La FÉÉCUM condamne le Conseil des Gouverneurs pour son engagement envers cacher la vérité
Suite à l’annonce que Serge Rousselle et Yvon Dandurand laissent tomber leur poursuite envers l’Université de Moncton par rapport aux procédures mal suivies dans l’embauche de la vice-rectrice aux affaires étudiantes et internationales, la Fédération des étudiantes et étudiants du Centre universitaire de Moncton (FÉÉCUM) les remercie de leurs efforts, se démontre compréhensive de la situation, mais se dit aussi déçue.
Selon le président de la FÉÉCUM, Ghislain LeBlanc, l’Université a manqué à son devoir envers la communauté acadienne : « Ce qui est décourageant, c’est que nous ne saurons maintenant jamais si l’Université a bel et bien suivi ses procédures d’embauche, et pour encore longtemps, le doute régnera sur le processus de nomination. » Bien que la Fédération étudiante reste convaincue que les processus en question n’a pas été respecté, elle tient à souligner tout de même qu’elle ne s’est jamais pour autant opposée à la vice-rectrice, et qu’un travail se fait déjà avec elle sur des projets communs.
Pour la FÉÉCUM, la lutte n’est pas terminée. « Un autre poste important doit être nommé cette année – celui de Recteur ou Rectrice – et nous espérons que l’Université fera preuve de plus de transparence et de cohérence dans ce processus de nomination-là, » soutient M. LeBlanc. « Sinon, on pourrait se retrouver au même point l’été prochain. »
2 commentaires:
Pourquoi quand on commence à avoir espoir en la communauté acadienne, la consanguinité gagne encore?
Une chose reste certaine : le processus pour le rectorat ne sera pas plus transparent ou "fair". Si vous le croyez, vous êtes crédules en ta****ac. Francois Giroux? sinon, pourquoi pas André Richard, c'est tellement pas impossible!
En acadie, ca changera jamais. bien content de partir sous peu, et de ne plus jamais y revenir.
Cosanguinité 1, justice 0
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