Plus de 1200 votes enregistrés à ce campus seul
Pour la première fois cette année, Élections Nouveau-Brunswick plaçait des bureaux de scrutin sur quatre campus postsecondaires à travers la province. Pour la Fédération des étudiants et étudiantes du Centre universitaire de Moncton (FÉÉCUM), il s’agissait d’un acquis important suite à une longue lutte pour obtenir de tels bureaux afin d’encourager l’intégration des jeunes dans le processus électoral. La Fédération étudiante de l’U de M se dit très satisfaite des résultats.
Pendant les 32 jours de la campagne électorale, les étudiant.e.s de l’Université de Moncton ont pu voter dans n’importe quelle circonscription à partir du bureau satellite situé au Centre étudiant, un coin achalandé du campus. 1265 personnes y ont voté, dont 619 le jour même des élections, 95% pour une circonscription autre que Moncton-Est. Selon Ghislain LeBlanc, président de la FÉÉCUM, ces chiffres justifient les efforts mis dans ce projet pilote : « Nous avons démontré que les jeunes veulent voter. Ce que nous avons fait, c’est éliminer les barrières à l’accessibilité. En rendant le bureau pratique, proche et approchable, on a assuré une forte participation chez un groupe traditionnellement sous-représenté aux urnes. »
Pour la Fédération étudiante, le vrai succès de l’initiative se retrouve dans le nombre de nouveaux électeurs inscrits à la liste électorale, soit environ 1000. « Les études démontrent que les jeunes qui ne participent pas à leur première élection, ont forte tendance à ne pas participer à leurs prochaines, » explique M. LeBlanc. « Le millier de nouveaux électeurs issue de la population étudiante de l’U de M représente pour nous un indicateur que la vois des jeunes doit être écoutée, qu’on participe et qu’on est intéressé par la gouvernance de la province, qu’on est une force politique non négligeable. »
La FÉÉCUM tient à remercier Élections Nouveau-Brunswick de leurs efforts novateurs et de leur ouverture d’esprit pendant le processus, et espère qu’Élections Canada - observateurs du projet – emboiteront le pas aux prochaines élections fédérales.
mardi 28 septembre 2010
La FÉÉCUM travaillera avec le nouveau gouvernement pour améliorer le sort des étudiants de la province
La Fédération étudiante revendique pour plus que ce qu’il y avait dans la campagne électorale du PC
Suite à la victoire du parti progressiste-conservateur hier soir, la Fédération des étudiants et étudiantes du Centre universitaire de Moncton (FÉÉCUM) tentera de travailler avec les nouveaux élus pour qu’ils et elles adressent les revendications du mouvement étudiant de la province, et clarifient leurs promesses en matière d’éducation postsecondaire.
Ghislain LeBlanc, président de la FÉÉCUM, a particulièrement hâte de savoir si l’entente pluriannuelle promise pour aider les institutions postsecondaires à stabiliser leurs finances fera en sorte que ce financement augmentera, restera stable ou diminuera. « À ce stade-ci, la promesse reste vague et inquiétante, » explique-t-il. « Ce que les étudiants préfère est évident. »
La FÉÉCUM espère pouvoir convaincre le nouveau gouvernement des bienfaits de ses autres recommandations (pdf, webclip), soit une accessibilité accrue au programme de prestation pour l’achèvement des études dans le délai prévu, la réduction du taux d’intérêt sur les prêts étudiants, et l’élimination de certaines pénalités sur le prêt étudiant pour les étudiants qui travaillent pendant leurs études. « Nous attendons maintenant que le cabinet soit nommé pour nous faire alliés des nouveaux décideurs, » confie le président de la Fédération étudiante.
D’ici là, la FÉÉCUM continuera de faire valoir les enjeux relatifs à l’éducation postsecondaire, ce qui pour le président de la FÉÉCUM, se veut aussi les enjeux relatifs aux défis économiques à long terme auxquels font face le Nouveau-Brunswick.
Suite à la victoire du parti progressiste-conservateur hier soir, la Fédération des étudiants et étudiantes du Centre universitaire de Moncton (FÉÉCUM) tentera de travailler avec les nouveaux élus pour qu’ils et elles adressent les revendications du mouvement étudiant de la province, et clarifient leurs promesses en matière d’éducation postsecondaire.
Ghislain LeBlanc, président de la FÉÉCUM, a particulièrement hâte de savoir si l’entente pluriannuelle promise pour aider les institutions postsecondaires à stabiliser leurs finances fera en sorte que ce financement augmentera, restera stable ou diminuera. « À ce stade-ci, la promesse reste vague et inquiétante, » explique-t-il. « Ce que les étudiants préfère est évident. »
La FÉÉCUM espère pouvoir convaincre le nouveau gouvernement des bienfaits de ses autres recommandations (pdf, webclip), soit une accessibilité accrue au programme de prestation pour l’achèvement des études dans le délai prévu, la réduction du taux d’intérêt sur les prêts étudiants, et l’élimination de certaines pénalités sur le prêt étudiant pour les étudiants qui travaillent pendant leurs études. « Nous attendons maintenant que le cabinet soit nommé pour nous faire alliés des nouveaux décideurs, » confie le président de la Fédération étudiante.
