2000-2001… La FÉÉCUM questionne le nom de l’Université de Moncton. Après tout, ne s’agit-il pas là d’une université francophone et acadienne au nom d’un militaire britannique en charge de la déportation des Acadiens? Le Conseil des Gouverneurs approuvent l’étude de la possibilité d’un nouveau baptême pour l’Université.
Un référendum se tient chez les étudiants et étudiantes des trois campus. À l’UMCE, la majorité est POUR le changement de nom. À l’UMCS, le NON remporte de justesse grâce à une campagne menée par le Collège de Bathurst. Et à Moncton? 89% des étudiants sondés ne voient pas le bon fondement de ce changement. À l’écoute de la démocratie, la Fédération abandonne immédiatement ce dossier.
On ne s’est jamais rendu assez loin dans les démarches pour savoir QUEL aurait été le nouveau nom de l’Université, mais parmi les possibilités qui flottaient dans les airs nous trouvons l’Université de l’Acadie, l’Université Pascal-Poirier, et l’Université Louis-J.-Robichaud.
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