lundi 28 février 2011
Élections générales de la FÉÉCUM : Le vote en ligne 28 fév. au 1 mars
Procédure (de 8h30 le 28 fév. à 18h le 1 mars)
1-www.umoncton.ca (dans MANIWeb)
2-Accès protégé (entrez votre NIP et votre NI)
3-Choisir l'option « Renseignements personnels »
4-Cliquez sur « Répondre au sondage »
5-Choisir l'option « Élections FÉÉCUM »
6-VOTEZ!
jeudi 24 février 2011
Revue de presse (du 14 février au 20 février 2011)
Financement des universités publiques : le Nouveau-Brunswick invité à ne pas imiter la Nouvelle-Écosse
En réaction à l'annonce de la Ministre de l'éducation postsecondaire, Martine Coulombe, au sujet de la mise en place d'ententes de financement étendues sur une période de quatre ans pour les universités publiques du Nouveau-Brunswick, le Président de la Atlantic Institute for Market Studies, Charles Cirtwill, a mis en garde le gouvernement néo-brunswickois de ne pas imiter les erreurs commises par le gouvernement néo-écossais il y a de cela six ans. Selon Cirtwill, la mise en place d'un calendrier des droits de scolarité fixant les augmentations à venir sur une période spécifique pourrait être avantageuse pour les étudiantes et les étudiants tout comme il pourrait aussi leur causer des problèmes. Selon lui, la mise en place d'une telle initiative doit cadrer avec les besoins réels des universités, et ce, dans le but ultime de ne pas mettre en péril l'accessibilité aux études postsecondaires.
Un avenir inquiétant : le gouvernement du Nouveau-Brunswick invité à fixer ses priorités
Dans une chronique publiée dans les pages de l'Acadie Nouvelle du 15 février, Roger Ouellette, professeur au Département de science politique de l'Université de Moncton, s'est livré à une critique des décisions et des priorités du gouvernement de David Alward. En gros, il s'insurge contre la décision du gouvernement du Nouveau-Brunswick d'exécuter des compressions budgétaires sans s'être livré à une évaluation des besoins et des obligations de chacun de ses ministères. Selon Ouellette, l'avenir économique du Nouveau-Brunswick dépend largement de l'éducation dans son ensemble (c'est-à-dire à partir de la petite enfance jusqu'au postsecondaire). Dans cette optique, le milieu éducationnel ne devrait pas subir de compressions budgétaires, mais devrait plutôt jouir d'investissements additionnels, et ce, afin de mieux outiller la société néo-brunswickoise pour faire face aux défis de l'avenir.
Le monde arabe est en quête de démocratie, mais dans quel état se trouve la démocratie dans le monde occidental?
Est-ce que la démocratie est venue à se résume à la tenue d'élections à intervalles réguliers? Le journaliste Louis-Gilles Francoeur se pose cette question dans un texte qu'il a signé dans le journal Le Devoir du 19 février. À la lumière des évènements des derniers mois dans le monde arabe, dans quel état se trouve la démocratie occidentale aujourd'hui? Plusieurs, notamment dans le monde universitaire, se posent cette question au jour le jour. Pourtant, aucune réponse n'est universellement acceptée. En France, la revue Philosophie a publié un sondage intitulé «Les Français et la démocratie» dans lequel nous y apprenons que 49% des Françaises et des Français prétendent que la démocratie a pris un recul, tandis que seulement 14% prétendent que la démocratie a progressé au cours des dernières années. Peu importe votre perception de ce qu'est la démocratie, ce texte vous fera sûrement réfléchir!
En réaction à l'annonce de la Ministre de l'éducation postsecondaire, Martine Coulombe, au sujet de la mise en place d'ententes de financement étendues sur une période de quatre ans pour les universités publiques du Nouveau-Brunswick, le Président de la Atlantic Institute for Market Studies, Charles Cirtwill, a mis en garde le gouvernement néo-brunswickois de ne pas imiter les erreurs commises par le gouvernement néo-écossais il y a de cela six ans. Selon Cirtwill, la mise en place d'un calendrier des droits de scolarité fixant les augmentations à venir sur une période spécifique pourrait être avantageuse pour les étudiantes et les étudiants tout comme il pourrait aussi leur causer des problèmes. Selon lui, la mise en place d'une telle initiative doit cadrer avec les besoins réels des universités, et ce, dans le but ultime de ne pas mettre en péril l'accessibilité aux études postsecondaires.
Un avenir inquiétant : le gouvernement du Nouveau-Brunswick invité à fixer ses priorités
Dans une chronique publiée dans les pages de l'Acadie Nouvelle du 15 février, Roger Ouellette, professeur au Département de science politique de l'Université de Moncton, s'est livré à une critique des décisions et des priorités du gouvernement de David Alward. En gros, il s'insurge contre la décision du gouvernement du Nouveau-Brunswick d'exécuter des compressions budgétaires sans s'être livré à une évaluation des besoins et des obligations de chacun de ses ministères. Selon Ouellette, l'avenir économique du Nouveau-Brunswick dépend largement de l'éducation dans son ensemble (c'est-à-dire à partir de la petite enfance jusqu'au postsecondaire). Dans cette optique, le milieu éducationnel ne devrait pas subir de compressions budgétaires, mais devrait plutôt jouir d'investissements additionnels, et ce, afin de mieux outiller la société néo-brunswickoise pour faire face aux défis de l'avenir.
Le monde arabe est en quête de démocratie, mais dans quel état se trouve la démocratie dans le monde occidental?