D’ici là, la FÉÉCUM continuera de faire valoir les enjeux relatifs à l’éducation postsecondaire, ce qui pour le président de la FÉÉCUM, se veut aussi les enjeux relatifs aux défis économiques à long terme auxquels font face le Nouveau-Brunswick.
vendredi 24 septembre 2010
Vidéos : Débat électoral du 23 septembre 2010
Voici un découpage du débat électoral organisé par la FÉÉCUM et tenu le jeudi 23 septembre. Suite aux discours d'ouverture, vous trouverez les 6 questions posées et chacune de leurs réponses. L'ordre des réponses lors du débat était aléatoire.
Session de question (entre les candidat.e.s)
Discours de fermeture
Session de question (entre les candidat.e.s)
Discours de fermeture
mercredi 22 septembre 2010
Qu'est-ce que les Loisirs socioculturels nous offrent?
Dans la même veine de questionnement que le Front de cette semaine, un regard au babillard télévisuel des Loisirs...Hm.
Blagues à part, si vous avez des opinions par rapport aux spectacles offerts par les LSC de l'Université, laissez un commentaire!
Blagues à part, si vous avez des opinions par rapport aux spectacles offerts par les LSC de l'Université, laissez un commentaire!
Webclip FÉÉCUM : Les 6 recommandations de la FÉÉCUM
Nouveau webclip! Quels sont les revandications de la FÉÉCUM auprès du gouvernement que nous élirons bientôt? Des étudiant.e.s nous laissent savoir leurs problèmes avec le statu quo et la FÉÉCUM donne ses solutions :
En parlant de médias, vous Ghislain a aussi parlé longuement de ce que nous demandons au Time & Transcript. C'est évidemment en anglais, mais ça vaut la peine. Cliquez ici pour vous y rendre.
Et pour lire plus longuement sur les six recommandations de la FÉÉCUM, tout est ici.
En parlant de médias, vous Ghislain a aussi parlé longuement de ce que nous demandons au Time & Transcript. C'est évidemment en anglais, mais ça vaut la peine. Cliquez ici pour vous y rendre.
Et pour lire plus longuement sur les six recommandations de la FÉÉCUM, tout est ici.
mardi 21 septembre 2010
La FÉÉCUM lance un bulletin évaluant les plateformes électorales
Peu de partis ont entendu la voix étudiante
À moins d’une semaine des élections provinciales, la Fédération des étudiants et étudiantes du Centre universitaire de Moncton (FÉÉCUM) lance un bulletin qui donne une note aux plateformes de chaque parti, surtout en terme d’éducation postsecondaire, mais aussi quant aux autres enjeux de la campagne électorale.
Selon Ghislain LeBlanc, président de la FÉÉCUM, l’accent sur l’éducation postsecondaire du bulletin n’est pas que le résultat des expertises maniées par le mouvement étudiant. Il y voit une véritable pertinence en termes de l’avenir économique de la province : « L’éducation est la solution aux nombreux défis économique à long terme du Nouveau-Brunswick, que l’on parle de la diversification de nos marchés ou de l’exode de nos jeunes. »
En gros, le bulletin accuse le parti Progressiste-Conservateur d’être trop vague et les Libéraux de continuer à investir dans des programmes inefficaces. En fait, aucun parti ne propose établir un moyen d’évaluer les programmes en place pour juger de leur efficacité. Bien que ces deux partis promettent une entente pluriannuelle pour aider les institutions postsecondaires à stabiliser leurs finances, ils ne révèlent pas si le financement des institutions augmentera, restera stable ou même diminuera. Pour le président de la Fédération étudiante, c’est inquiétant : « Le silence sur cette question est insupportable. »
La FÉÉCUM appuie cependant la mesure promise par les Néo-Démocrates d’éliminer en grande partie les pénalités encourues par les étudiants qui travaillent à leur prêt étudiant. « Sous un plan NPD, les étudiants pourraient travailler deux journées de 7½ heures par semaine sans que ça soit enlevé de leur prêt, » explique M. LeBlanc. « Vu que le montant maximal du prêt n’est pas assez pour vivre pendant une pleine année universitaire, les étudiants ont besoin de travailler pour subvenir à leurs besoins. »
Bulletin d'évaluation des plateformes électorales
À moins d’une semaine des élections provinciales, la Fédération des étudiants et étudiantes du Centre universitaire de Moncton (FÉÉCUM) lance un bulletin qui donne une note aux plateformes de chaque parti, surtout en terme d’éducation postsecondaire, mais aussi quant aux autres enjeux de la campagne électorale.
