étudiants et étudiantes individuellement qu'on va leur permettre de s'épanouir et de devenir l'avenir du Québec».
Selon des données dévoilées cette semaine, il y a 2% moins d'étudiantes et d'étudiants qui fréquentent l'Université de Moncton. Dans les faits, cela représente une baisse de 0,3% de la population étudiante au Campus de Moncton (la population étudiante est ainsi passée de 4146 personnes en septembre 2010 à 4103 personnes en septembre 2011), de 7% de la population étudiante au Campus de Shippagan (la population étudiante est ainsi passée de 451 personnes en septembre 2010 à 424 personnes en septembre 2011) et de 12% de la population étudiante au Campus d'Edmundston (la population étudiante est ainsi passée de 450 personnes en septembre 2010 à 407 personnes en septembre 2011). Selon la haute administration de l'Université de Moncton (reprise dans un certain nombre de textes publiés dans les pages de l'Acadie Nouvelle au cours de la semaine), cette baisse d'inscriptions est attribuable à un certain nombre de facteurs démographiques, notamment à la dénatalité, mais aussi à la migration des populations du nord-ouest et du nord-est de la province vers les grands centres du sud (Moncton, Fredericton et Saint John). L'éditorialiste de l'Acadie Nouvelle, Gaétan Chiasson, résume ce phénomène en affirmant qu'il s'agit de «la loi des chiffres [...] plus le bassin d'élèves francophones rapetisse dans une région donnée, plus il est difficile d'y recruter de nouveaux étudiants». L'Université de Moncton doit donc miser sur les étudiantes et les étudiants provenant d'ailleurs. En fait, malgré la baisse des inscriptions, le nombre d'étudiantes et d'étudiants provenant d'un autre pays que le Canada a légèrement augmenté en passant de 11,2% de la population étudiante totale en 2010 à 11,6% en 2011.
Le gouvernement conservateur de David Alward : un an au pouvoir le 27 septembre
Il y a deux semaines, l'Acadie Nouvelle nous apprenait que le taux de satisfaction de la population du Nouveau-Brunswick a l'égard du gouvernement conservateur de David Alward a chuté de 15%. En fait, le pourcentage de la population qui se dit complètement satisfaite ou plutôt satisfaite de la performance du gouvernement est passé de 68% en mai à 53% aujourd'hui. Mardi prochain, le gouvernement va célébrer sa première année au pouvoir et, selon le chroniqueur Luc Desjardins, cette première année aura été marquée par des compressions budgétaires. Rappelons-nous que les compressions budgétaires ont fait couler beaucoup d'encre dans le secteur de l'éducation. Le District scolaire 01 (qui administre les écoles francophones du sud-est et du sud de la province) avait créé tout un tollé quand il avait refusé de réduire ses dépenses, et ce, en prétendant que des compressions auraient des effets néfastes sur l'éducation des enfants. Dans un texte publié dans l'Acadie Nouvelle d'aujourd'hui, David Alward affirme qu'il veut concentrer ses énergies sur le développement économique, notamment sur le développement du nord de la province. Pour le chroniqueur Luc Desjardins, toutefois, la baisse de popularité du gouvernement est attribuable au fait qu'il s'attarde trop aux compressions budgétaires : «Soit on coupe davantage, soit on augmente les revenus. Ah oui, peut-être y-a-t'il une autre voie. Celle de la croissance économique qui, par effet d'entraînement, génère plus de revenus dans les coffres publics. Mais, ça, c'était le mirage promis par l'ancien gouvernement [libéral]. À l'approche du premier anniversaire du gouvernement Alward, on n'a pas encore senti qu'il avait une stratégie gagnante à cet égard. Seulement des compressions sont à l'agenda. Pas étonnant que le taux de satisfaction recule».