Est-ce que la démocratie est venue à se résume à la tenue d'élections à intervalles réguliers? Le journaliste Louis-Gilles Francoeur se pose cette question dans un texte qu'il a signé dans le journal Le Devoir du 19 février. À la lumière des évènements des derniers mois dans le monde arabe, dans quel état se trouve la démocratie occidentale aujourd'hui? Plusieurs, notamment dans le monde universitaire, se posent cette question au jour le jour. Pourtant, aucune réponse n'est universellement acceptée. En France, la revue Philosophie a publié un sondage intitulé «Les Français et la démocratie» dans lequel nous y apprenons que 49% des Françaises et des Français prétendent que la démocratie a pris un recul, tandis que seulement 14% prétendent que la démocratie a progressé au cours des dernières années. Peu importe votre perception de ce qu'est la démocratie, ce texte vous fera sûrement réfléchir!
mercredi 23 février 2011
Le Premier Ministre du N.-B. recevra un livre par semaine de la FÉÉCUM
La Fédération étudiante lance une campagne qui vise à faire modifier le budget
D’ici le dépôt du budget du Nouveau-Brunswick à la fin mars, la Fédération des étudiants et étudiantes du Centre universitaire de Moncton (FÉÉCUM) enverra un classique littéraire par semaine au Premier Ministre David Alward dans l’espoir de le conscientiser à l’importance de l’éducation dans le développement économique de sa province.
Chacun des cinq livres choisis portera un message symbolique et sera accompagné d’une lettre explicative* envoyée à l’Hon. M. Alward ainsi qu’à d’autres intervenants comme la Ministre et au critique de l’éducation postsecondaire, ainsi qu’aux médias. Selon Ghislain LeBlanc, président de la FÉÉCUM, la situation est inquiétante : « On parle de coupures importantes à l’ensemble du secteur de l’éducation, de la petite enfance à l’éducation postsecondaire, alors que l’éducation devrait être la pierre angulaire du prochain budget pour assurer le développement économique de la province. »
Le premier livre envoyé est La métamorphose de Franz Kafka, l’histoire d’un homme qui se réveille un bon matin transformé en insecte, un changement hautement symbolique qui le fait manquer à ses responsabilités envers sa famille. À travers ce choix, la FÉÉCUM cherche à inspirer M. Alward à faire preuve du courage que le protagoniste du livre n’a pu trouver, en faisant face à ses responsabilités envers les citoyens du Nouveau-Brunswick et en respectant les priorités établies dans sa plateforme électorale. « On y dévoue plusieurs pages à l’éducation, » souligne M. LeBlanc, « mais 13 des 43 millions $ que le gouvernement veut compresser proviennent de ce milieu. »
La Fédération étudiante promet d’envoyer un livre par semaine jusqu’au dépôt du budget, question d’inspirer le Premier Ministre à respecter ses engagements envers la population du Nouveau-Brunswick tout en soulignant l’importance du rôle de l’éducation dans la prospérité économique de la province.
*La lettre dans son entier :
Monsieur le Premier Ministre,
Nous vous faisons parvenir, avec cette lettre, une copie d’un classique de la littérature. Si nous avons choisi de vous envoyer un livre cette semaine, ce n’est pas seulement dans le but de remplir la bibliothèque de votre bureau. Il s’agit aussi pour nous, d’une occasion de vous faire part de nos préoccupations à l’égard de l’avenir de l’éducation postsecondaire au Nouveau-Brunswick. Dans cette optique, nous vous ferons parvenir un livre par semaine jusqu’au dépôt du budget à la fin du mois de mars. Nous espérons que le contenu de ces livres vous permettra de réfléchir, mais aussi d’échapper au stress de la vie publique.
Le premier livre que nous avons choisi de vous faire parvenir est La métamorphose de l’auteur tchèque Franz Kafka. Dans ses pages, un représentant de vente nommé Gregor travaille afin de faire vivre sa famille. Dans l’imaginaire absurde de Kafka, Gregor se réveille un bon matin transformé en insecte géant, représentation symbolique de ses angoisses face au changement. Du jour au lendemain, Gregor doit adopter un nouveau mode de vie, métamorphose qui ne s’avère pas facile pour sa famille. Celui sur qui la famille dépendait pour survivre rapidement devient une nuisance. Ni Gregor, ni sa famille, ne réussiront à accepter ce changement physique.
Au cours des six derniers mois, vous avez vous aussi, comme Gregor, vécu une métamorphose. Vous êtes passé de chef du parti de l’opposition à Premier Ministre du Nouveau-Brunswick. Vous avez maintenant des responsabilités envers les citoyennes et les citoyens de la province et ceux-ci dépendent de vos actions. Dans La métamorphose, Gregor manque à ses responsabilités envers sa famille. Nous reconnaissons les difficultés que vous avez devant vous et nous espérons que vous aurez le courage qui a manqué à Gregor face au changement. Si vous manquez à vos responsabilités, ce sont les jeunes, les étudiantes et les étudiants, et les travailleuses et les travailleurs du Nouveau-Brunswick qui vont en souffrir. Les priorités de Gregor ont changé avec sa transformation physique, les vôtres doivent rester les mêmes.
Pour le bien de la province, nous vous prions de respecter, dans votre premier budget, les priorités établies au cours de votre campagne électorale. Plus de six pages de votre plateforme électorale traitait de l’importance que vous vouliez accorder à l’éducation. Nous comprenons difficilement comment 13 des 43 millions de dollars que vous désirez compresser dans le budget de la province proviennent du milieu de l’éducation. Vous avez une responsabilité envers vos promesses. Les citoyennes et les citoyens du Nouveau-Brunswick comptent sur vous!
En espérant que vous allez apprécier La métamorphose de Franz Kafka et surtout, vous en inspirer, veuillez agréer, M. Alward, nos plus sincères salutations,
Ghislain LeBlanc, Président FÉÉCUM
Sylvain Bérubé, Vice-président exécutif FÉÉCUM
Version pdf en français et an anglais sur le site de la FÉÉCUM
D’ici le dépôt du budget du Nouveau-Brunswick à la fin mars, la Fédération des étudiants et étudiantes du Centre universitaire de Moncton (FÉÉCUM) enverra un classique littéraire par semaine au Premier Ministre David Alward dans l’espoir de le conscientiser à l’importance de l’éducation dans le développement économique de sa province.