Selon Ghislain LeBlanc, président de la FÉÉCUM, l’accent sur l’éducation postsecondaire du bulletin n’est pas que le résultat des expertises maniées par le mouvement étudiant. Il y voit une véritable pertinence en termes de l’avenir économique de la province : « L’éducation est la solution aux nombreux défis économique à long terme du Nouveau-Brunswick, que l’on parle de la diversification de nos marchés ou de l’exode de nos jeunes. »
En gros, le bulletin accuse le parti Progressiste-Conservateur d’être trop vague et les Libéraux de continuer à investir dans des programmes inefficaces. En fait, aucun parti ne propose établir un moyen d’évaluer les programmes en place pour juger de leur efficacité. Bien que ces deux partis promettent une entente pluriannuelle pour aider les institutions postsecondaires à stabiliser leurs finances, ils ne révèlent pas si le financement des institutions augmentera, restera stable ou même diminuera. Pour le président de la Fédération étudiante, c’est inquiétant : « Le silence sur cette question est insupportable. »
La FÉÉCUM appuie cependant la mesure promise par les Néo-Démocrates d’éliminer en grande partie les pénalités encourues par les étudiants qui travaillent à leur prêt étudiant. « Sous un plan NPD, les étudiants pourraient travailler deux journées de 7½ heures par semaine sans que ça soit enlevé de leur prêt, » explique M. LeBlanc. « Vu que le montant maximal du prêt n’est pas assez pour vivre pendant une pleine année universitaire, les étudiants ont besoin de travailler pour subvenir à leurs besoins. »
Bulletin d'évaluation des plateformes électorales
vendredi 17 septembre 2010
Webclip FÉÉCUM : Bureau de scrutin sur le campus
La FÉÉCUM est heureuse de pouvoir lancer une série de webclips plus ou moins hebdomadaire que vous pourrez trouver ici et sur notre site Internet à mesure que les vidéos sont réalisés. Ces clips seront de toute sorte - reportage, édito, annonces, humour - et sur tous les aspects de la vie étudiante. En espérant que ça saura vous intéresser.
Le premier vous invite au bureau de scrutin sur le campus. Qu'est-ce que vous pouvez y faire? Pourquoi, et comment ça marche?
Pour plus d'info, visitez la section Élections provinciales du site Internet de la FÉÉCUM.
Le bureau sera exceptionnellement ouvert ce samedi 18 septembre (vote d'anticipation prévu) de 10h à 20h, et le jour des élections de 8h à 20h.
Voici aussi quelques questions que nous avons entendues plus fréquemment que d'autres à ce sujet, et leurs réponses:
1) Je n’ai pas encore 18 ans. Est-ce que je peux voter?
Si tu as 18 ans ou que tu auras 18 ans le jour de l’élection (c’est-à-dire le 27 septembre prochain), tu as le droit de voter. Pour plus d’information ou pour t’enregistrer en tant qu’électeur, tu n’as qu’à te présenter au bureau satellite du directeur de scrutin situé au Centre étudiant (près du Café l’Osmose) avec des pièces d’identité appropriées (c’est-à-dire une ou des pièces d’identité permettant de confirmer ton nom, ta date de naissance ainsi que ton adresse actuelle).
Selon l’article 43 de la loi électorale du Nouveau-Brunswick.
2) Je ne suis pas natif du Nouveau-Brunswick, mais je suis ici depuis deux mois. Est-ce que je peux voter?
Si tu es citoyen du Canada et que tu résides au Nouveau-Brunswick depuis au moins 40 jours avant le jour de l’élection (c’est-à-dire avant le 27 septembre prochain), tu as le droit de voter. Pour plus d’information ou pour t’enregistrer en tant qu’électeur, tu n’as qu’à te présenter au bureau satellite du directeur de scrutin situé au Centre étudiant (près du Café l’Osmose) avec des pièces d’identité appropriées (c’est-à-dire une ou des pièces d’identité permettant de confirmer ton nom, ta date de naissance ainsi que ton adresse actuelle).
Selon l’article 43 de la loi électorale du Nouveau-Brunswick.
3) Je suis dans la circonscription de Moncton-Est le temps de mes études. Est-ce que je peux voter dans la circonscription de ma résidence principale?
Si tu résides temporairement dans une autre circonscription, tu as deux choix. Tu peux soit voter dans la circonscription dans laquelle tu résides temporairement (c’est-à-dire la circonscription dans laquelle tu résides le temps de ses études), ou bien tu peux voter dans ta circonscription d’origine. C’est à toi de choisir! Pour plus d’information ou pour t’enregistrer en tant qu’électeur, tu n’as qu’à te présenter au bureau satellite du directeur de scrutin situé au Centre étudiant (près du Café l’Osmose) avec des pièces d’identité appropriées (c’est-à-dire une ou des pièces d’identité permettant de confirmer ton nom, ta date de naissance ainsi que ton adresse actuelle).
Selon l’article 52 (alinéa 2) de la loi électorale du Nouveau-Brunswick.