Augmentation des droits de scolarité au Québec : un comité consultatif affirme que l'éducation postsecondaire sera moins accessible
Le système d'éducation postsecondaire du Québec pourrait se voir privé de 2,5% de son effectif actuel (soit près de 7000 étudiantes et étudiants) à la fin des cinq prochaines années. Selon le Comité consultatif sur l'accessibilité financière aux études (le CCAFE), l'augmentation des droits de scolarité de 325$ par année pour les cinq prochaines années (soit 1625$ globalement) pourrait réduire l'accès à l'éducation postsecondaire. Les droits de scolarité du Québec sont présentement les moins élevés du Canada et sont, en moyenne, de 2519$ par année universitaire. Depuis l'annonce du gouvernement libéral de Jean Charest, les étudiantes et les étudiants en profitent pour manifester leur mécontentement. Fait intéressant : jeudi, des étudiantes et des étudiants qui brandissaient une banderole affichant le message : «L'éducation est un droit» ont réussi à interrompre, au moment où l'on traitait de l'augmentation des droits de scolarité au Québec, la diffusion de l'émission du Réseau de l'information (RDI), le Club des ex, qui était de passage à l'UQÀM. Le message était clair : «Ce n'est pas en chargeant de plus en plus les étudiants et étudiantes individuellement qu'on va leur permettre de s'épanouir et de devenir l'avenir du Québec».
mardi 20 septembre 2011
Les P’tits Explorateurs
Le 5 octobre prochain, le groupe étudiant Mondiale Solidarité sera au Café Osmose pour livrer une présentation sur leur voyage humanitaire au Pérou au printemps dernier.
Cela fait partie d’une nouvelle initiative que l’on appelle « Les P’tits Explorateurs » qui donne la chance à nos voyageurs étudiants de faire part de leur expérience avec témoignages, photos, vidéos et souvenirs (selon le cas). Chacune des trois présentations prévues cette année sera offertes gratuitement, mais les groupes humanitaires en question apprécient tout don recueilli et utiliseront aussi ces opportunités pour faire du recrutement pour leur prochain voyage humanitaire.
La première session des P’tits Explorateurs se déroule le mercredi 5 octobre à 19h au Café Osmose. Mondiale Solidarité nous fera part de son voyage humanitaire au Pérou où le comité a conduit un projet humanitaire et découvert une autre culture. Les autres présentations dans la série, plus tard dans l’année, mettront en vedette Right to Play (Haïti) et Mission Brésil.
Cela fait partie d’une nouvelle initiative que l’on appelle « Les P’tits Explorateurs » qui donne la chance à nos voyageurs étudiants de faire part de leur expérience avec témoignages, photos, vidéos et souvenirs (selon le cas). Chacune des trois présentations prévues cette année sera offertes gratuitement, mais les groupes humanitaires en question apprécient tout don recueilli et utiliseront aussi ces opportunités pour faire du recrutement pour leur prochain voyage humanitaire.
La première session des P’tits Explorateurs se déroule le mercredi 5 octobre à 19h au Café Osmose. Mondiale Solidarité nous fera part de son voyage humanitaire au Pérou où le comité a conduit un projet humanitaire et découvert une autre culture. Les autres présentations dans la série, plus tard dans l’année, mettront en vedette Right to Play (Haïti) et Mission Brésil.
La crise du courriel étudiant
Simple mise à jour sur le problème du courriel étudiant, en particulier le fait que les étudiant.e.s en reçoivent trop qui ne sont mal ciblés (genre : formation outil de recherche pour étudiant.e.s en sciences infirmières, mais envoyé à tout le monde), redondants (des rappels) ou multiples sans raison (3 courriel sur des ateliers semblables envoyés un à la suite de l’autre au lieu de consolider l’information en un seul courriel).
La FÉÉCUM a fait avancer le dossier cette semaine après avoir lancé une petite campagne sur Twitter qui invitait ceux et celles qui se sentent « spammées » par certains services de répondre à chacun de leurs courriels pour les sensibiliser au « spam ». La Fédération a aussi navigué les canaux officiels pour essayer de régler le problème. Voici où nous en sommes :
Premièrement, la Bibliothèque, une des principales coupables, a accepté de ne plus envoyer de courriels (en particulier sur les formations RefWorks). Le Service de Mobilité internationale (SMI) a aussi assumé son erreur et enverra ses multiples voyages aux communications de la FÉÉCUM où ils seront consolidés en un seul courriel occasionnel et placés dans la section Opportunités de notre site web.