Chacun des cinq livres choisis portera un message symbolique et sera accompagné d’une lettre explicative* envoyée à l’Hon. M. Alward ainsi qu’à d’autres intervenants comme la Ministre et au critique de l’éducation postsecondaire, ainsi qu’aux médias. Selon Ghislain LeBlanc, président de la FÉÉCUM, la situation est inquiétante : « On parle de coupures importantes à l’ensemble du secteur de l’éducation, de la petite enfance à l’éducation postsecondaire, alors que l’éducation devrait être la pierre angulaire du prochain budget pour assurer le développement économique de la province. »
Le premier livre envoyé est La métamorphose de Franz Kafka, l’histoire d’un homme qui se réveille un bon matin transformé en insecte, un changement hautement symbolique qui le fait manquer à ses responsabilités envers sa famille. À travers ce choix, la FÉÉCUM cherche à inspirer M. Alward à faire preuve du courage que le protagoniste du livre n’a pu trouver, en faisant face à ses responsabilités envers les citoyens du Nouveau-Brunswick et en respectant les priorités établies dans sa plateforme électorale. « On y dévoue plusieurs pages à l’éducation, » souligne M. LeBlanc, « mais 13 des 43 millions $ que le gouvernement veut compresser proviennent de ce milieu. »
La Fédération étudiante promet d’envoyer un livre par semaine jusqu’au dépôt du budget, question d’inspirer le Premier Ministre à respecter ses engagements envers la population du Nouveau-Brunswick tout en soulignant l’importance du rôle de l’éducation dans la prospérité économique de la province.
*La lettre dans son entier :
Monsieur le Premier Ministre,
Nous vous faisons parvenir, avec cette lettre, une copie d’un classique de la littérature. Si nous avons choisi de vous envoyer un livre cette semaine, ce n’est pas seulement dans le but de remplir la bibliothèque de votre bureau. Il s’agit aussi pour nous, d’une occasion de vous faire part de nos préoccupations à l’égard de l’avenir de l’éducation postsecondaire au Nouveau-Brunswick. Dans cette optique, nous vous ferons parvenir un livre par semaine jusqu’au dépôt du budget à la fin du mois de mars. Nous espérons que le contenu de ces livres vous permettra de réfléchir, mais aussi d’échapper au stress de la vie publique.
Le premier livre que nous avons choisi de vous faire parvenir est La métamorphose de l’auteur tchèque Franz Kafka. Dans ses pages, un représentant de vente nommé Gregor travaille afin de faire vivre sa famille. Dans l’imaginaire absurde de Kafka, Gregor se réveille un bon matin transformé en insecte géant, représentation symbolique de ses angoisses face au changement. Du jour au lendemain, Gregor doit adopter un nouveau mode de vie, métamorphose qui ne s’avère pas facile pour sa famille. Celui sur qui la famille dépendait pour survivre rapidement devient une nuisance. Ni Gregor, ni sa famille, ne réussiront à accepter ce changement physique.
Au cours des six derniers mois, vous avez vous aussi, comme Gregor, vécu une métamorphose. Vous êtes passé de chef du parti de l’opposition à Premier Ministre du Nouveau-Brunswick. Vous avez maintenant des responsabilités envers les citoyennes et les citoyens de la province et ceux-ci dépendent de vos actions. Dans La métamorphose, Gregor manque à ses responsabilités envers sa famille. Nous reconnaissons les difficultés que vous avez devant vous et nous espérons que vous aurez le courage qui a manqué à Gregor face au changement. Si vous manquez à vos responsabilités, ce sont les jeunes, les étudiantes et les étudiants, et les travailleuses et les travailleurs du Nouveau-Brunswick qui vont en souffrir. Les priorités de Gregor ont changé avec sa transformation physique, les vôtres doivent rester les mêmes.
Pour le bien de la province, nous vous prions de respecter, dans votre premier budget, les priorités établies au cours de votre campagne électorale. Plus de six pages de votre plateforme électorale traitait de l’importance que vous vouliez accorder à l’éducation. Nous comprenons difficilement comment 13 des 43 millions de dollars que vous désirez compresser dans le budget de la province proviennent du milieu de l’éducation. Vous avez une responsabilité envers vos promesses. Les citoyennes et les citoyens du Nouveau-Brunswick comptent sur vous!
En espérant que vous allez apprécier La métamorphose de Franz Kafka et surtout, vous en inspirer, veuillez agréer, M. Alward, nos plus sincères salutations,
Ghislain LeBlanc, Président FÉÉCUM
Sylvain Bérubé, Vice-président exécutif FÉÉCUM
Version pdf en français et an anglais sur le site de la FÉÉCUM
Où est Alward?
La FÉÉCUM lance un concours amusant pour sensibiliser les étudiants et le gouvernement provincial sur le financement du postsecondaire« Où est Alward? » est un concours dans le style de « Où est Charlie? » (ou « Where’s Waldo? ») que lance la Fédération des étudiants et étudiantes du Centre universitaire de Moncton (FÉÉCUM) aujourd’hui vu que les étudiants ignorent où le Premier Ministre se situe par rapport à l’éducation postsecondaire. Le concours leur demandera de trouver M. Alward dans une photo de groupe chaque semaine d’ici le dépôt du budget.
La Fédération étudiante utilisera ces quatre photos pour poser des questions pertinentes sur la place de l’éducation postsecondaire dans les politiques du gouvernement du Nouveau-Brunswick. « Où se situe M. Alward par rapport à l’éducation postsecondaire? » demande Ghislain LeBlanc, président de la FÉÉCUM. « En faisant les coupures que son gouvernement propose dans tous les secteurs, il ne démontre pas que c’est une priorité pour eux, malgré ce que sa plateforme électorale laissait entendre. »
Le concours donnera la chance à un étudiant ou une étudiante qui a l’œil perçant de gagner une bourse de 500$. Les étudiants de l’Université de Moncton auront l’opportunité de trouver leur nom dans le chapeau chaque fois qu’ils trouvent David Alward dans la photo de la semaine; le tirage se tiendra à la toute fin. Il sera possible de mettre encore plus de chance de son côté en trouvant une deuxième personne, qui variera de semaine en semaine. Cette fois, une chance supplémentaire ira à ceux qui trouvent aussi la Ministre de l’éducation postsecondaire Martine Coulombe dans la foule.