4) Le jour des élections est le 27 septembre, mais j’ai des cours toute la journée. Est-ce que je peux voter maintenant?
Tu peux voter n’importe quand d’ici le 27 septembre prochain au bureau satellite du directeur de scrutin situé au Centre étudiant (près du Café l’Osmose). Il suffit de s’y présenter avec des pièces d’identité appropriées (c’est-à-dire une ou des pièces d’identité permettant de confirmer ton nom, ta date de naissance ainsi que ton adresse actuelle). Le bureau est ouvert du lundi au vendredi entre 8 heures et 19 heures et les employés se feront un plaisir de t’aider.
Le premier vous invite au bureau de scrutin sur le campus. Qu'est-ce que vous pouvez y faire? Pourquoi, et comment ça marche?
Pour plus d'info, visitez la section Élections provinciales du site Internet de la FÉÉCUM.
Le bureau sera exceptionnellement ouvert ce samedi 18 septembre (vote d'anticipation prévu) de 10h à 20h, et le jour des élections de 8h à 20h.
Voici aussi quelques questions que nous avons entendues plus fréquemment que d'autres à ce sujet, et leurs réponses:
1) Je n’ai pas encore 18 ans. Est-ce que je peux voter?
Si tu as 18 ans ou que tu auras 18 ans le jour de l’élection (c’est-à-dire le 27 septembre prochain), tu as le droit de voter. Pour plus d’information ou pour t’enregistrer en tant qu’électeur, tu n’as qu’à te présenter au bureau satellite du directeur de scrutin situé au Centre étudiant (près du Café l’Osmose) avec des pièces d’identité appropriées (c’est-à-dire une ou des pièces d’identité permettant de confirmer ton nom, ta date de naissance ainsi que ton adresse actuelle).
Selon l’article 43 de la loi électorale du Nouveau-Brunswick.
2) Je ne suis pas natif du Nouveau-Brunswick, mais je suis ici depuis deux mois. Est-ce que je peux voter?
Si tu es citoyen du Canada et que tu résides au Nouveau-Brunswick depuis au moins 40 jours avant le jour de l’élection (c’est-à-dire avant le 27 septembre prochain), tu as le droit de voter. Pour plus d’information ou pour t’enregistrer en tant qu’électeur, tu n’as qu’à te présenter au bureau satellite du directeur de scrutin situé au Centre étudiant (près du Café l’Osmose) avec des pièces d’identité appropriées (c’est-à-dire une ou des pièces d’identité permettant de confirmer ton nom, ta date de naissance ainsi que ton adresse actuelle).
Selon l’article 43 de la loi électorale du Nouveau-Brunswick.
3) Je suis dans la circonscription de Moncton-Est le temps de mes études. Est-ce que je peux voter dans la circonscription de ma résidence principale?
Si tu résides temporairement dans une autre circonscription, tu as deux choix. Tu peux soit voter dans la circonscription dans laquelle tu résides temporairement (c’est-à-dire la circonscription dans laquelle tu résides le temps de ses études), ou bien tu peux voter dans ta circonscription d’origine. C’est à toi de choisir! Pour plus d’information ou pour t’enregistrer en tant qu’électeur, tu n’as qu’à te présenter au bureau satellite du directeur de scrutin situé au Centre étudiant (près du Café l’Osmose) avec des pièces d’identité appropriées (c’est-à-dire une ou des pièces d’identité permettant de confirmer ton nom, ta date de naissance ainsi que ton adresse actuelle).
Selon l’article 52 (alinéa 2) de la loi électorale du Nouveau-Brunswick.
4) Le jour des élections est le 27 septembre, mais j’ai des cours toute la journée. Est-ce que je peux voter maintenant?
Tu peux voter n’importe quand d’ici le 27 septembre prochain au bureau satellite du directeur de scrutin situé au Centre étudiant (près du Café l’Osmose). Il suffit de s’y présenter avec des pièces d’identité appropriées (c’est-à-dire une ou des pièces d’identité permettant de confirmer ton nom, ta date de naissance ainsi que ton adresse actuelle). Le bureau est ouvert du lundi au vendredi entre 8 heures et 19 heures et les employés se feront un plaisir de t’aider.
vendredi 10 septembre 2010
Daniel Desnoyers pour la Rentrée!
La plateforme des Progressistes-Conservateurs manque de substance, selon la FÉÉCUM
En matière d’éducation postsecondaire, il manque bien des éléments
Le parti Progressiste-Conservateur lançait hier sa plateforme électorale concernant l’éducation postsecondaire et la Fédération des étudiants et étudiantes du Centre universitaire de Moncton (FÉÉCUM), bien qu’il y voit des éléments intéressants, critique ses nombreuses faiblesses.