Dans le court terme, nous travaillons avec les Services aux Étudiant.e.s pour développer une politique d’envoi de courriel de masse que les détenteurs d’accès devront suivre (donc pas de rappels, courriels consolidés, etc.) sous peine de perdre cet accès. Dans le long terme, nous aurons des discussions avec la DGT (Direction générale des technologies) pour mettre en place un système de listes d’envoi plus spécifiques desquelles les étudiant.e.s pourront se désabonner (par exemple, si il ou elle sent que les courriels d’activités, ou de la FESR, ou de la recherche d’emploi, ne l’intéresse pas). Évidemment, vu qu’il soit question d’éléments techniques, nous ne comptons pas sur une implantation rapide, d’où le plan dans le court terme.
Nous savons que le dossier vous tient à cœur, et qu’il est une source de frustration pour plusieurs. En bout de ligne, nous voulons que le courriel étudiant soit utilisable et utilisé, pour qu’aucune information importante ne soit manquée dans l’océan de pourriels universitaires non-triés.
La FÉÉCUM a fait avancer le dossier cette semaine après avoir lancé une petite campagne sur Twitter qui invitait ceux et celles qui se sentent « spammées » par certains services de répondre à chacun de leurs courriels pour les sensibiliser au « spam ». La Fédération a aussi navigué les canaux officiels pour essayer de régler le problème. Voici où nous en sommes :
Premièrement, la Bibliothèque, une des principales coupables, a accepté de ne plus envoyer de courriels (en particulier sur les formations RefWorks). Le Service de Mobilité internationale (SMI) a aussi assumé son erreur et enverra ses multiples voyages aux communications de la FÉÉCUM où ils seront consolidés en un seul courriel occasionnel et placés dans la section Opportunités de notre site web.
Dans le court terme, nous travaillons avec les Services aux Étudiant.e.s pour développer une politique d’envoi de courriel de masse que les détenteurs d’accès devront suivre (donc pas de rappels, courriels consolidés, etc.) sous peine de perdre cet accès. Dans le long terme, nous aurons des discussions avec la DGT (Direction générale des technologies) pour mettre en place un système de listes d’envoi plus spécifiques desquelles les étudiant.e.s pourront se désabonner (par exemple, si il ou elle sent que les courriels d’activités, ou de la FESR, ou de la recherche d’emploi, ne l’intéresse pas). Évidemment, vu qu’il soit question d’éléments techniques, nous ne comptons pas sur une implantation rapide, d’où le plan dans le court terme.
Nous savons que le dossier vous tient à cœur, et qu’il est une source de frustration pour plusieurs. En bout de ligne, nous voulons que le courriel étudiant soit utilisable et utilisé, pour qu’aucune information importante ne soit manquée dans l’océan de pourriels universitaires non-triés.
jeudi 1 septembre 2011
The Nycer annule sa participation au MEGA-SHOW : Plus de place pour les autres artistes
C’est avec regret que la FÉÉCUM doit annoncer l’annulation de dernière minute de l’artiste The Nycer (feat. Deeci) à sa participation au MEGA-SHOW de la Rentrée 2011. Citant des problèmes de santé, le groupe français donne sa place aux autres artistes à l’horaire. Un horaire qui ressemblera à ceci :
Les portes du site seront ouvertes à 18h grâce à de l'ambiance acadienne gracieuseté DJ Oli et DJ Chris. Vers 19h30, Peakafeller embarque avec la Troupe Virtuose et c'est vraiment parti! Ensuite, notre propre vedette du country de la région, George Belliveau. Il sera suivi d'un groupe populaire du moment, The New Cities, en provenance de Trois-Rivières, et leur ambiance plus rock. Puis, le groupe franco-ontarien Swing, qui n’en est pas à sa première apparition sur le campus de l’Université de Moncton. Après minuit, DJ Oli, DJ Chris et Peakafeller se donnent à un DJ JAM jusqu'à 1h!
Comme auparavant, le site du spectacle sera animé toute la journée (des 13h) d’artistes locaux et étudiants, de jeux gonflables et de BBQ. Les billets sont encore en vente au Centre étudiant (et sur place) aux prix suivants : 20$ étudiants / 30$ autres (+5$ à la porte).
Désolé de tout inconvénient.
Les portes du site seront ouvertes à 18h grâce à de l'ambiance acadienne gracieuseté DJ Oli et DJ Chris. Vers 19h30, Peakafeller embarque avec la Troupe Virtuose et c'est vraiment parti! Ensuite, notre propre vedette du country de la région, George Belliveau. Il sera suivi d'un groupe populaire du moment, The New Cities, en provenance de Trois-Rivières, et leur ambiance plus rock. Puis, le groupe franco-ontarien Swing, qui n’en est pas à sa première apparition sur le campus de l’Université de Moncton. Après minuit, DJ Oli, DJ Chris et Peakafeller se donnent à un DJ JAM jusqu'à 1h!
