C'est vendredi dernier que se déroulait la 4e épreuve (de 6) de la 7e Coupe FÉÉCUM, une Olympiade de jeux de société sensée être plus rassembleuse que celle de jeux vidéos des deux dernières années (moins « boys club » d'après notre VP Social). Douze équipes étudiantes s'affrontaient donc dans quatre jeux classiques, dont Quelques arpents de pièges, Loup Garou, Monopoly et Risk.Après une activité brise-glace de Twister qui donna un mince avantage à trois équipes dans un des jeux, les équipe s'y sont lancé pour la majeure partie de l'après-midi. À Monopoly, joué sur deux planchettes, on a vu deux matchs bien différents. Dans le premier, c'était coupe-gorge avec plusieurs banqueroutes. Dans l'autre, ça semblait un plus amical échange de propriétés. Médecine remporte le jeu. Au Risk, les deux guerres semblent aller dans le même sens, avec la moitié des équipes qui se trouvent éliminées. Génie et les MAUI gagnent chacun leur planchette. Loup Garou voit toutes sortes de variation en quatre jeux, et c'est Athlétisme qui sont les clairs gagnants ici. Et avec Quelques arpents de pièges, les joueurs se sont bidonnés aux dépends des questions datant des années 80s (non, personne ne savait ce qu'on mettait sur un « disque souple ») mais certains ont surpris par leur bagage de connaissances. Les vainqueurs sont l'équipe de Traduction.
Au classement final, l'équipe d'Athlétisme remporte l'épreuve avec une première place, et deux deuxièmes (leur seule faiblesse, Monopoly). Cette équipe prend une bonne (mais non insurmontable) avance grâce à une deuxième victoire. On se souviendra de leur succès à « l'Amazing Race » en octobre. Voici donc le classement de l'événement :
1-Athlétisme
2-MAUI
3-Médecine
3-Sciences
3-Traduction
6-Administration
6-Éducation
6-Génie
9-Arts
10-Logement
11-Nutrition
12-Kiné-Récréo
Le classement cumulatif se trouve sur le site Internet de la FÉÉCUM comme à l'habitude. Prochain rendez-vous le 17 février pour le Tournoi de water polo sur tubes!
lundi 23 janvier 2012
jeudi 19 janvier 2012
La FÉÉCUM s'improvise!
La fin de semaine dernière, quelques éléments de la FÉÉCUM se sont payé une période d'improvisation dans l'Improvisathon annuel de la Licum. Le résultat?La vedette de l'équipe, sans aucun doute VP exécutive Joelle Martin, mais il s'agit là d'une improvisatrice de longue date, tout comme VP académique Justin Guitard qui fait, lui, encore partie de la Ligue d'improvisation du Centre universitaire de Moncton. Parmi les amateurs, le Président Ghislain LeBlanc a surpris par son écoute. Pas une star de l'impro, mais ne nous a pas fait honte. Les employés recrutés pour remplir les rangs de l'équipe, eh bien, pas certain qu'ils veulent qu'on parle de leur jeu. Nous allons nous en tenir à féliciter Agent de projet et recherche Luc Léger et coordinatrice socioculturelle Mélanie Clériot pour leur participation. ;-)
FLASHBACK!!!
Ce n'est pas la première fois que la FÉÉCUM participe à cet événement, bien sûr. Voici une photo de l'exécutif 2001-2002 en train de se remonter les pentalons après une courte impro qui est allé sous la ceinture!
De gauche à droite, on peut y voir Agente de communication Isabelle Landry, VP social Steeve « Chef » Hébert, Président Raphaël Moore, VP académique Pierre Losier, et VP externe Éric Larocque. (Oui, deux de nos directeurs généraux sont dans la flotte.) Dans ce cas-ci, aucun participant n'était joueur d'impro à l'avance, bien que deux étaient en relation avec un.e Licumien.ne.
La FÉÉCUM n'est pas étrangère à l'impro, car depuis les début de l'activité sur le campus quelques 25 ans passés, plusieurs improvisateurs et improvisatrices ont été élu.e.s au Comité exécutif, dont : Donald Aubé, Pascal Robichaud, Paul Ward, Pascal Dubé, Martine Blanchard, Bruno Pondant, Éric-Mathieu « Fireball » Doucet, Mylène Dugas, Jason Doiron, Sylvain Bérubé, et bien sûr, Justin et Joelle. Dans ce groupe, on compte tout de même 2 anciens présidents, le D.G. de la SNA, celle qui lit les nouvelles au Téléjournal de la fin de semaine, et le Régistraire de l'Université!
FLASHBACK!!!
Ce n'est pas la première fois que la FÉÉCUM participe à cet événement, bien sûr. Voici une photo de l'exécutif 2001-2002 en train de se remonter les pentalons après une courte impro qui est allé sous la ceinture!