La Fédération étudiante est bien sûr d’accord avec l’investissement proposé de 3,5 autres millions $ dans les bourses destinées aux étudiants à revenu faible ou moyen. Les Progressistes-Conservateurs s’attaquent également au financement des institutions postsecondaire, ce que la FÉÉCUM cherche aussi, mas trouve l’annonce plutôt floue quant aux droits de scolarité. « Les collèges et universités ont besoin d’une entente pluriannuelle de la part du gouvernement pour faciliter leur planification à plus long terme, » explique Ghislain LeBlanc, président de la FÉÉCUM, « mais quelles garanties auront les étudiants que le coût de leur éducation ne montra pas démesurément? »
Le président de la FÉÉCUM prend aussi exception au ton de l’annonce progressiste-conservatrice : « On parle beaucoup de nous consulter, mais ces consultations ont déjà eu lieu! Par exemple, nous avons déjà discuté des problèmes associées avec le programme prestation pour l’achèvement des études dans le délai prévu avec M. Alward. On nous a consultés, mais est-ce qu’on nous a écoutés? » La Fédération étudiante est de plus déçue de ne voir aucune solution novatrice dans l’annonce, que ce soit une réduction du taux d’intérêt sur les prêts étudiants, ou une mise à jour des chiffres utilisés pour calculer ces prêts – réduisant l’impact des salaires des étudiants, par exemple – toutes des revendications du mouvement étudiant communiquées aux partis bien avant la campagne électorale.
Pour l’instant, la FÉÉCUM reste plus ou moins froide aux demi-mesures prônées par les partis jusqu’à maintenant et espèrerait voir des annonces moins vagues et plus substantives s’ajouter.
L'Annonce des Progressistes-Conservateurs
Le parti Progressiste-Conservateur lançait hier sa plateforme électorale concernant l’éducation postsecondaire et la Fédération des étudiants et étudiantes du Centre universitaire de Moncton (FÉÉCUM), bien qu’il y voit des éléments intéressants, critique ses nombreuses faiblesses.
La Fédération étudiante est bien sûr d’accord avec l’investissement proposé de 3,5 autres millions $ dans les bourses destinées aux étudiants à revenu faible ou moyen. Les Progressistes-Conservateurs s’attaquent également au financement des institutions postsecondaire, ce que la FÉÉCUM cherche aussi, mas trouve l’annonce plutôt floue quant aux droits de scolarité. « Les collèges et universités ont besoin d’une entente pluriannuelle de la part du gouvernement pour faciliter leur planification à plus long terme, » explique Ghislain LeBlanc, président de la FÉÉCUM, « mais quelles garanties auront les étudiants que le coût de leur éducation ne montra pas démesurément? »
Le président de la FÉÉCUM prend aussi exception au ton de l’annonce progressiste-conservatrice : « On parle beaucoup de nous consulter, mais ces consultations ont déjà eu lieu! Par exemple, nous avons déjà discuté des problèmes associées avec le programme prestation pour l’achèvement des études dans le délai prévu avec M. Alward. On nous a consultés, mais est-ce qu’on nous a écoutés? » La Fédération étudiante est de plus déçue de ne voir aucune solution novatrice dans l’annonce, que ce soit une réduction du taux d’intérêt sur les prêts étudiants, ou une mise à jour des chiffres utilisés pour calculer ces prêts – réduisant l’impact des salaires des étudiants, par exemple – toutes des revendications du mouvement étudiant communiquées aux partis bien avant la campagne électorale.
Pour l’instant, la FÉÉCUM reste plus ou moins froide aux demi-mesures prônées par les partis jusqu’à maintenant et espèrerait voir des annonces moins vagues et plus substantives s’ajouter.
L'Annonce des Progressistes-Conservateurs
mercredi 8 septembre 2010
La FÉÉCUM n'est pas satisfaite de la plateforme électorale des Libéraux
En matière d’éducation postsecondaire, bien des améliorations restent à faire
Le premier ministre du Nouveau-Brunswick, Shawn Graham, annonçait aujourd’hui la plateforme électorale des Libéraux en matière d’éducation postsecondaire, une plateforme qui laisse encore place à l’amélioration. La Fédération des étudiants et étudiantes du Centre universitaire de Moncton (FÉÉCUM), pour sa part, questionne les initiatives proposées par M. Graham.
La prestation pour l’achèvement des études dans le délai prévu passe d’un plafond de 26 000$ à 24 000$, mais ne change pas ses critères d’admissibilité. « Les étudiants ciblés par le programme, c’est-à-dire les étudiants qui ont de plus grands besoins financiers que la moyenne, sont les étudiants qui, en raison des modalités actuelles, bénéficient en moins grand nombre du programme, » explique Ghislain LeBlanc, président de la FÉÉCUM. « Le programme est un pas dans la bonne direction, mais il reste un défi majeur, et c’est son accessibilité. » La FÉÉCUM n’est pas non plus enjouée du crédit d’impôt qui monte de 20 000$ à 25 000$, vu que la Fédération étudiante a toujours questionné son efficacité.