Comme auparavant, le site du spectacle sera animé toute la journée (des 13h) d’artistes locaux et étudiants, de jeux gonflables et de BBQ. Les billets sont encore en vente au Centre étudiant (et sur place) aux prix suivants : 20$ étudiants / 30$ autres (+5$ à la porte).
Désolé de tout inconvénient.
mardi 30 août 2011
La Rentrée, ça s'passe à l'UdeM!
Chanson originale : Votre VP exécutive, Joëlle Martin
Lip dub : Vous!
Merci à tous ceux et celles qui ont participé! Et bonne Rentrée 2011!
vendredi 26 août 2011
Le courriel étudiant - finalement du changement!
Après trop de longues années sans que le service de courriel étudiant n'évolue avec la technologie, l'UdeM offre finalement des espaces de stockage convenables et un service de courriel qui ne requiert pas, comme c'était le cas, d'effacer un message à la fois etc. Voici les détails :
Les nouveaux services de communication et de collaboration en ligne destinés aux étudiants et aux étudiantes (Live@edu) sont maintenant disponibles.
Depuis le 19 août, les étudiants et étudiantes des campus profitent de nouveaux outils de productivité et de collaboration :
- une boîte de réception de courriel de 10 Go;
- un espace de stockage en ligne de fichiers de 25 Go;
- la possibilité de partager des fichiers et de collaborer directement en ligne sur des documents avec des collègues;
- des calendriers personnels à partager ou non;
- les compagnons Word, Excel, PowerPoint et OneNote pour travailler en ligne;
- la messagerie instantanée;
- un accès à toutes les fonctions ci-haut y compris les courriels à partir de leur mobile.
La campagne de promotion des nouveaux services auprès des étudiants et étudiantes se poursuivra tout au long des activités de la rentrée.
Toutes les informations relatives aux services, y compris les formations en ligne, sont disponibles à l'adresse : http://www.umoncton.ca/monudem/
Si vous avez des questions sur l'un ou l'autre de ces services, vous pouvez joindre le Service à la clientèle de la Direction générale des technologies, au 863-2100 ou à l'adresse dgt@umoncton.ca.
Alors au moins ça de réglé. Nous travaillerons fort maintenant pour limiter le nombre de courriels non-voulus que vous recevrez.
Les nouveaux services de communication et de collaboration en ligne destinés aux étudiants et aux étudiantes (Live@edu) sont maintenant disponibles.
Depuis le 19 août, les étudiants et étudiantes des campus profitent de nouveaux outils de productivité et de collaboration :
- une boîte de réception de courriel de 10 Go;
- un espace de stockage en ligne de fichiers de 25 Go;
- la possibilité de partager des fichiers et de collaborer directement en ligne sur des documents avec des collègues;
- des calendriers personnels à partager ou non;
- les compagnons Word, Excel, PowerPoint et OneNote pour travailler en ligne;
- la messagerie instantanée;
- un accès à toutes les fonctions ci-haut y compris les courriels à partir de leur mobile.
La campagne de promotion des nouveaux services auprès des étudiants et étudiantes se poursuivra tout au long des activités de la rentrée.
Toutes les informations relatives aux services, y compris les formations en ligne, sont disponibles à l'adresse : http://www.umoncton.ca/monudem/
Si vous avez des questions sur l'un ou l'autre de ces services, vous pouvez joindre le Service à la clientèle de la Direction générale des technologies, au 863-2100 ou à l'adresse dgt@umoncton.ca.
Alors au moins ça de réglé. Nous travaillerons fort maintenant pour limiter le nombre de courriels non-voulus que vous recevrez.
Le bureau-voyage Le Mondial est de retour à la FÉÉCUM
Grâce à une nouvelle entente avec CD Tours, la FÉÉCUM est heureuse de pouvoir annoncer le retour de l’agence de voyage pour les étudiant.e.s de l’UdeM, Le Mondial. Les fameux voyages à New York plusieurs fois par année sont d’immense intérêt à nos étudiant.e.s autant Canadien.ne.s qu’internationaux.ales, et continueront d’être offerts. De plus, Le Mondial organise des voyages de magasinage au Maine, à Halifax, aux Chutes Niagara, etc. Les voyages disponibles sont sur le site web de CD Tours et dans la section Opportunités de celui de la FÉÉCUM.