« Nous croyons que cela amusera nos membres même si la situation elle-même est loin de l’être, » avoue le président de la Fédération, « mais aussi que leurs esprits seront éveillés à la gaffe financière que le gouvernement s’apprête de faire. »
La première photo choisie est celle d’une manifestation étudiante de 1974 et évoque les grands moments du mouvement étudiant acadien, de 1968 à nos jours.
Pour participer!
La Fédération étudiante utilisera ces quatre photos pour poser des questions pertinentes sur la place de l’éducation postsecondaire dans les politiques du gouvernement du Nouveau-Brunswick. « Où se situe M. Alward par rapport à l’éducation postsecondaire? » demande Ghislain LeBlanc, président de la FÉÉCUM. « En faisant les coupures que son gouvernement propose dans tous les secteurs, il ne démontre pas que c’est une priorité pour eux, malgré ce que sa plateforme électorale laissait entendre. »
Le concours donnera la chance à un étudiant ou une étudiante qui a l’œil perçant de gagner une bourse de 500$. Les étudiants de l’Université de Moncton auront l’opportunité de trouver leur nom dans le chapeau chaque fois qu’ils trouvent David Alward dans la photo de la semaine; le tirage se tiendra à la toute fin. Il sera possible de mettre encore plus de chance de son côté en trouvant une deuxième personne, qui variera de semaine en semaine. Cette fois, une chance supplémentaire ira à ceux qui trouvent aussi la Ministre de l’éducation postsecondaire Martine Coulombe dans la foule.
« Nous croyons que cela amusera nos membres même si la situation elle-même est loin de l’être, » avoue le président de la Fédération, « mais aussi que leurs esprits seront éveillés à la gaffe financière que le gouvernement s’apprête de faire. »
La première photo choisie est celle d’une manifestation étudiante de 1974 et évoque les grands moments du mouvement étudiant acadien, de 1968 à nos jours.
Pour participer!
lundi 21 février 2011
Coupe FÉÉCUM : Les équipes courent « l’Amazing Race »!
Vendredi dernier, sept équipes se lançaient dans les sentiers du campus pour la 6e « Amazing Race » annuelle de la Coupe FÉÉCUM, seulement la deuxième à se dérouler l’hiver, et comme la dernière fois, une journée pluvieuse.
Admin, l’ALEQA, les Arts, Droit, FSSSC, Médecine et Sciences sociales n’en seront pas sortis sans se mouiller, c’est certain! Les équipes se sont ruées sur les coins perdus et moins connus du campus, comme l’observatoire…
…et dans endroits plus… euh… courus du campus comme le Centre étudiant où ils sont à la source de l’étrange Stonehenge qui attendait les employés et étudiants ce matin.
À travers les deux heures qui suivirent, elles ont couru l’équivalent de 4 km, et participé à toutes sortes d’épreuves d’endurance, d’observation, de patience, de connaissance, et même de français. Une des épreuves clé était intitulé « Canapés de la mort » et forçait les participants à manger un biscuit avec toutes sortes de condiments (du nutella au caviar) à moins que l’équipe ne réponde correctement une question de trivia. Alors que les filles de Nutrition (FSSSC) ont eu un coup de chance avec une question de gastronomie, et n’ont mangé qu’un biscuit sec, d’autres ont eu la pleine saveur d’une dizaine d’ingrédients. VIDÉO!
Admin, souvent perdue et en train de faire le parcours dans le mauvais sens a aussi reçu le « Cédez », gracieuseté de l’ALEQA, ce qui les a ralentis. FSSSC, pour sa part, allait tout de même frapper un mur dans la toute dernière épreuve – histoire crève-cœur – arrivant 2e, mais finissant dernière, incapable de compléter une épreuve scientifique (faire entrer un œuf dur intact dans une bouteille.
Les sourires dans cette photo révèlent qu’il était encore tôt dans l’exercice. Premiers à cette épreuve et donc la première équipe à franchir la ligne d’arrivée : L’Association libre des étudiants québécois et amis (ALEQA)!
Ceci représente leur deuxième victoire de la Coupe FÉÉCUM, les propulsant en 2e place au classement cumulatif, en position de dépasser Admin dans l’épreuve final du 23 mars, l’Olympiade de jeux vidéos.
À la ligne d’arrivée :
1-ALEQA
2-Droit
3-Arts
4-Admin
5-Sciences sociales
6-Médecine
7-FSSSC
Au classement final, l’ALEQA dépasse les Arts et Droit dépasse Médecine, alors que les autres participants restent au même rang. On se voit en mars pour l’épreuve décisive!
Admin, l’ALEQA, les Arts, Droit, FSSSC, Médecine et Sciences sociales n’en seront pas sortis sans se mouiller, c’est certain! Les équipes se sont ruées sur les coins perdus et moins connus du campus, comme l’observatoire…
…et dans endroits plus… euh… courus du campus comme le Centre étudiant où ils sont à la source de l’étrange Stonehenge qui attendait les employés et étudiants ce matin.
À travers les deux heures qui suivirent, elles ont couru l’équivalent de 4 km, et participé à toutes sortes d’épreuves d’endurance, d’observation, de patience, de connaissance, et même de français. Une des épreuves clé était intitulé « Canapés de la mort » et forçait les participants à manger un biscuit avec toutes sortes de condiments (du nutella au caviar) à moins que l’équipe ne réponde correctement une question de trivia. Alors que les filles de Nutrition (FSSSC) ont eu un coup de chance avec une question de gastronomie, et n’ont mangé qu’un biscuit sec, d’autres ont eu la pleine saveur d’une dizaine d’ingrédients. VIDÉO!
Admin, souvent perdue et en train de faire le parcours dans le mauvais sens a aussi reçu le « Cédez », gracieuseté de l’ALEQA, ce qui les a ralentis. FSSSC, pour sa part, allait tout de même frapper un mur dans la toute dernière épreuve – histoire crève-cœur – arrivant 2e, mais finissant dernière, incapable de compléter une épreuve scientifique (faire entrer un œuf dur intact dans une bouteille.
Les sourires dans cette photo révèlent qu’il était encore tôt dans l’exercice. Premiers à cette épreuve et donc la première équipe à franchir la ligne d’arrivée : L’Association libre des étudiants québécois et amis (ALEQA)!