Bien que la Fédération applaudie les efforts du parti Libéral pour entreprendre une entente pluriannuelle sur trois ans avec les institutions postsecondaires, qui devrait permettre à ces dernières de faire une meilleure planification, plusieurs détails restent encore inconnus. « Est-ce que cette entente comprendra un nouveau gel des droits de scolarité? » demande le président de la Fédération étudiante. « Ou est-ce que le silence là-dessus implique qu’il n’y en aura pas? Bien des éléments de cette entente restent à clarifier. »
Peu importe le résultat du 27 septembre prochain, la FÉÉCUM continuera à militer pour l’amélioration de la situation des étudiants de la province. « Chose certaine, le système est loin d’être parfait, » souligne M. LeBlanc.
L'annonce des Libéraux
Le premier ministre du Nouveau-Brunswick, Shawn Graham, annonçait aujourd’hui la plateforme électorale des Libéraux en matière d’éducation postsecondaire, une plateforme qui laisse encore place à l’amélioration. La Fédération des étudiants et étudiantes du Centre universitaire de Moncton (FÉÉCUM), pour sa part, questionne les initiatives proposées par M. Graham.
La prestation pour l’achèvement des études dans le délai prévu passe d’un plafond de 26 000$ à 24 000$, mais ne change pas ses critères d’admissibilité. « Les étudiants ciblés par le programme, c’est-à-dire les étudiants qui ont de plus grands besoins financiers que la moyenne, sont les étudiants qui, en raison des modalités actuelles, bénéficient en moins grand nombre du programme, » explique Ghislain LeBlanc, président de la FÉÉCUM. « Le programme est un pas dans la bonne direction, mais il reste un défi majeur, et c’est son accessibilité. » La FÉÉCUM n’est pas non plus enjouée du crédit d’impôt qui monte de 20 000$ à 25 000$, vu que la Fédération étudiante a toujours questionné son efficacité.
Bien que la Fédération applaudie les efforts du parti Libéral pour entreprendre une entente pluriannuelle sur trois ans avec les institutions postsecondaires, qui devrait permettre à ces dernières de faire une meilleure planification, plusieurs détails restent encore inconnus. « Est-ce que cette entente comprendra un nouveau gel des droits de scolarité? » demande le président de la Fédération étudiante. « Ou est-ce que le silence là-dessus implique qu’il n’y en aura pas? Bien des éléments de cette entente restent à clarifier. »
Peu importe le résultat du 27 septembre prochain, la FÉÉCUM continuera à militer pour l’amélioration de la situation des étudiants de la province. « Chose certaine, le système est loin d’être parfait, » souligne M. LeBlanc.
L'annonce des Libéraux
La FÉÉCUM appuie officiellement le Front commun
Le bilinguisme doit être privilégié à Moncton, selon les étudiants
Hier soir se tenait une assemblée municipale à l’hôtel de ville de Moncton lors de laquelle deux conseillères essayaient de clore le débat sur l’affichage bilingue. La Fédération des étudiants et étudiantes du Centre universitaire de Moncton (FÉÉCUM) se voit soulagée que la proposition n’a pu être adoptée, mais tout de même déçue que celle-ci n’a pas non plus été rejetée. En tant que membre du Front commun pour l'affichage bilingue au Nouveau-Brunswick, celle-ci encourage fortement le conseil municipal de la ville de Moncton a non seulement continuer le débat sur l’affichage bilingue, mais aussi de voter en faveur d’un arrêté municipal qui obligerait les commerçants de la ville à s’assurer que tout nouvel affichage se fasse dans les deux langues officielles.
« Les étudiants de l’Université de Moncton représentent une force économique de quelques 60 millions $, » explique Ghislain LeBlanc, président de la FÉÉCUM. « Les commerces de Moncton devraient y voir une opportunité d’accroître leur clientèle tout en favorisant un meilleur accueil pour les nouveaux arrivés du nord de la province, du Québec ou de l’étranger. » Le président de la Fédération étudiante rappelle que bon nombre d’étudiants de l’UdeM finissent par s’établir dans la région, certains unilingues francophones, d’autres tout simplement plus à l’aise dans leur langue maternelle.
Selon lui, un tel arrêté municipal serait bon pour les jeunes de la région aussi : « Même si les jeunes du Sud-Est ont été élevé avec les deux langues, la FÉÉCUM croit que si le paysage linguistique de la région ne valorise pas le français autant que l’anglais, ils auront tendance à perdre leur langue maternelle, à la percevoir comme désuète ou inutile. »
La FÉÉCUM continuera d’appuyer le Front commun pour l'affichage bilingue au Nouveau-Brunswick dans ses démarches, et de conscientiser la population à l’importance du bilinguisme dans la région. « C’est le temps que la ville de Moncton arrête de simplement se vanter qu’elle est bilingue et qu’elle passe aux actes, » conclue M. LeBlanc.