CD Tours est un petite entreprise en voie d’en devenir une moyenne, fondée en 2006 par un ancien étudiant de l’UdeM qui a occupé le poste de coordonateur du Mondial pendant 2 ans, notre bon ami Amine Saidane. La compagnie opère dans les 3 Provinces Maritimes, principalement avec les universités et les collèges communautaires. Elle a aussi la capacité d’organiser des voyages pour n’importe quel groupe vers n’importe quelle destination au monde.
Par exemple, Le Mondial sera maintenant en mesure d’aider nos groupes étudiants qui désirent organiser des voyages de groupe, comme pour des Jeux et compétitions de toutes sortes, ou pour des voyages humanitaires.
Le Mondial embauchera bientôt son nouveau coordonateur ou nouvelle coordonatrice pour le campus de Moncton, et vous pourrez le.la trouver à même les bureaux de la FÉÉCUM au B-101 du Centre étudiant.
Plus d’info sur vos besoins de voyage et nos services à l’appui…
CD Tours est un petite entreprise en voie d’en devenir une moyenne, fondée en 2006 par un ancien étudiant de l’UdeM qui a occupé le poste de coordonateur du Mondial pendant 2 ans, notre bon ami Amine Saidane. La compagnie opère dans les 3 Provinces Maritimes, principalement avec les universités et les collèges communautaires. Elle a aussi la capacité d’organiser des voyages pour n’importe quel groupe vers n’importe quelle destination au monde.
Par exemple, Le Mondial sera maintenant en mesure d’aider nos groupes étudiants qui désirent organiser des voyages de groupe, comme pour des Jeux et compétitions de toutes sortes, ou pour des voyages humanitaires.
Le Mondial embauchera bientôt son nouveau coordonateur ou nouvelle coordonatrice pour le campus de Moncton, et vous pourrez le.la trouver à même les bureaux de la FÉÉCUM au B-101 du Centre étudiant.
Plus d’info sur vos besoins de voyage et nos services à l’appui…
jeudi 25 août 2011
Réouverture du Tonneau... et autres changements au Café Osmose
La nouvelle gérante du Café Osmose, Frédérique Drolet est fière de pouvoir annoncer la réouverture du pub étudiant Le Tonneau au moins un soir par semaine pendant la prochaine année. En effet, tous les jeudis soirs dans le cadre de la Soirée du Hockey (même avant la saison), le Tonneau ouvre ses portes et son bar de 19h à minuit, et offre un nouveau menu style « pub » qui inclus des exclusivités qui ne sont pas disponibles au Café le jour, comme les ailes de poulet, « potato skins » et autres.
Le Tonneau sera aussi ouvert les soirs où une activité se déroule au Café Osmose après 19h, et restera ouvert tant et aussi longtemps qu’il y reste des consommateurs (minuit maximum), toujours dans une ambiance rafraichie et éclaircie. La réouverture officielle se fera le mercredi 7 septembre, sous la forme d’un Party post-Rallye, suivant le « Street Fest » en dehors du CEPS qui présentera toutes nos équipes sportives en après-midi. Revenez au Tonneau pour essayer le nouveau menu et prendre le goût!
Le Café Osmose institue aussi quelques traditions qui vous sauverons des sous :
- Amenez votre propre tasse et vous payez toujours pour un petit café!
- Pas de surcharge pour les contenants à apporter avant 10h!
- Et on a baissé le prix de certains combos!
Le Café Osmose ouvre le mardi 6 septembre à 8h, passez prendre votre premier café! Pour les menus, vérifiez le site web et au plaisir de s’y voir.
Le Tonneau sera aussi ouvert les soirs où une activité se déroule au Café Osmose après 19h, et restera ouvert tant et aussi longtemps qu’il y reste des consommateurs (minuit maximum), toujours dans une ambiance rafraichie et éclaircie. La réouverture officielle se fera le mercredi 7 septembre, sous la forme d’un Party post-Rallye, suivant le « Street Fest » en dehors du CEPS qui présentera toutes nos équipes sportives en après-midi. Revenez au Tonneau pour essayer le nouveau menu et prendre le goût!