Ceci représente leur deuxième victoire de la Coupe FÉÉCUM, les propulsant en 2e place au classement cumulatif, en position de dépasser Admin dans l’épreuve final du 23 mars, l’Olympiade de jeux vidéos.
À la ligne d’arrivée :
1-ALEQA
2-Droit
3-Arts
4-Admin
5-Sciences sociales
6-Médecine
7-FSSSC
Au classement final, l’ALEQA dépasse les Arts et Droit dépasse Médecine, alors que les autres participants restent au même rang. On se voit en mars pour l’épreuve décisive!
dimanche 20 février 2011
L’Apprenti FÉÉCUM remporté par...
C’est vendredi dernier que Rémi Gaudet était couronné le gagnant de l’APPRENTI.E FÉÉCUM suite à la dernière épreuve de la compétition – l’organisation d’une soirée au Café Osmose. Sa décision de s’associer à la cause bien connue et bien aimée de Right to Play a fait de sa soirée un grand succès, amassant plus de 1700$ pour un voyage humanitaire en Haïti, et sécurisant la participation pro bono de plusieurs musiciens pour le spectacle bénéfice.
Il défaisait ainsi l’autre finaliste, Catherine Stymiest, qui avait plutôt choisi d’organiser un « kegger » en compagnie de Maxime McGraw, mais les billets de 15$ ont sans doute fait peur à plusieurs qui n’ont pas compris que c’était l’équivalent d’une 4e, 5e, 6e etc. bière gratuite. Bien que ceux qui y étaient ont bien aimé leur soirée, Catherine n’a pu faire compétition à celle de Rémi par rapport au nombre de personnes présentes (le critère dans ce cas-ci) et son association aux Jeux de la Communication ne lui a rien valu, car même les étudiant.e.s impliqué.e.s dans cette activité n’ont pas fréquenté l’événement.
Rémi se voit donc accordé la bourse de 2000$ et très généreusement en donnera une partie à l’autre finaliste et aux deux demi-finalistes (une entente entre eux deux rondes passées). Il dit avoir eu beaucoup de plaisir et avoir conséquemment considéré se présenter à la FÉÉCUM, mais a choisi, en boute de ligne, de ne pas le faire.
En espérant te voir t’impliquer ailleurs, félicitations Rémi!
Il défaisait ainsi l’autre finaliste, Catherine Stymiest, qui avait plutôt choisi d’organiser un « kegger » en compagnie de Maxime McGraw, mais les billets de 15$ ont sans doute fait peur à plusieurs qui n’ont pas compris que c’était l’équivalent d’une 4e, 5e, 6e etc. bière gratuite. Bien que ceux qui y étaient ont bien aimé leur soirée, Catherine n’a pu faire compétition à celle de Rémi par rapport au nombre de personnes présentes (le critère dans ce cas-ci) et son association aux Jeux de la Communication ne lui a rien valu, car même les étudiant.e.s impliqué.e.s dans cette activité n’ont pas fréquenté l’événement.
Rémi se voit donc accordé la bourse de 2000$ et très généreusement en donnera une partie à l’autre finaliste et aux deux demi-finalistes (une entente entre eux deux rondes passées). Il dit avoir eu beaucoup de plaisir et avoir conséquemment considéré se présenter à la FÉÉCUM, mais a choisi, en boute de ligne, de ne pas le faire.
En espérant te voir t’impliquer ailleurs, félicitations Rémi!
mardi 15 février 2011
Revue de presse (du 7 février au 13 février 2011)
Les compressions budgétaires entraineront-elles la fin du gel des droits de scolarité?
Le journaliste Julien Abord-Babin publiait, dans l'édition du journal L'Étoile de cette semaine, un article traitant de la mise en place prochaine d'une entente pluriannuelle de financement des universités publiques du Nouveau-Brunswick. Même si la Ministre de l'éducation postsecondaire affirme que les étudiantes et les étudiants de la province auront l'avantage, pour une période de quatre ans, de savoir comment leur coutera une année universitaire, les associations étudiantes de la province craignent la fin du gel des droits de scolarité, mais, plus particulièrement, l'augmentation considérable des droits de scolarité que pourrait signifier la fin du gel. Le Président de la FÉÉCUM, Ghislain LeBlanc, exprime ouvertement sa crainte à l'égard de l'avenir. Pour lui, si le gouvernement du Nouveau-Brunswick refuse d'investir les 6 millions de dollars nécessaires au maintien du gel des droits de scolarité pour l'année prochaine, ce sera les étudiantes et les étudiants qui devront débourser de plus grandes sommes pour remplir le manque à combler des universités. Quand nous savons que les budgets de fonctionnement des universités du Nouveau-Brunswick augmentent en moyenne de 4% chaque année, les étudiantes et les étudiants ont raison de craindre pour leur avenir.
La Ministre de l'éducation postsecondaire répond aux questions de l'Acadie Nouvelle
La Ministre de l'éducation postsecondaire, Martine Coulombe, a pris le temps de répondre aux questions du journaliste Philippe Murat de l'Acadie Nouvelle au sujet de son nouveau rôle de députée à l'Assemblée législative et de son rôle de ministre au sein du gouvernement conservateur. En gros, elle dit ne pas être surprise de la somme de travail reliée à la responsabilité d'un ministère. Toutefois, elle se compte chanceuse de pouvoir travailler avec une équipe solide autant au sein du ministère de l'éducation postsecondaire qu'au sein de l'Assemblée législative. Elle termine en confiant au journaliste que : «À chaque jour j'apprends davantage. C'est très gratifiant pour moi. J'adore apprendre. Je suis une femme de défis. Alors, c'est plus de cette façon-là que je vois les choses».
L'augmentation du salaire minimum au Nouveau-Brunswick ; synonyme de perte d'emplois?
