Eh oui, après avoir craché tout son négativisme sur le concept des Aigles d'Or, l'habituellement anti-fier journaliste du Front, Rémi Godin, a pu être entrevu portant un foulard après le Gala para-académique de jeudi dernier. Photo offerte à l'appui de ce petit miracle de fin d'année :
Plus d'information dans le Front de cette semaine!
lundi 31 mars 2008
lundi 17 mars 2008
Gel des droits de scolarité au Nouveau-Brunswick
Voici le communiqué de presse qui réagit à la nouvelle de ce matin :
Suite à la nouvelle que le gouvernement du Nouveau-Brunswick s’apprête à geler les droits de scolarité dans son nouveau budget, la Fédération des étudiants et étudiantes de l’Université de Moncton (FÉÉCUM) se résigne à attendre une autre année avant que des mesures qui contrent véritablement l’endettement soient mises en application.
La FÉÉCUM ne peut évidemment pas considérer le gel une mauvaise nouvelle, mais réalise que c’est une mesure temporaire en attendant que le groupe de travail remette son rapport. « Bien qu’il aurait été pertinent d’établir un plafond d’endettement immédiatement vue l’unanimité que fait cette idée, » explique Stéphanie Chouinard, présidente de la FÉÉCUM, « le gouvernement provincial a au moins cru bon de geler les frais en attendant la réforme de l’aide financière. »
La Fédération étudiante est d’ailleurs surprise de voir une telle mesure figurer au budget vu qu’elle n’a pas fait partie du processus de recommandations ou de consultations. « Comme mesure temporaire, le gel est acceptable » ajoute Mme Chouinard, « mais ce serait mal gérer l’argent des contribuables que d’investir chaque année dans une mesure universelle qui laisse quand même les moins bien nantis s’endetter au rythme de 11 900$ par année à travers les prêts étudiants. »
La FÉÉCUM rappelle que si les choses ne changent pas, le dégel éventuel ne fera que faire monter les droits de scolarité - et l’endettement - en flèche. Mme Chouinard reste optimiste : « Bien que nous sommes d’avis que la situation est plus urgente que ce budget ne veut l’admettre, le gouvernement semble être prêt à mettre le temps nécessaire pour mettre fin au statu quo en éducation postsecondaire dans la province. »
Suite à la nouvelle que le gouvernement du Nouveau-Brunswick s’apprête à geler les droits de scolarité dans son nouveau budget, la Fédération des étudiants et étudiantes de l’Université de Moncton (FÉÉCUM) se résigne à attendre une autre année avant que des mesures qui contrent véritablement l’endettement soient mises en application.
La FÉÉCUM ne peut évidemment pas considérer le gel une mauvaise nouvelle, mais réalise que c’est une mesure temporaire en attendant que le groupe de travail remette son rapport. « Bien qu’il aurait été pertinent d’établir un plafond d’endettement immédiatement vue l’unanimité que fait cette idée, » explique Stéphanie Chouinard, présidente de la FÉÉCUM, « le gouvernement provincial a au moins cru bon de geler les frais en attendant la réforme de l’aide financière. »
La Fédération étudiante est d’ailleurs surprise de voir une telle mesure figurer au budget vu qu’elle n’a pas fait partie du processus de recommandations ou de consultations. « Comme mesure temporaire, le gel est acceptable » ajoute Mme Chouinard, « mais ce serait mal gérer l’argent des contribuables que d’investir chaque année dans une mesure universelle qui laisse quand même les moins bien nantis s’endetter au rythme de 11 900$ par année à travers les prêts étudiants. »
La FÉÉCUM rappelle que si les choses ne changent pas, le dégel éventuel ne fera que faire monter les droits de scolarité - et l’endettement - en flèche. Mme Chouinard reste optimiste : « Bien que nous sommes d’avis que la situation est plus urgente que ce budget ne veut l’admettre, le gouvernement semble être prêt à mettre le temps nécessaire pour mettre fin au statu quo en éducation postsecondaire dans la province. »
mercredi 12 mars 2008
FÉÉCUM Acadiana
Votre agent de communication s'est assis sur ces photos depuis déjà trop longtemps...
Pour la dernière Soirée internationale, plusieurs membres du comité exécutif de la FÉÉCUM ont accepté de présenter le costume traditionnel acadien (avec l'aimable participation du Village Acadien de Caraquet) à la parode de mode internationale. Voici ce que ça avait l'air dans nos bureaux...
Pour la dernière Soirée internationale, plusieurs membres du comité exécutif de la FÉÉCUM ont accepté de présenter le costume traditionnel acadien (avec l'aimable participation du Village Acadien de Caraquet) à la parode de mode internationale. Voici ce que ça avait l'air dans nos bureaux...
André est prêt partir nettoyer les aboiteaux pendant que Stéphanie, sabots aux pieds, file du lin... ou quelque chose.
Et ci-haut, Tina démontre le sommet de la mode en Acadien au 18e siècle, et à l'arrière, notre directeur-général Éric Larocque, fait un très respectable Acadien du 21e.
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