Le Café Osmose institue aussi quelques traditions qui vous sauverons des sous :
- Amenez votre propre tasse et vous payez toujours pour un petit café!
- Pas de surcharge pour les contenants à apporter avant 10h!
- Et on a baissé le prix de certains combos!
Le Café Osmose ouvre le mardi 6 septembre à 8h, passez prendre votre premier café! Pour les menus, vérifiez le site web et au plaisir de s’y voir.
mardi 23 août 2011
Nouveau! Ciné-Osmose!
Une fois par mois, au Café Osmose, VOUS choisissez quels films seront en montre (gratuitement) grâce à un super-sondage sur Facebook, selon les recommandations de nos quatre cinéphiles, un peu comme si on se faisait suggérer des films par des employé.e.s de magasins vidéos (ça existe tu encore ça?).
Les cinéphiles de la FÉÉCUM sont…
Joëlle (votre VP exécutive) – Films d’animation et « chick flicks », ses sélections vous feront revivre votre jeunesse ou vous mettront en contact avec votre côté quétaine et sentimental.
Mélanie (votre coordinatrice socioculturelle) – Notre Française de passage vous offre des films européens et des comédies musicales, question de toucher au cinéma d’autres cultures ou tout simplement de chanter avec les personnages à l’écran.
Oli (votre VP activités sociales) – Laissez votre grand-mère à la maison, pour Oli, c’est les films d’action à grand succès. De la vitesse, du bruit, de la testostérone et des explosions en masse! Rien de plus relaxant!
Michel (votre agent de communications) – Films cultes de toute sorte, cinéma indépendant et aspirants aux Oscars. Un vrai connaisseur, ses recommandations visent à épanouir vos horizons sans jamais vous endormir.
La première présentation se fera le 21 septembre à 19h. À vous de voter pour le film que vous voulez le plus voir. La description de chacun des choix sur notre site internet.
Les cinéphiles de la FÉÉCUM sont…
Joëlle (votre VP exécutive) – Films d’animation et « chick flicks », ses sélections vous feront revivre votre jeunesse ou vous mettront en contact avec votre côté quétaine et sentimental.
Mélanie (votre coordinatrice socioculturelle) – Notre Française de passage vous offre des films européens et des comédies musicales, question de toucher au cinéma d’autres cultures ou tout simplement de chanter avec les personnages à l’écran.
Oli (votre VP activités sociales) – Laissez votre grand-mère à la maison, pour Oli, c’est les films d’action à grand succès. De la vitesse, du bruit, de la testostérone et des explosions en masse! Rien de plus relaxant!
Michel (votre agent de communications) – Films cultes de toute sorte, cinéma indépendant et aspirants aux Oscars. Un vrai connaisseur, ses recommandations visent à épanouir vos horizons sans jamais vous endormir.
La première présentation se fera le 21 septembre à 19h. À vous de voter pour le film que vous voulez le plus voir. La description de chacun des choix sur notre site internet.
Le Guide de survie des étudiant.e.s de l’UdeM
On l’a mis à jour avec de nouveaux visages et de l’information plus courante! Le Guide de survie des étudiants de l'UdeM est un site partenaire de la FÉÉCUM, offert par Moosehead, qui laisse les étudiant.e.s parler franchement aux nouveaux étudiant.e.s sur des questions aussi variées que comment faire son lavage, où manger ou fêter en ville, paufiner ses habitudes d'étude, et s'en remettre d'un lendemain de brosse.
Le Guide est une expérience vidéo franche, honnête, drôle et qui sait, peut-être y reconnaitrez-vous quelqu'un que vous connaissez. Sans farces,ça vaut la peine de le visiter que l'on soit en 1ère année ou non!
Le Guide est une expérience vidéo franche, honnête, drôle et qui sait, peut-être y reconnaitrez-vous quelqu'un que vous connaissez. Sans farces,ça vaut la peine de le visiter que l'on soit en 1ère année ou non!
L’Apprenti FÉÉCUM 2 – On a tout changé!
L'APPRENTI.E FÉÉCUM est maintenant une meilleure simulation de ce que ça veut dire d'être dans la FÉÉCUM! Pendant un semestre au complet, deux FÉÉCUMs miroirs feront face à 5 épreuves basées sur les tâches associées à la FÉÉCUM, de la gestion de crise à l'organisation d'activités.