Selon un rapport publié par la Fédération canadienne de l'entreprise indépendante (la FCEI), une augmentation de 10% du salaire minimum au Nouveau-Brunswick pourrait signifier non seulement la compression de nombreuses heures de travail, mais, plus particulièrement, la perte de 7000 emplois dans la province. Dans le fond, l'organisme de lobbying soutient que l'augmentation du salaire minimum n'a pas pour effet d'éliminer la pauvreté contrairement à ce que prétendent plusieurs organismes de la société civile qui s'intéressent aux causes sociales (notamment le Front commun pour la justice sociale du Nouveau-Brunswick qui s'insurge ouvertement contre l'analyse que présente la FCEI). La FCEI invite plutôt le gouvernement néo-brunswickois à explorer d'autres solutions afin d'améliorer le sort des travailleuses et des travailleurs de la province qui ont un faible revenu. Rappelons que le salaire minimum, au Nouveau-Brunswick, doit passer de 9$ par heure à 10$ par heure à partir de l'année prochaine.
Le journaliste Julien Abord-Babin publiait, dans l'édition du journal L'Étoile de cette semaine, un article traitant de la mise en place prochaine d'une entente pluriannuelle de financement des universités publiques du Nouveau-Brunswick. Même si la Ministre de l'éducation postsecondaire affirme que les étudiantes et les étudiants de la province auront l'avantage, pour une période de quatre ans, de savoir comment leur coutera une année universitaire, les associations étudiantes de la province craignent la fin du gel des droits de scolarité, mais, plus particulièrement, l'augmentation considérable des droits de scolarité que pourrait signifier la fin du gel. Le Président de la FÉÉCUM, Ghislain LeBlanc, exprime ouvertement sa crainte à l'égard de l'avenir. Pour lui, si le gouvernement du Nouveau-Brunswick refuse d'investir les 6 millions de dollars nécessaires au maintien du gel des droits de scolarité pour l'année prochaine, ce sera les étudiantes et les étudiants qui devront débourser de plus grandes sommes pour remplir le manque à combler des universités. Quand nous savons que les budgets de fonctionnement des universités du Nouveau-Brunswick augmentent en moyenne de 4% chaque année, les étudiantes et les étudiants ont raison de craindre pour leur avenir.
La Ministre de l'éducation postsecondaire répond aux questions de l'Acadie Nouvelle
La Ministre de l'éducation postsecondaire, Martine Coulombe, a pris le temps de répondre aux questions du journaliste Philippe Murat de l'Acadie Nouvelle au sujet de son nouveau rôle de députée à l'Assemblée législative et de son rôle de ministre au sein du gouvernement conservateur. En gros, elle dit ne pas être surprise de la somme de travail reliée à la responsabilité d'un ministère. Toutefois, elle se compte chanceuse de pouvoir travailler avec une équipe solide autant au sein du ministère de l'éducation postsecondaire qu'au sein de l'Assemblée législative. Elle termine en confiant au journaliste que : «À chaque jour j'apprends davantage. C'est très gratifiant pour moi. J'adore apprendre. Je suis une femme de défis. Alors, c'est plus de cette façon-là que je vois les choses».
L'augmentation du salaire minimum au Nouveau-Brunswick ; synonyme de perte d'emplois?
Selon un rapport publié par la Fédération canadienne de l'entreprise indépendante (la FCEI), une augmentation de 10% du salaire minimum au Nouveau-Brunswick pourrait signifier non seulement la compression de nombreuses heures de travail, mais, plus particulièrement, la perte de 7000 emplois dans la province. Dans le fond, l'organisme de lobbying soutient que l'augmentation du salaire minimum n'a pas pour effet d'éliminer la pauvreté contrairement à ce que prétendent plusieurs organismes de la société civile qui s'intéressent aux causes sociales (notamment le Front commun pour la justice sociale du Nouveau-Brunswick qui s'insurge ouvertement contre l'analyse que présente la FCEI). La FCEI invite plutôt le gouvernement néo-brunswickois à explorer d'autres solutions afin d'améliorer le sort des travailleuses et des travailleurs de la province qui ont un faible revenu. Rappelons que le salaire minimum, au Nouveau-Brunswick, doit passer de 9$ par heure à 10$ par heure à partir de l'année prochaine.
lundi 14 février 2011
Les Apprenti.e.s FÉÉCUM – Dernière épreuve
Cette semaine se déroule l’épreuve finale de l’Apprenti.e FÉÉCUM - l’organisation d’une activité sociale au Café Osmose entre les heures de 19h et 23h mercredi et jeudi. Les Apprenti.e.s seront jugé.e.s sur le NOMBRE DE PERSONNES QUI Y PARTICIPENT.
Qu’est-ce que nos deux finalistes nous ont préparé?
RÉMI nous offre un spectacle-bénéfice pour Right to Play dès 19h30 ce mercredi 16 février! Les profits de la soirée iront à la construction et ameublement d'une école. Des jammers sont prévus pour l’ambiance musicale : Jean Michel Alain, Paul Parker, Jacques Boudreau, Pat Gosselin, le groupe à Samuel Gagnon! Des prix de présences seront distribués. Une exclusivité MOLSON. Entrée : 5$, billet en vente à de nombreux points de ventes sur le campus, notamment au près des membres de Right To Play Moncton, ainsi qu’à la porte.
CATHERINE, pour sa part, présente le premier CHEAP NIGHT du Café de 19h à 23h ce jeudi 17 février! En collaboration avec les Jeux de la Communication, elle nous invite à passer un bon temps au « Kegger Party - All You Can Drink » en compagnie du chansonnier Maxime McGraw. Une exclusivité MOLSON. Cout d’entrée : 15$ (à la porte). Pour cet événement, le Café offre aussi ses services habituels. Un bel endroit pour se préparer au Shooter Party qui suit au Rouge (organisé par le conseil de Psychologie).
Quelle activité vous interpelle le plus? Fréquenté l’une d’entre elles… ou les deux! Les Apprenti.e.s apprécient votre support. Le ou la finaliste qui attire le plus de participants se verra accordé la bourse de 2000$ ce vendredi 18 février vers 17h au Café Osmose!
Toute l'info sur les Apprenti.e.s FÉÉCUM
Qu’est-ce que nos deux finalistes nous ont préparé?