De gauche à droite, on peut y voir Agente de communication Isabelle Landry, VP social Steeve « Chef » Hébert, Président Raphaël Moore, VP académique Pierre Losier, et VP externe Éric Larocque. (Oui, deux de nos directeurs généraux sont dans la flotte.) Dans ce cas-ci, aucun participant n'était joueur d'impro à l'avance, bien que deux étaient en relation avec un.e Licumien.ne.
La FÉÉCUM n'est pas étrangère à l'impro, car depuis les début de l'activité sur le campus quelques 25 ans passés, plusieurs improvisateurs et improvisatrices ont été élu.e.s au Comité exécutif, dont : Donald Aubé, Pascal Robichaud, Paul Ward, Pascal Dubé, Martine Blanchard, Bruno Pondant, Éric-Mathieu « Fireball » Doucet, Mylène Dugas, Jason Doiron, Sylvain Bérubé, et bien sûr, Justin et Joelle. Dans ce groupe, on compte tout de même 2 anciens présidents, le D.G. de la SNA, celle qui lit les nouvelles au Téléjournal de la fin de semaine, et le Régistraire de l'Université!
lundi 9 janvier 2012
Le Nouveau-Brunswick commence l'année avec les droits de scolarité les plus élevés au Canada
Des mesures prises par l’Ontario mettent le N.-B. en « première » place
En janvier 2012, la province de l’Ontario met en place un programme qui offrira à tous ses étudiant.e.s au baccalauréat issu.e.s d’une famille dont les revenus ne dépassent pas 160 000 $ (donc 86% de la population étudiante ontarienne) une réduction sur leurs droits de scolarité de 1600 $ annuellement. La Fédération des étudiants et des étudiantes de l’Université de Moncton (FÉÉCUM) note que cette mesure effectivement réduit la moyenne des droits de scolarité en Ontario à environ 5000 $, soit quelques 800 $ sous celle du Nouveau-Brunswick qui se retrouve tout à coup la province avec les droits de scolarité les plus élevés, et donc le fardeau financier aux étudiant.e.s le plus lourd.
Pour les étudiant.e.s de l’Université de Moncton – qui payent maintenant plus de 5800 $ par année quand on inclut les frais afférents – c’est signe qu’il faut renverser la tendance dans les plus brefs délais. « Le coût d’une éducation postsecondaire augmente beaucoup plus vite que le coût de la vie, plus vite aussi que les montants accordés par les programmes d’aide financière aux étudiants » déclare Ghislain LeBlanc, président de la Fédération étudiante. « Nos universités et nos étudiants ont besoin d’un meilleur financement de la part de la province pour rattraper le recul que nous prenons à l’échelle nationale. »
Le président de la FÉÉCUM aimerait voir des efforts de la part du Nouveau-Brunswick dès le prochain budget pour commencer ce rattrapage : « Les étudiants payent une part de plus en plus grande de la facture universitaire – de 15% du budget des universités dans les années 80s à plus de 35% aujourd’hui – et il est grand temps que le gouvernement recommence à investir de façon significative à la formation de la relève néo-brunswickoise. Pour nous, il est inconcevable que le Nouveau-Brunswick s’ait laissé couler jusqu’au fond du baril. »
Information sur le programme mis en place par l’Ontario
En janvier 2012, la province de l’Ontario met en place un programme qui offrira à tous ses étudiant.e.s au baccalauréat issu.e.s d’une famille dont les revenus ne dépassent pas 160 000 $ (donc 86% de la population étudiante ontarienne) une réduction sur leurs droits de scolarité de 1600 $ annuellement. La Fédération des étudiants et des étudiantes de l’Université de Moncton (FÉÉCUM) note que cette mesure effectivement réduit la moyenne des droits de scolarité en Ontario à environ 5000 $, soit quelques 800 $ sous celle du Nouveau-Brunswick qui se retrouve tout à coup la province avec les droits de scolarité les plus élevés, et donc le fardeau financier aux étudiant.e.s le plus lourd.
Pour les étudiant.e.s de l’Université de Moncton – qui payent maintenant plus de 5800 $ par année quand on inclut les frais afférents – c’est signe qu’il faut renverser la tendance dans les plus brefs délais. « Le coût d’une éducation postsecondaire augmente beaucoup plus vite que le coût de la vie, plus vite aussi que les montants accordés par les programmes d’aide financière aux étudiants » déclare Ghislain LeBlanc, président de la Fédération étudiante. « Nos universités et nos étudiants ont besoin d’un meilleur financement de la part de la province pour rattraper le recul que nous prenons à l’échelle nationale. »
Le président de la FÉÉCUM aimerait voir des efforts de la part du Nouveau-Brunswick dès le prochain budget pour commencer ce rattrapage : « Les étudiants payent une part de plus en plus grande de la facture universitaire – de 15% du budget des universités dans les années 80s à plus de 35% aujourd’hui – et il est grand temps que le gouvernement recommence à investir de façon significative à la formation de la relève néo-brunswickoise. Pour nous, il est inconcevable que le Nouveau-Brunswick s’ait laissé couler jusqu’au fond du baril. »
Information sur le programme mis en place par l’Ontario
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