Nouveau cette année :
-Aucunes éliminations! Votre équipe reste intacte pour la durée!
-Un système de votes créera une élection progressive qui déterminera le.la gagnant.e de la bourse de 2000$!
-Choisissez le poste que vous voulez! Chaque FÉÉCUM miroir (Bleu et Or) aura un.e président.e, vp académique, interne, externe, et social.e.
-Plus de temps pour accomplir chaque tâche (2-3 semaines selon le cas).
-Des C.A. publiques plus percutants, suivis de votes cumulatifs!
Septembre : Période de recrutement
Intéressé.e? Laissez-le nous savoir! Les entrevues se feront pendant le mois (dîtes-nous quels postes vous intéressent en ordre de priorité). Vous pouvez déjà signaler votre intérêt en écrivant au comfee@umoncton.ca.
Toute l'info à mesure qu'elle devient disponible...
Nouveau cette année :
-Aucunes éliminations! Votre équipe reste intacte pour la durée!
-Un système de votes créera une élection progressive qui déterminera le.la gagnant.e de la bourse de 2000$!
-Choisissez le poste que vous voulez! Chaque FÉÉCUM miroir (Bleu et Or) aura un.e président.e, vp académique, interne, externe, et social.e.
-Plus de temps pour accomplir chaque tâche (2-3 semaines selon le cas).
-Des C.A. publiques plus percutants, suivis de votes cumulatifs!
Septembre : Période de recrutement
Intéressé.e? Laissez-le nous savoir! Les entrevues se feront pendant le mois (dîtes-nous quels postes vous intéressent en ordre de priorité). Vous pouvez déjà signaler votre intérêt en écrivant au comfee@umoncton.ca.
Toute l'info à mesure qu'elle devient disponible...
7e Coupe FÉÉCUM : Les 6 épreuves ont été dévoilées
La compétition amicale entre les divers groupes étudiants repart en grand et en plein air cette année, avec six épreuves échelonnées sur deux semestres, en commençant par un Décathlon « for Dummies » qui s’inspire des compétitions d’athlétisme, mais ne demandent pas autant d’effort. Cette épreuve, pour équipes illimitées (minimum : 4) sera la parfait brise-glace pour les facultés, départements, comités, équipes, médias, résidences, et regroupements étudiants qui pourront inviter tous leurs nouveaux membres à se joindre au plaisir. L’épreuve aura lieu dans le champ à côté du Centre étudiant, le vendredi 30 septembre en après-midi.
En octobre, l’« Amazing Race » annuelle revient aux mois d’automnes. En novembre, l’ultra-populaire « game show » musical de l’an dernier est de retour en novembre. En janvier, une Olympiade de jeux de société fera sa première apparition à l’horaire. Le tournoi de water polo sur tubes nous revient en février. En en mars, un super-rallye avec des douzaines (centaines?) de question décidera du classement final.
Pour toute l’information disponible sur les épreuves, le pointage, la participation, etc. consultez le site web de la FÉÉCUM. Et surveillez vos courriels étudiants pour les modalités d’inscription!
En octobre, l’« Amazing Race » annuelle revient aux mois d’automnes. En novembre, l’ultra-populaire « game show » musical de l’an dernier est de retour en novembre. En janvier, une Olympiade de jeux de société fera sa première apparition à l’horaire. Le tournoi de water polo sur tubes nous revient en février. En en mars, un super-rallye avec des douzaines (centaines?) de question décidera du classement final.
Pour toute l’information disponible sur les épreuves, le pointage, la participation, etc. consultez le site web de la FÉÉCUM. Et surveillez vos courriels étudiants pour les modalités d’inscription!
jeudi 18 août 2011
Cinq artistes au Mega-Show extérieur de la Rentrée 2011!
Les étudiants de l’Université de Moncton auront aussi droit à l’humour de Louis-José Houde
La Fédération des étudiants et des étudiantes du Centre universitaire de Moncton (FÉÉCUM), est heureuse de pouvoir annoncer un mega-show extérieur pour la Rentrée 2011, regroupant cinq artistes représentant une variété de genres sur la même scène, aux abords du Centre étudiant le vendredi 9 septembre prochain.