RÉMI nous offre un spectacle-bénéfice pour Right to Play dès 19h30 ce mercredi 16 février! Les profits de la soirée iront à la construction et ameublement d'une école. Des jammers sont prévus pour l’ambiance musicale : Jean Michel Alain, Paul Parker, Jacques Boudreau, Pat Gosselin, le groupe à Samuel Gagnon! Des prix de présences seront distribués. Une exclusivité MOLSON. Entrée : 5$, billet en vente à de nombreux points de ventes sur le campus, notamment au près des membres de Right To Play Moncton, ainsi qu’à la porte.
CATHERINE, pour sa part, présente le premier CHEAP NIGHT du Café de 19h à 23h ce jeudi 17 février! En collaboration avec les Jeux de la Communication, elle nous invite à passer un bon temps au « Kegger Party - All You Can Drink » en compagnie du chansonnier Maxime McGraw. Une exclusivité MOLSON. Cout d’entrée : 15$ (à la porte). Pour cet événement, le Café offre aussi ses services habituels. Un bel endroit pour se préparer au Shooter Party qui suit au Rouge (organisé par le conseil de Psychologie).
Quelle activité vous interpelle le plus? Fréquenté l’une d’entre elles… ou les deux! Les Apprenti.e.s apprécient votre support. Le ou la finaliste qui attire le plus de participants se verra accordé la bourse de 2000$ ce vendredi 18 février vers 17h au Café Osmose!
Toute l'info sur les Apprenti.e.s FÉÉCUM
lundi 7 février 2011
Deux Apprenti.e.s FÉÉCUM passent à la finale!
Dans l’épreuve se sensibilisation de la semaine dernière, nos quatre demi-finalistes devaient diffuser l’information suivante dans un édifice pigé au hasard :
« Le programme de prêt du N.-B. ne permet pas aux étudiants d’avoir un revenu de plus de 50$ par semaine sans effet sur le prêt de cet étudiant. La FÉÉCUM recommande au gouvernement d’augmenter le revenu alloué à 160$. »
Vendredi, un sondage a été fait dans ces édifices. Le gagnant ou la gagnante de l’exercice allait être celui ou celle dont l’édifice allait produire le plus de réponses correctes. Il fut immédiatement évident que Rémi allait bien faire au Pavillon Rémi-Rossignol, le message se retrouvant même sur le tableau de chaque classe. À 79% de bonnes réponses, Rémi passe effectivement en finale.
Mais contre qui? Les trois autres Apprenti.e.s se tiennent quand même assez proche l’un.e de l’autre. Alex, avec sa stratégie de faire connaître les mots clés mais pas nécessairement le contexte du message (à Jeanne-de-Valois), se voit éliminer tôt dans la cérémonie de ce soir avec 23%. Les stratégies de Catherine (Admin) et Stéphane (Arts) s’apparentent en terme de clarté de message, mais en bout de ligne, c’est Catherine qui remporte la place en finale avec 31% de bonnes réponses, s’opposant au 26% de Stéphane.
Prochaine épreuve : Les Apprenti.e.s organiseront une soirée au Café Osmose! Rémi programme et fait la promotion du mercredi 16 février (19h-23h) et Catherine du jeudi 17 février (19h-23h). Venez encourager votre préféré.e!
Le vendredi 18 février à 17h, le.la participant.e qui aura attiré le plus de personnes à son événement deviendra l'APPRENTI.E FÉÉCUM!
Surveillez vos courriels pour la nature exacte de ces deux activités (faut bien leur donner la chance de les organiser!) et pour plus d’information sur les Apprenti.e.s, visitez le feecum.ca!
« Le programme de prêt du N.-B. ne permet pas aux étudiants d’avoir un revenu de plus de 50$ par semaine sans effet sur le prêt de cet étudiant. La FÉÉCUM recommande au gouvernement d’augmenter le revenu alloué à 160$. »
Vendredi, un sondage a été fait dans ces édifices. Le gagnant ou la gagnante de l’exercice allait être celui ou celle dont l’édifice allait produire le plus de réponses correctes. Il fut immédiatement évident que Rémi allait bien faire au Pavillon Rémi-Rossignol, le message se retrouvant même sur le tableau de chaque classe. À 79% de bonnes réponses, Rémi passe effectivement en finale.
Mais contre qui? Les trois autres Apprenti.e.s se tiennent quand même assez proche l’un.e de l’autre. Alex, avec sa stratégie de faire connaître les mots clés mais pas nécessairement le contexte du message (à Jeanne-de-Valois), se voit éliminer tôt dans la cérémonie de ce soir avec 23%. Les stratégies de Catherine (Admin) et Stéphane (Arts) s’apparentent en terme de clarté de message, mais en bout de ligne, c’est Catherine qui remporte la place en finale avec 31% de bonnes réponses, s’opposant au 26% de Stéphane.
Prochaine épreuve : Les Apprenti.e.s organiseront une soirée au Café Osmose! Rémi programme et fait la promotion du mercredi 16 février (19h-23h) et Catherine du jeudi 17 février (19h-23h). Venez encourager votre préféré.e!
Le vendredi 18 février à 17h, le.la participant.e qui aura attiré le plus de personnes à son événement deviendra l'APPRENTI.E FÉÉCUM!
Surveillez vos courriels pour la nature exacte de ces deux activités (faut bien leur donner la chance de les organiser!) et pour plus d’information sur les Apprenti.e.s, visitez le feecum.ca!