Hier soir se tenait une assemblée municipale à l’hôtel de ville de Moncton lors de laquelle deux conseillères essayaient de clore le débat sur l’affichage bilingue. La Fédération des étudiants et étudiantes du Centre universitaire de Moncton (FÉÉCUM) se voit soulagée que la proposition n’a pu être adoptée, mais tout de même déçue que celle-ci n’a pas non plus été rejetée. En tant que membre du Front commun pour l'affichage bilingue au Nouveau-Brunswick, celle-ci encourage fortement le conseil municipal de la ville de Moncton a non seulement continuer le débat sur l’affichage bilingue, mais aussi de voter en faveur d’un arrêté municipal qui obligerait les commerçants de la ville à s’assurer que tout nouvel affichage se fasse dans les deux langues officielles.
« Les étudiants de l’Université de Moncton représentent une force économique de quelques 60 millions $, » explique Ghislain LeBlanc, président de la FÉÉCUM. « Les commerces de Moncton devraient y voir une opportunité d’accroître leur clientèle tout en favorisant un meilleur accueil pour les nouveaux arrivés du nord de la province, du Québec ou de l’étranger. » Le président de la Fédération étudiante rappelle que bon nombre d’étudiants de l’UdeM finissent par s’établir dans la région, certains unilingues francophones, d’autres tout simplement plus à l’aise dans leur langue maternelle.
Selon lui, un tel arrêté municipal serait bon pour les jeunes de la région aussi : « Même si les jeunes du Sud-Est ont été élevé avec les deux langues, la FÉÉCUM croit que si le paysage linguistique de la région ne valorise pas le français autant que l’anglais, ils auront tendance à perdre leur langue maternelle, à la percevoir comme désuète ou inutile. »
La FÉÉCUM continuera d’appuyer le Front commun pour l'affichage bilingue au Nouveau-Brunswick dans ses démarches, et de conscientiser la population à l’importance du bilinguisme dans la région. « C’est le temps que la ville de Moncton arrête de simplement se vanter qu’elle est bilingue et qu’elle passe aux actes, » conclue M. LeBlanc.
mardi 7 septembre 2010
La FÉÉCUM fait six recommandations aux partis du N.-B.
Le système d’éducation postsecondaire reste loin d’être à point
En vue des élections provinciales du 27 septembre prochain, la Fédération des étudiants et des étudiantes de l’Université de Moncton (FÉÉCUM) lance aujourd’hui ses six grandes recommandations aux partis participants. Ces recommandations ont déjà, par ailleurs, été discutés avec les chefs de plusieurs d’entre eux, et la Fédération étudiant s’attend à des promesses en leur sens.
L’endettement continue d’être un cheval de bataille important pour les étudiants. « Nous recommandons que le programme de prestation pour l’achèvement des études dans le délai prévu soit modifié afin qu’il soit accessible à tous les étudiants qui reçoivent un prêt du gouvernement, » explique Ghislain LeBlanc, président de la FÉÉCUM. « Nous militons aussi pour une diminution significative du taux d'intérêt sur les prêts étudiants afin de le rendre égal au taux d’intérêt que reçoit le gouvernement quand il emprunte aux institutions financières pour financer son programme de prêts, une augmentation du prêt maximal disponible pour le rapprocher du coût réel d’une année universitaire, et une réduction dans les contributions personnelles qui réduisent les prêts des étudiants qui travaillent pour aider à financer leurs études. »
La FÉÉCUM tient aussi à voir des ententes pluriannuelles avec les institutions universitaires pour assurer leur financement, et un processus d’évaluation des programmes gouvernementaux touchant au financement des études dans le but de mesurer leur efficacité. « À mesure que les partis annoncent leurs plateformes sur l’éducation postsecondaire, nous utiliserons ces recommandations comme standard à rencontrer ou excéder, » confie le président.
Les recommandations sont disponibles sur le site Internet de la FÉÉCUM et ont été envoyées aux divers partis du Nouveau-Brunswick.
En vue des élections provinciales du 27 septembre prochain, la Fédération des étudiants et des étudiantes de l’Université de Moncton (FÉÉCUM) lance aujourd’hui ses six grandes recommandations aux partis participants. Ces recommandations ont déjà, par ailleurs, été discutés avec les chefs de plusieurs d’entre eux, et la Fédération étudiant s’attend à des promesses en leur sens.
L’endettement continue d’être un cheval de bataille important pour les étudiants. « Nous recommandons que le programme de prestation pour l’achèvement des études dans le délai prévu soit modifié afin qu’il soit accessible à tous les étudiants qui reçoivent un prêt du gouvernement, » explique Ghislain LeBlanc, président de la FÉÉCUM. « Nous militons aussi pour une diminution significative du taux d'intérêt sur les prêts étudiants afin de le rendre égal au taux d’intérêt que reçoit le gouvernement quand il emprunte aux institutions financières pour financer son programme de prêts, une augmentation du prêt maximal disponible pour le rapprocher du coût réel d’une année universitaire, et une réduction dans les contributions personnelles qui réduisent les prêts des étudiants qui travaillent pour aider à financer leurs études. »
La FÉÉCUM tient aussi à voir des ententes pluriannuelles avec les institutions universitaires pour assurer leur financement, et un processus d’évaluation des programmes gouvernementaux touchant au financement des études dans le but de mesurer leur efficacité. « À mesure que les partis annoncent leurs plateformes sur l’éducation postsecondaire, nous utiliserons ces recommandations comme standard à rencontrer ou excéder, » confie le président.