Le site du spectacle sera animé toute la journée d’artistes locaux et étudiants, de jeux gonflables et de BBQ, mais le grand spectacle sera lancé vers 19h par la vedette du country de la région, George Belliveau. Il sera suivi du groupe franco-ontarien Swing, qui n’en est pas à sa première apparition sur le campus de l’Université de Moncton. Le groupe populaire du moment, The New Cities, en provenance de Trois-Rivières, créera une ambiance plus rock alors que le soleil se couche. Et ensuite, place aux DJs vedettes avec Peakafeller d’abord, un rappel de l’an dernier, et enfin The Nycer featuring Deeci, directement du sud de la France.
« On voulait créer un événement qui touchait plusieurs goûts et présenter des talents d’ici et d’ailleurs, » explique le vice-président aux activités sociales de la FÉÉCUM et coordonateur de la Rentrée, Olivier Doiron. « Trois provinces, deux pays, aux moins quatre genres musicaux, ça vaut la peine! » Le spectacle sera de nature « wet and dry » pour donner la chance à tous les étudiants, les plus jeunes comme les plus vieux, de se donner à la fête. Toute la communauté est bien sûr invitée à s’y joindre aussi.
Après deux semaines pour s’en remettre, les étudiants pourront voir le nouveau spectacle d’humour de Louis-José Houde, cette fois en collaboration avec les Loisirs socioculturels de l’Université de Moncton, à la toute dernière journée officielle de la Rentrée, soit le dimanche 18 septembre au Théâtre Capitol. Selon M. Doiron, la popularité de ce spectacle n’a pas échappé à la FÉÉCUM : « Nous avons réservé de bons sièges aux étudiants qui n’arrivent qu’en septembre, pour donner la chance à tout le monde. »
Les billets pour les deux spectacles sont en vente au Centre étudiant de l’Université de Moncton aux prix suivants :
-Mega-Show : 20$ étudiants / 30$ autres (+5$ à la porte)
-Louis-José Houde : 25$ étudiants / 35$ autres
La Fédération des étudiants et des étudiantes du Centre universitaire de Moncton (FÉÉCUM), est heureuse de pouvoir annoncer un mega-show extérieur pour la Rentrée 2011, regroupant cinq artistes représentant une variété de genres sur la même scène, aux abords du Centre étudiant le vendredi 9 septembre prochain.
Le site du spectacle sera animé toute la journée d’artistes locaux et étudiants, de jeux gonflables et de BBQ, mais le grand spectacle sera lancé vers 19h par la vedette du country de la région, George Belliveau. Il sera suivi du groupe franco-ontarien Swing, qui n’en est pas à sa première apparition sur le campus de l’Université de Moncton. Le groupe populaire du moment, The New Cities, en provenance de Trois-Rivières, créera une ambiance plus rock alors que le soleil se couche. Et ensuite, place aux DJs vedettes avec Peakafeller d’abord, un rappel de l’an dernier, et enfin The Nycer featuring Deeci, directement du sud de la France.
« On voulait créer un événement qui touchait plusieurs goûts et présenter des talents d’ici et d’ailleurs, » explique le vice-président aux activités sociales de la FÉÉCUM et coordonateur de la Rentrée, Olivier Doiron. « Trois provinces, deux pays, aux moins quatre genres musicaux, ça vaut la peine! » Le spectacle sera de nature « wet and dry » pour donner la chance à tous les étudiants, les plus jeunes comme les plus vieux, de se donner à la fête. Toute la communauté est bien sûr invitée à s’y joindre aussi.
Après deux semaines pour s’en remettre, les étudiants pourront voir le nouveau spectacle d’humour de Louis-José Houde, cette fois en collaboration avec les Loisirs socioculturels de l’Université de Moncton, à la toute dernière journée officielle de la Rentrée, soit le dimanche 18 septembre au Théâtre Capitol. Selon M. Doiron, la popularité de ce spectacle n’a pas échappé à la FÉÉCUM : « Nous avons réservé de bons sièges aux étudiants qui n’arrivent qu’en septembre, pour donner la chance à tout le monde. »
Les billets pour les deux spectacles sont en vente au Centre étudiant de l’Université de Moncton aux prix suivants :
-Mega-Show : 20$ étudiants / 30$ autres (+5$ à la porte)
-Louis-José Houde : 25$ étudiants / 35$ autres
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