Revue de presse (du 31 janvier au 6 février 2011)
Un front commun contre les compressions budgétaires dans le milieu de l'éducation francophone
Les compressions anticipées par le gouvernement provincial dans le milieu de l'éducation ont continué de monopoliser l'attention des médias provinciaux cette semaine. Le journaliste Anthony Doiron du journal Le Front a publié un article mercredi qui traitait de la Classe extérieure qu'avait organisée la FÉÉCUM le 26 janvier dernier pour démontrer jusqu'à quel point les étudiantes et les étudiants s'inquiètent des compressions budgétaires anticipées par le gouvernement de David Alward, tandis que les journalistes de Radio-Canada/Acadie se sont intéressés au milieu de l'éducation dans son ensemble (c'est-à-dire du primaire jusqu'au postsecondaire). La décision du Secteur éducation de la Société de l'Acadie du Nouveau-Brunswick (dont est membre la FÉÉCUM) de s'opposer à l'ensemble des compressions budgétaires demandées par le Ministre des finances, Blaine Higgs, dans le milieu de l'éducation s'est retrouvée dans la couverture journalistique du 4 février (à la suite d'une rencontre du Secteur éducation) ainsi que du 6 février (à la suite d'une rencontre des intervenants du milieu de l'éducation avec le Ministre de l'éducation Jody Carr). En réponse aux compressions anticipées, Jean-Marie Nadeau, le Président de la SANB, est catégorique : «Plus que jamais, on est tous d'accord : zéro coupure en éducation [...] avant de couper en éducation, on vous demande de trouver de l'argent ailleurs, c'est tout».
L'association étudiante de la St. Thomas University se préoccupe des droits de scolarité croissants
Les étudiantes et les étudiants de la St. Thomas University à Fredericton ont décidé d'utiliser un moyen de pression original pour tenter de faire comprendre à la Ministre de l'éducation postsecondaire, Martine Coulombe, l'importance de maintenir un financement adéquat pour les universités publiques du Nouveau-Brunswick. En fait, l'association étudiante a décidé d'envoyer une centaine de messages par télécopieur ; un moyen de communication qu'elle considère désuet, mais qui rappelle les années 90 quand les droits de scolarités au Nouveau-Brunswick n'étaient que de 1 900$ par année en moyenne.
Les compressions anticipées par le gouvernement provincial dans le milieu de l'éducation ont continué de monopoliser l'attention des médias provinciaux cette semaine. Le journaliste Anthony Doiron du journal Le Front a publié un article mercredi qui traitait de la Classe extérieure qu'avait organisée la FÉÉCUM le 26 janvier dernier pour démontrer jusqu'à quel point les étudiantes et les étudiants s'inquiètent des compressions budgétaires anticipées par le gouvernement de David Alward, tandis que les journalistes de Radio-Canada/Acadie se sont intéressés au milieu de l'éducation dans son ensemble (c'est-à-dire du primaire jusqu'au postsecondaire). La décision du Secteur éducation de la Société de l'Acadie du Nouveau-Brunswick (dont est membre la FÉÉCUM) de s'opposer à l'ensemble des compressions budgétaires demandées par le Ministre des finances, Blaine Higgs, dans le milieu de l'éducation s'est retrouvée dans la couverture journalistique du 4 février (à la suite d'une rencontre du Secteur éducation) ainsi que du 6 février (à la suite d'une rencontre des intervenants du milieu de l'éducation avec le Ministre de l'éducation Jody Carr). En réponse aux compressions anticipées, Jean-Marie Nadeau, le Président de la SANB, est catégorique : «Plus que jamais, on est tous d'accord : zéro coupure en éducation [...] avant de couper en éducation, on vous demande de trouver de l'argent ailleurs, c'est tout».
L'association étudiante de la St. Thomas University se préoccupe des droits de scolarité croissants
Les étudiantes et les étudiants de la St. Thomas University à Fredericton ont décidé d'utiliser un moyen de pression original pour tenter de faire comprendre à la Ministre de l'éducation postsecondaire, Martine Coulombe, l'importance de maintenir un financement adéquat pour les universités publiques du Nouveau-Brunswick. En fait, l'association étudiante a décidé d'envoyer une centaine de messages par télécopieur ; un moyen de communication qu'elle considère désuet, mais qui rappelle les années 90 quand les droits de scolarités au Nouveau-Brunswick n'étaient que de 1 900$ par année en moyenne.
mercredi 2 février 2011
Revue de presse (du 24 au 29 janvier 2011)
Les compressions anticipées par le gouvernement provincial inquiètent
Cette semaine, les compressions budgétaires anticipées par le gouvernement provincial ont été à l'honneur dans les médias. Les districts scolaires ne sont plus les seuls à s'inquiéter ouvertement de ce que l'avenir leur réserve ; la communauté universitaire a démontré qu'elle l'était aussi le 26 janvier dernier. Pour manifester leur inquiétude, une quarantaine d'étudiant(e)s de l'Université de Moncton ont assisté à une Classe extérieure donnée par le professeur Roger Ouellette du Département de science politique dans le champ de soccer près de l'Aréna J.-Louis-Lévesque. L'évènement a obtenu une couverture imposante dans les médias, notamment à Radio-Canada/Acadie (qui a fait de l'évènement le sujet d'un reportage au Téléjournal Acadie), dans les radios communautaires, mais aussi dans l'Acadie Nouvelle.
Le journaliste du journal Le Front, Marc-André LeBlanc a réussi à s'entretenir avec la Ministre de l'éducation postsecondaire du Nouveau-Brunswick, Martine Coulombe. En gros, la ministre n'a pas fait de nouvelles promesses tout comme elle n'a pas été très claire quand venait le temps de parler des décisions qu'elle risque de devoir prendre dans un avenir rapproché. Elle précise, cependant, que sa résolution pour la nouvelle année est de veiller à «[...] augmenter le nombre de diplômés en province, [...] augmenter l'accessibilité aux universités et aux collèges par le biais d'intervention précoce à l'adolescence pour nous assurer que nos jeunes obtiennent une éducation universitaire et collégiale adéquate [ainsi qu'] ouvrir [plus grande] la porte d'accès aux étudiants internationaux [...]».
Le gouvernement du Nouveau-Brunswick a annoncé, vendredi, qu'il cherchera, au cours de la prochaine année, à établir un plan de financement pour les quatre universités publiques de la province. La Ministre de l'éducation postsecondaire croit que la mise en place d'un plan étalé sur une période de quatre ans aidera les étudiant(e)s de la province à faire une meilleure planification financière puisque les droits de scolarité devraient être fixés pour une période de quatre ans. Même si l'annonce est positive dans son ensemble, il est important de préciser que les sommes accordées aux universités publiques pour cette année financière seront seulement connues lors du dépôt, à l'Assemblée législative, du budget provincial (prévu pour le mois de mars).
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