Les recommandations sont disponibles sur le site Internet de la FÉÉCUM et ont été envoyées aux divers partis du Nouveau-Brunswick.
vendredi 3 septembre 2010
Café Osmose rénové - un ptit preview!
Le vestiaire de l'Osmose a été démantelé aujourd'hui alors que les rénovations avances rapidement en vue de la réouverture du Café ce mardi à 8h.En plus d'un espace plus propre et éclairé, de nouveaux meubles vous donneront la chance de relaxer d'autant plus et de rendre le Café Osmose VOTRE hang out quotidien.
L'équipe étudiante d'Élections NB en profite déjà, comme vous pouvez le voir!
L'équipe étudiante d'Élections NB en profite déjà, comme vous pouvez le voir!
mercredi 1 septembre 2010
Des bureaux de scrutin sur les campus
Communiqué - 31 août 2010
La FÉÉCUM applaudit cette initiative qu’elle demande depuis plusieurs années
Depuis le 27 août 2010, des bureaux de directeurs de scrutin sont ouverts sur quatre campus universitaires du Nouveau-Brunswick, dont celui de l’Université de Moncton, campus de Moncton. La Fédération des étudiants et des étudiantes de l’Université de Moncton (FÉÉCUM), à la tête d’une lutte pour tirer une telle mesure d’Élections Nouveau-Brunswick depuis plusieurs années, applaudie évidemment l’initiative.
« Nous croyons que l’absence de bureaux de scrutin sur les campus était un des obstacles les plus importants au vote de la jeunesse, » explique Ghislain LeBlanc, président de la FÉÉCUM. « Les étudiants auront l’opportunité de s’inscrire à la liste électorale et de voter, soit ici ou dans leur circonscription, sur un terrain qui leur est familier. »
Le président de la Fédération étudiante rappelle que pour bon nombre d’étudiants, cette élection provinciale sera leur première opportunité de voter : « Trop souvent, le nouvel électeur exprime des anxiétés par rapport aux procédures de ce premier vote. Il ou elle ne sait pas où aller, comment s’inscrire, qu’il FAUT s’inscrire, ou qu’on peut voter dans sa circonscription mère. Et si cette personne ne vote pas cette première fois, il y a de grandes chances qu’elle ne vote jamais. »
Le bureau de directeur de scrutin sur le campus de Moncton se trouve au Centre étudiant, où se tiendra une conférence de presse à ce sujet à 13h le jeudi 2 septembre. La FÉÉCUM sera de la partie. Des bureaux semblables se trouvent aussi aux campus de UNB, UNB-St-Jean, et UdeM-Edmundston.
La FÉÉCUM applaudit cette initiative qu’elle demande depuis plusieurs années
Depuis le 27 août 2010, des bureaux de directeurs de scrutin sont ouverts sur quatre campus universitaires du Nouveau-Brunswick, dont celui de l’Université de Moncton, campus de Moncton. La Fédération des étudiants et des étudiantes de l’Université de Moncton (FÉÉCUM), à la tête d’une lutte pour tirer une telle mesure d’Élections Nouveau-Brunswick depuis plusieurs années, applaudie évidemment l’initiative.
« Nous croyons que l’absence de bureaux de scrutin sur les campus était un des obstacles les plus importants au vote de la jeunesse, » explique Ghislain LeBlanc, président de la FÉÉCUM. « Les étudiants auront l’opportunité de s’inscrire à la liste électorale et de voter, soit ici ou dans leur circonscription, sur un terrain qui leur est familier. »
Le président de la Fédération étudiante rappelle que pour bon nombre d’étudiants, cette élection provinciale sera leur première opportunité de voter : « Trop souvent, le nouvel électeur exprime des anxiétés par rapport aux procédures de ce premier vote. Il ou elle ne sait pas où aller, comment s’inscrire, qu’il FAUT s’inscrire, ou qu’on peut voter dans sa circonscription mère. Et si cette personne ne vote pas cette première fois, il y a de grandes chances qu’elle ne vote jamais. »
Le bureau de directeur de scrutin sur le campus de Moncton se trouve au Centre étudiant, où se tiendra une conférence de presse à ce sujet à 13h le jeudi 2 septembre. La FÉÉCUM sera de la partie. Des bureaux semblables se trouvent aussi aux campus de UNB, UNB-St-Jean, et UdeM-Edmundston.
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